- Peter AlgernoonTempête
- Autre pseudo : Adm. Lord Peter Henry Charles Ossian Algernoon Xth Duke of Northumberland
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Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Jeu 17 Déc 2009, 22:18
Prison Américaine, quelquepart en Afrique entre Casablanca et Oran :
Bon, reprenons, vous permettez ?
Nom ...
-Algernoon
-Prénoms
-Peter Henry Charles Ossian
-Grade
-Commodore
Un profond soupir du Sergent Chef :
Commodore Algernoon, je ne sais pas d'ou vous tenez ces informations, mais vous êtes décédé dans les fichiers de la Royal Navy que m'a transmis votre soi disant état major, vous dites vous être évadé d'une prison allemande avec un véhicule allemand et des uniformes de prisonniers Allemand et vous voulez me faire croire qu'après huit mois de disparition, vous seriez le Commodore Algernoon ?
La voix d'Algernoon se faisait agacée.
-Mais puisque je suis bien le Algernoon que vous lisez dans vos archives ! Mais appelez ma femme, mes enfants ou même un de vos officiers ayant fait partie de l'Atlantic Fleet ! Tenez téléphonez à Valencia, il me reconnaîtra c'est certains !
Il avait nommé son ami Américain avec lequel ils avaient effectué quelques missions, il espérait seulement que le sergent chef oserait passer ce coup de fil.
-Ahahah ! Mais vous me prenez pour un imbécile ? vous croyez quoi ? Un inconnu ... se prétendant officier supérieur et qui voudrait que j'appelle un amiral comme çà, mais même si je le voulais je ne pourrai vous faire ce plaisir...
Bon c'est pas tout çà mais vous allez me donner un nom à votre jolie visage, Helmut.
Bon, reprenons, vous permettez ?
Nom ...
-Algernoon
-Prénoms
-Peter Henry Charles Ossian
-Grade
-Commodore
Un profond soupir du Sergent Chef :
Commodore Algernoon, je ne sais pas d'ou vous tenez ces informations, mais vous êtes décédé dans les fichiers de la Royal Navy que m'a transmis votre soi disant état major, vous dites vous être évadé d'une prison allemande avec un véhicule allemand et des uniformes de prisonniers Allemand et vous voulez me faire croire qu'après huit mois de disparition, vous seriez le Commodore Algernoon ?
La voix d'Algernoon se faisait agacée.
-Mais puisque je suis bien le Algernoon que vous lisez dans vos archives ! Mais appelez ma femme, mes enfants ou même un de vos officiers ayant fait partie de l'Atlantic Fleet ! Tenez téléphonez à Valencia, il me reconnaîtra c'est certains !
Il avait nommé son ami Américain avec lequel ils avaient effectué quelques missions, il espérait seulement que le sergent chef oserait passer ce coup de fil.
-Ahahah ! Mais vous me prenez pour un imbécile ? vous croyez quoi ? Un inconnu ... se prétendant officier supérieur et qui voudrait que j'appelle un amiral comme çà, mais même si je le voulais je ne pourrai vous faire ce plaisir...
Bon c'est pas tout çà mais vous allez me donner un nom à votre jolie visage, Helmut.
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Re: Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Dim 20 Déc 2009, 21:24
Quelques heures plus tard au carré des sous-officiers du même centre pénitentiaires des Armées :
On retrouve notre Sergent chef, assis sur un tabouret, une cigarette à la main discutant avec trois autres collègues.
Un Sergent Major, le plus gradé des quatre entame la conversation :
J'ai un listing de ces prisonniers de Tunis, ils sont soixante-seize.
quarante-huit Américains, ils ont retrouvé leur statut de militaire ce matin et on rejoint le centre médical avant de reprendre leurs positions dans leurs unités. Seize Français, ils ont été récuppéré par leurs autorités pour une enquête approfondie et il nous reste ces douze anglais. Le problème c'est que les chapeaux melons sont pas très enclins à vérifier leurs hommes. d'après les listes envoyée par l'armée anglaise basée en Egypte, sur les douze gars, nous avons un pilote de chasseur, le lieutenant O'Leary et une escouade de huit membres du Vé Britanic Korps, il nous reste plus que vos trois gars à identifier qui ne font pas partie de leur listing.
Messieurs qu'avez vous ?
Le sergent chef commença :
Ben moi, j'ai un drôle de type, il se dit officier de la Royal Navy pas du petit Lieut', non non un gros bonnet du Gradé lourd Commandant de Croiseur et plein de truc pompeux, mais les brittishs me certifient qu'il est mort, qu'il s'agit sans aucun doute d'un espion allemand qui n'a rien trouvé de mieux pour infiltrer leur rangs, ils pourraient quand même le rencontrer, ne serait-ce que pour le confondre...
Réfléchissant un instant, il préféra laisser la parôle à un autre :
ah moi c'est pas un commandant, mais un matelot, de la navy, il se dit mécano aux machines arrières d'un croiseur le Emerald qui aurait été torpillé celon lui, les anglais m'ont annoncé qu'il avait disparu il y a près de 8 mois au large de Malte sans laisser de trace ni même emettre de message, mais la suite est croustillante quand je lui ai demandé comment il a fait pour s'en sortir vivant, il m'a parlé qu'il fumait tranquillement sa clope sur la plage arrière que le batîment ne courait pas le moindre danger qu'ils étaient du coté de Beyrouth et d'Alexandrie quand les allemands ont attaquer le navire... Ils n'étaient pas aux poste de Combat quand le drame est survenu
puis tous se tournèrent vers le dernier espérant entendre le dénouement dans son compte-rendu.
... Un petty Officer artilleur, lui non plus n'était pas au poste de combat, mais il ne se sentait pas à l'aise il m'a parlé de tension à bord, de prise de commandement houleuse, de décisions erratiques dans la chaine de commandement, il parlait même d'un groupe pour saboter le navire d'autre de faire une mutinerie, et certains voulaient même se rendre aux allemands.
Il y eut un temps d'arrêt, de réflexion intense... Ils n'avaient aucune idée de ce en quoi ils avaient fourré leur nez. Le H.M.S Emerald venait de recracher trois hommes de ces entrailles avec trois histoires dignes des intrigues policières les plus palpitantes.
La question de savoir qui était qui persistait, était-ce trois espions à la solde germanique ou bien était-ce trois marins rescapés d'une effroyable histoires
si cette dernière version se confirmait, l'apesanteur se ressentait dans le carré des sous officier, que s'était il passé à bord du H.M.S Emerald pour que même les anglais de l'état major ne dédaigne à s'intéresser à ces gens, la vérité devait rester masquer et les acteurs de la scène auraient elle eu mieux fait de périrent tous dans ce massacre...
Si on veut pouvoir en comprendre l'histoire, je vous propose qu'on leur pose à chacun les même questions demain matin et le soir nous recouperons leur réponses, nous en serons peut-être un peu mieux lotis dans c't affaire...
On retrouve notre Sergent chef, assis sur un tabouret, une cigarette à la main discutant avec trois autres collègues.
Un Sergent Major, le plus gradé des quatre entame la conversation :
J'ai un listing de ces prisonniers de Tunis, ils sont soixante-seize.
quarante-huit Américains, ils ont retrouvé leur statut de militaire ce matin et on rejoint le centre médical avant de reprendre leurs positions dans leurs unités. Seize Français, ils ont été récuppéré par leurs autorités pour une enquête approfondie et il nous reste ces douze anglais. Le problème c'est que les chapeaux melons sont pas très enclins à vérifier leurs hommes. d'après les listes envoyée par l'armée anglaise basée en Egypte, sur les douze gars, nous avons un pilote de chasseur, le lieutenant O'Leary et une escouade de huit membres du Vé Britanic Korps, il nous reste plus que vos trois gars à identifier qui ne font pas partie de leur listing.
Messieurs qu'avez vous ?
Le sergent chef commença :
Ben moi, j'ai un drôle de type, il se dit officier de la Royal Navy pas du petit Lieut', non non un gros bonnet du Gradé lourd Commandant de Croiseur et plein de truc pompeux, mais les brittishs me certifient qu'il est mort, qu'il s'agit sans aucun doute d'un espion allemand qui n'a rien trouvé de mieux pour infiltrer leur rangs, ils pourraient quand même le rencontrer, ne serait-ce que pour le confondre...
Réfléchissant un instant, il préféra laisser la parôle à un autre :
ah moi c'est pas un commandant, mais un matelot, de la navy, il se dit mécano aux machines arrières d'un croiseur le Emerald qui aurait été torpillé celon lui, les anglais m'ont annoncé qu'il avait disparu il y a près de 8 mois au large de Malte sans laisser de trace ni même emettre de message, mais la suite est croustillante quand je lui ai demandé comment il a fait pour s'en sortir vivant, il m'a parlé qu'il fumait tranquillement sa clope sur la plage arrière que le batîment ne courait pas le moindre danger qu'ils étaient du coté de Beyrouth et d'Alexandrie quand les allemands ont attaquer le navire... Ils n'étaient pas aux poste de Combat quand le drame est survenu
puis tous se tournèrent vers le dernier espérant entendre le dénouement dans son compte-rendu.
... Un petty Officer artilleur, lui non plus n'était pas au poste de combat, mais il ne se sentait pas à l'aise il m'a parlé de tension à bord, de prise de commandement houleuse, de décisions erratiques dans la chaine de commandement, il parlait même d'un groupe pour saboter le navire d'autre de faire une mutinerie, et certains voulaient même se rendre aux allemands.
Il y eut un temps d'arrêt, de réflexion intense... Ils n'avaient aucune idée de ce en quoi ils avaient fourré leur nez. Le H.M.S Emerald venait de recracher trois hommes de ces entrailles avec trois histoires dignes des intrigues policières les plus palpitantes.
La question de savoir qui était qui persistait, était-ce trois espions à la solde germanique ou bien était-ce trois marins rescapés d'une effroyable histoires
si cette dernière version se confirmait, l'apesanteur se ressentait dans le carré des sous officier, que s'était il passé à bord du H.M.S Emerald pour que même les anglais de l'état major ne dédaigne à s'intéresser à ces gens, la vérité devait rester masquer et les acteurs de la scène auraient elle eu mieux fait de périrent tous dans ce massacre...
Si on veut pouvoir en comprendre l'histoire, je vous propose qu'on leur pose à chacun les même questions demain matin et le soir nous recouperons leur réponses, nous en serons peut-être un peu mieux lotis dans c't affaire...
- Peter AlgernoonTempête
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Re: Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Mar 22 Déc 2009, 05:14
Rapport d'enquête transmis au Lieutenant Edwards, Officier Liaison chargé d'enquête.
Par le Sergent Mils
Légende :
E = Enqueteur Mils
A = Artilleur
M = Mécano
P = Peter
E : Qui était le Commandant d'unité ?
A : Ahahah parce que vous croyez que quelqu'un commandait quoique ce soit dans ce merdier ? c'était le chaos, on se tiraient les uns les autres, il y avait beaucoup de commandant potentiel, une chose est sure personne ne commandait le navire de manière stable. Eylaud, Algernoon, Fienris et Samuels
M : Le commodore Algernoon, enfin jusqu'au naufrage
P : Le Capitaine Eylaud a fait un acte de mutinerie qui a dégénéré par une crise interne mais si vous parler du contrôleur de la Passerelle alors c'est bien le capitaine Eylaud
Que savez vous sur le Naufrage du H.M.S Emerald ?
P : J'ai été capturé par le ltn Fienris et ces hommes, il m'a enfermé dans une cellule, puis quand le Major Samuels m'a libéré il m'a demander d'évacuer, car l'on était déjà foutu
M : Ben c'était un jour normal, j'ai quitté mon quart pour la journée puis il y a eu des explosions puis le navire a gité suivi par de nouvelles explosions puis comme on était pas prêt, j'ai fui le navire, de toute façon c'était foutu, jamais on aurait pu le sauver, il y avait trop de sous-marins autour de nous.
A : Elle est longue cette journée, mais pour la comprendre je dois vous raconter celle d'avant, celle ou Eylaud un Officier envoyé par l'état-major pour se former s'engueule avec Algernoon, ou Eylaud sort une arme et où Algernoon s'enfuit, manque de bol pour lui, Fienris le Commandant Adjoint Navire se range au coté d'Eylaud, Le Major Samuels le Commandant Adjoint Equipage lance une reconquête du navire lorsqu'il comprend que Eylaud jeune ambitieux se fait manipuler par Fienris qui compte donner le Croiseur aux Allemands en trafiquant les cartes, la radio et les instruments de navigation. Malheureusement pour Samuels quand il entreprend la reprise du navire, il se trouve déjà à 75 Nautiques de Tunis et déjà six submersibles et 9 navires d'escortes allemands probablement au courant de l'affaire maintienne le navire cerné il a alors fait saboter la Ligne d'arbre, enrayé le safran, et ordonna le noyage des compartiments en faisant exploser les collecteurs.
Après les allemands ont fini le reste quand ils ont vu que le navire ne coopérait plus ils se sont mis en formation d'attaque et le navire n'est pas tombé aux mains de l'ennemi...
Par le Sergent Mils
Légende :
E = Enqueteur Mils
A = Artilleur
M = Mécano
P = Peter
E : Qui était le Commandant d'unité ?
A : Ahahah parce que vous croyez que quelqu'un commandait quoique ce soit dans ce merdier ? c'était le chaos, on se tiraient les uns les autres, il y avait beaucoup de commandant potentiel, une chose est sure personne ne commandait le navire de manière stable. Eylaud, Algernoon, Fienris et Samuels
M : Le commodore Algernoon, enfin jusqu'au naufrage
P : Le Capitaine Eylaud a fait un acte de mutinerie qui a dégénéré par une crise interne mais si vous parler du contrôleur de la Passerelle alors c'est bien le capitaine Eylaud
Que savez vous sur le Naufrage du H.M.S Emerald ?
P : J'ai été capturé par le ltn Fienris et ces hommes, il m'a enfermé dans une cellule, puis quand le Major Samuels m'a libéré il m'a demander d'évacuer, car l'on était déjà foutu
M : Ben c'était un jour normal, j'ai quitté mon quart pour la journée puis il y a eu des explosions puis le navire a gité suivi par de nouvelles explosions puis comme on était pas prêt, j'ai fui le navire, de toute façon c'était foutu, jamais on aurait pu le sauver, il y avait trop de sous-marins autour de nous.
A : Elle est longue cette journée, mais pour la comprendre je dois vous raconter celle d'avant, celle ou Eylaud un Officier envoyé par l'état-major pour se former s'engueule avec Algernoon, ou Eylaud sort une arme et où Algernoon s'enfuit, manque de bol pour lui, Fienris le Commandant Adjoint Navire se range au coté d'Eylaud, Le Major Samuels le Commandant Adjoint Equipage lance une reconquête du navire lorsqu'il comprend que Eylaud jeune ambitieux se fait manipuler par Fienris qui compte donner le Croiseur aux Allemands en trafiquant les cartes, la radio et les instruments de navigation. Malheureusement pour Samuels quand il entreprend la reprise du navire, il se trouve déjà à 75 Nautiques de Tunis et déjà six submersibles et 9 navires d'escortes allemands probablement au courant de l'affaire maintienne le navire cerné il a alors fait saboter la Ligne d'arbre, enrayé le safran, et ordonna le noyage des compartiments en faisant exploser les collecteurs.
Après les allemands ont fini le reste quand ils ont vu que le navire ne coopérait plus ils se sont mis en formation d'attaque et le navire n'est pas tombé aux mains de l'ennemi...
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Re: Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Jeu 24 Déc 2009, 16:55
Annexe de l'Enquêteur, le Sergent Mils au Lieutenant Edwards :
Bien que mon travail n'est pas de découvrir si ces trois anglais soient allemands et dans ce cas prisonniers de guerre. Ou bien qu'ils soient véritablement Britannique sortant d'un véritable cauchemard.
Il est de mon avis que les trois anglais se connaissent, si nous découvrons la vérité sur l'un des trois, les deux autres seront inévitablement réunis dans le même panier.
Or, l'individu qui se nomme Algernoon n'apparaissant pas dans les fichiers Anglais de Méditerranée figure bel et bien dans nos fichiers personnel de l'Opération Torch, d'après ces dires, il serait une connaissance de l'Amiral Valencia commandant d'une Flottille. N'ayant que les fichiers de méditerranée et ne connaissant pas tous nos Amiraux engagés dans ce conflit mondial, je tenais à vous donner tous les faits avant de refermer ce dossier pour ce qu'il en est pour mon service.
Avec tous le respect .
Sergent Major Heberts -Master-At-Arms du CCPWE-1 (Continental Central Prisonier War Enclosure) Geryville - Division d'Oran
Sergent Mils Chargé de l'enquête 122, 123 et 124
Bien que mon travail n'est pas de découvrir si ces trois anglais soient allemands et dans ce cas prisonniers de guerre. Ou bien qu'ils soient véritablement Britannique sortant d'un véritable cauchemard.
Il est de mon avis que les trois anglais se connaissent, si nous découvrons la vérité sur l'un des trois, les deux autres seront inévitablement réunis dans le même panier.
Or, l'individu qui se nomme Algernoon n'apparaissant pas dans les fichiers Anglais de Méditerranée figure bel et bien dans nos fichiers personnel de l'Opération Torch, d'après ces dires, il serait une connaissance de l'Amiral Valencia commandant d'une Flottille. N'ayant que les fichiers de méditerranée et ne connaissant pas tous nos Amiraux engagés dans ce conflit mondial, je tenais à vous donner tous les faits avant de refermer ce dossier pour ce qu'il en est pour mon service.
Avec tous le respect .
Sergent Major Heberts -Master-At-Arms du CCPWE-1 (Continental Central Prisonier War Enclosure) Geryville - Division d'Oran
Sergent Mils Chargé de l'enquête 122, 123 et 124
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Re: Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Lun 28 Déc 2009, 05:45
***
Deux semaines s'étaient écoulés dans la prison américaine en Afrique.
La rumeur d'un officier Britannique dans les prisonniers allemands avait percé auprès des prisonniers.
Eh oui un officier prisonnier y en a pas des masses et les 8 officiers supérieurs Allemands et Italiens présent eurent vite fait de démasquer notre pauvre moustachu britannique rien que sur le simple fait qu'il ne sait pas placé un seul mot d'allemand ou d'italien c'est pas un Good and tag ou Bondjiournow qui les duperai.
La santé physique de notre Peter était précaire. Au début ce n'était que Brimades et railleries, les ricains arrêtant les roastbeef.
Puis les petits coups mesquins et sournois prirent place, bousculade dans les escaliers, pour finir à des tentatives plus violentes comme lors du repas ou un Capitaine Italien se leva pour poignarder de son couteau à steack notre malheureux Algernoon.
la lame se cassa sur une cote, sauvant de peu Peter
C'est à l'infirmerie que le chef du centre pénitencier rencontra pour la première fois notre héros britannique.
-Bonjour Monsieur.
Pas de réponse.
Légèrement surpris, il reprend :
Je me présente Ltn Col Robertson,
Le regard vers la fenêtre, Peter ne répond pas
Je suis navré pour cet accident et je voulais vous annoncer...
La curiosité éveille Peter qui feint de ne pas l'écouter :
Nous allons vous transférer en Irlande par avion, c'est pour votre sécuité, nous ne pouvons vous placer ailleurs ici car vous restez une personne inconnue...
Nous vous souhaitons que ce rapprochement géographique va vous permettre de renouer des contacts utiles qui attesteront de votre identité.
Vous partirez demain à quatre heures pour un vol direct sur Dublin.
-Je suppose que je dois vous remercier ?
C'est à présent au Commandant du Centre de ne pas réagir avant de glisser vers un rapide :
Je vous souhaite un bon retour en Europe et bon courage pour la suite.
***
- Peter AlgernoonTempête
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Re: Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Lun 28 Déc 2009, 15:37
Le lendemain deux heures trente, infirmerie du Centre Pénitentiaire.
Monsieur ? Monsieur ?
Un mouvement léger dans un lit :
Oui ?
Il est l'heure monsieur pour vous de prendre l'avion
Ah oui merci
N'ayant absolument rien à prendre en ce lieu, il descendit escorté par trois MP dans la cour du centre, là il retrouva trois de ces membres d'équipages, il ne les connaissait pas, enfin pas réellement, il savait plus ou moins que ces hommes étaient de son unité mais çà n'allait pas plus loin.
Le véhicule gronda et disparu à un coin de rue sous les poussières qu'il véhiculait.
Une heure après sur le tarmac de l'aéroport, un C47 plus connu sous le nom de Dakota mettait ses moteurs en branle, à l'intérieur Le pilote son second, nos quatre prisonniers anglais, huit MP et une grosse caisse au milieu de cinq mètres de long.
Les vibrations se font de plus en plus forte, les anglais sont menotés et mal à l'aise, Peter ressent les vibrations de l'avion jusque dans sa poitrine, puis soudain plus rien l'avion s'élève et se transporte dans le ciel aux nuages éparses sous le bruit des deux moteurs.
Le vol prendrait probablement quatre à six heures tout au plus et de là il pourrait tenter de rentrer en contact avec des amis et peut-être même sa femme.
Monsieur ? Monsieur ?
Un mouvement léger dans un lit :
Oui ?
Il est l'heure monsieur pour vous de prendre l'avion
Ah oui merci
N'ayant absolument rien à prendre en ce lieu, il descendit escorté par trois MP dans la cour du centre, là il retrouva trois de ces membres d'équipages, il ne les connaissait pas, enfin pas réellement, il savait plus ou moins que ces hommes étaient de son unité mais çà n'allait pas plus loin.
Le véhicule gronda et disparu à un coin de rue sous les poussières qu'il véhiculait.
Une heure après sur le tarmac de l'aéroport, un C47 plus connu sous le nom de Dakota mettait ses moteurs en branle, à l'intérieur Le pilote son second, nos quatre prisonniers anglais, huit MP et une grosse caisse au milieu de cinq mètres de long.
Les vibrations se font de plus en plus forte, les anglais sont menotés et mal à l'aise, Peter ressent les vibrations de l'avion jusque dans sa poitrine, puis soudain plus rien l'avion s'élève et se transporte dans le ciel aux nuages éparses sous le bruit des deux moteurs.
Le vol prendrait probablement quatre à six heures tout au plus et de là il pourrait tenter de rentrer en contact avec des amis et peut-être même sa femme.
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Re: Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Jeu 31 Déc 2009, 23:27
Le vol se passait, l'avion contournait l'Espagne, sa mission principale hormis le fait de ramener les prisonniers en Europe était aussi de photographier la circulation maritime en Atlantique.
La météo nuageuse se dégradait sur les côtes, un orage se dessinait même sur le Cap Finistere (N-O de l'Espagne).
L'Avion n'y était pas encore, mais la radio d'une vedette espagnole l'avait annoncé, le temps n'y était pas.
Le pilote pris en considération l'information et décida d'augmenter l'altitude de croisière pour passer au dessus.
La météo nuageuse se dégradait sur les côtes, un orage se dessinait même sur le Cap Finistere (N-O de l'Espagne).
L'Avion n'y était pas encore, mais la radio d'une vedette espagnole l'avait annoncé, le temps n'y était pas.
Le pilote pris en considération l'information et décida d'augmenter l'altitude de croisière pour passer au dessus.
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Re: Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Dim 03 Jan 2010, 15:46
Jet de Chance météorologique - sous 85 (Jet = 01 Réussite Critique)
Jet de panne mécanique - sous 70 (Jet = 21 Réussite)
Jet d'interception de Patrouille - sous 55 (Jet = 25 Réussite)
Jet de repérage DCA - sous 40 (Jet = 70 Echec) peux pas faire quatre beau jet d'afflié^^
Jet de Esuive DCA - sous 35 (Jet = 11 Réussite ouf ^^) Bon ben veux pas crasher en France, dirait bien.
L’orage était présent, amoncellement surnaturel de nuages, une confrontation au sommet entre éléments. Les éclairs zébraient le ciel sombre et à trois cents pied au dessus, un aéronef pouvait observer le magnifique évènement.
Le Radio et co-pilote rejoignit l’arrière de l’oiseau aux entrailles de fer, en ouvrit la boîte qui engrangeait quelques questions dans les esprits actuels de nos prisonniers et escorteurs avant de révèler un immense engin photovisuel, l’objectif pointé sur la dépression et quelques clichés se retrouvèrent alors ainsi gravé à jamais sur les larges pellicules Kodak.
L’Orage bien que violent n’était pas si imposant de taille.
L’avion poursuivit son chemin à altitude respectable prenant soin de ne pas trop s’approcher des cotes françaises mais cependant assez pour ne pas trop dériver de sa mission d’observation.
Un cargo, allemand fut capturé par l’objectif du zinc, suivie par deux Frégates Italiennes au large de Bordeaux, un joli U-boat en surface ou bien peut-être un débris flottant occasionné par la tempête, il n’en savait rien pour le moment le développement se ferait à Dublin.
L’avion descendit à 3500 Pieds, 3000 voila c’était bien risqué pour entamer une photographie de Brest , mais ils ne voulaient pas risquer un second passage ou bien une nouvelle mission si bien qu’ils se dissimulèrent dans les nuages jusqu'à percer la couche au moment opportun.
Clip… Clip … Clip … Boom … Clip … Boum … Boom… Clichés avaient à peine commençé que le cérémonial des obus explosifs de la D.C.A se fit entreprenant …Boom…Clip…
Clap …
Je suis en fin de bande ! Tu peux remonter, çà me suffit. Le pilote tira sur le manche et l’avion s’élèva un peu plus, par chance, les nuages dans cette région ne se dérobent pas facilement et nos réalisateursdes ciels purent se dissimuler dans la nappe grisâtre.
***Le Vol se poursuit***
Jet de panne mécanique - sous 70 (Jet = 21 Réussite)
Jet d'interception de Patrouille - sous 55 (Jet = 25 Réussite)
Jet de repérage DCA - sous 40 (Jet = 70 Echec) peux pas faire quatre beau jet d'afflié^^
Jet de Esuive DCA - sous 35 (Jet = 11 Réussite ouf ^^) Bon ben veux pas crasher en France, dirait bien.
L’orage était présent, amoncellement surnaturel de nuages, une confrontation au sommet entre éléments. Les éclairs zébraient le ciel sombre et à trois cents pied au dessus, un aéronef pouvait observer le magnifique évènement.
Le Radio et co-pilote rejoignit l’arrière de l’oiseau aux entrailles de fer, en ouvrit la boîte qui engrangeait quelques questions dans les esprits actuels de nos prisonniers et escorteurs avant de révèler un immense engin photovisuel, l’objectif pointé sur la dépression et quelques clichés se retrouvèrent alors ainsi gravé à jamais sur les larges pellicules Kodak.
L’Orage bien que violent n’était pas si imposant de taille.
L’avion poursuivit son chemin à altitude respectable prenant soin de ne pas trop s’approcher des cotes françaises mais cependant assez pour ne pas trop dériver de sa mission d’observation.
Un cargo, allemand fut capturé par l’objectif du zinc, suivie par deux Frégates Italiennes au large de Bordeaux, un joli U-boat en surface ou bien peut-être un débris flottant occasionné par la tempête, il n’en savait rien pour le moment le développement se ferait à Dublin.
L’avion descendit à 3500 Pieds, 3000 voila c’était bien risqué pour entamer une photographie de Brest , mais ils ne voulaient pas risquer un second passage ou bien une nouvelle mission si bien qu’ils se dissimulèrent dans les nuages jusqu'à percer la couche au moment opportun.
Clip… Clip … Clip … Boom … Clip … Boum … Boom… Clichés avaient à peine commençé que le cérémonial des obus explosifs de la D.C.A se fit entreprenant …Boom…Clip…
Clap …
Je suis en fin de bande ! Tu peux remonter, çà me suffit. Le pilote tira sur le manche et l’avion s’élèva un peu plus, par chance, les nuages dans cette région ne se dérobent pas facilement et nos réalisateursdes ciels purent se dissimuler dans la nappe grisâtre.
***Le Vol se poursuit***
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Re: Quand Peter Algernoon se bat pour la liberté
Mer 06 Jan 2010, 17:54
***Aéroport de Dublin***
Une carlingue se pose déposant les restes de sables encore présent dans les roues.
Termine sa route à très bas régime pour se placer dans un hangar qui pour l’occasion se trouve remarquablement pourvu en personnel de tout rang.
Quelques officiers Américains Français ! et Anglais !!!
Tandis qu’a l’arrière des spécialiste de la reprographie audiovisuelle s’affairent pour récupérer les pélicules de l’avion, nos trois prisonniers actuels sont priés de ne pas descendre de l’avion. Une gène se ressent quand à la tenue vestimentaires de nos prisonniers.
Comment présenter trois anglais dans un uniforme de prisonnier alors que dehors un regroupement est présent pour les accueillir.
-Messieurs voici quelques tenues, nous vous prions de bien vouloir les passer par-dessus avant de sortir de l’avion.
C’était trois belles tenues marron sable de pilote américain.
Peter était outré de se voir affublé d’un tel costume qui n’aurait d’effet que de ne pas heurter la sensibilité d’huiles.
Il n’était pas pilote et encore moins américain, même si sans ces pilotes américains, ils n’auraient sans doute pas suvécu dans le désert, il ne pouvait se présenter dans une tenue pareil, il céda néanmoins à porter autrechose que cette tenue de prisonnier. Visiblement le fait de poser pied sur le sol Irlandais lui venait de faire disparaitre cette étiquette.
C’est ainsi que Peter retroussa la veste du pilote qui changea de coloris pour passer au marron foncé et se vu ainsi vierge de toute décoration représentative de corps militaire ou quoique ce soit.
Une fois habillé, le sas de l’avion s’ouvrit sur un long escalier descendant. Offrant aux journalistes le plaisirs des flashes et aux officiels le plaisir des commentaires.
Il avait l’impression que le monde tournait au ralenti.
Des éclats lumineux apparaissaient de toutes part tandis qu’il descendait ces cinq marches au caractère si solennel, les deux autres compères anglais étaient déjà agressé par une nuée de journalistes, friand de récupérer la moindre information sur leur histoire.
Quand Peter posa le pied sur le sol, deux bras vinrent s’agripper au cou du commandant et l’embrasser, il du se ressaisir avant de comprendre qu’il avait enfin dans ces bras, sa femme qui lui avait tant manqué dans ses moment de solitudes et qui lui avait tant fait tenir dans les moment les plus durs, le visage de sa femme offrait pour seul réconfort, le plaisir absolu de savoir qu’a un endroit dans le monde, il n’était pas abandonné et que l’espoir persistait malgrè tout.
-Oh Peter, ils m’avaient pourtant juré… mais on y a jamais … Oh mon dieu… mon amour…
L’étreinte de sa femme, c’était pour lui le plus beau cadeau que l’on puisse offrir à un marin pour les fêtes de Noël.
Quelques photos immortalisèrent ce moment, ils finiraient sans doute dans une salle de cinéma comme outil de propagande, ou il ne savait quoi.
-Monsieur un sentiment ? un commentaire sur votre retour ?
-Le Commodore Algernoon est heureux d’être de retour en Angleterre, savourer un repos bien mérité auprès de sa famille.
Il est aussi ému par cet immense mobilisation interalliée qui lui aura permis de rejoindre sa nation qui l’a toujours soutenu est toujours aidé ses proches dans les moments les plus sombres.
La voix qui s’adressait aux journaliste lui était inconnue, complétement faussé par le caractère officiel. En temps normal, il se serait sans doute effacé, voire aurait tout simplement passé à l’as cet homme.
Mais après plus d’un an de captivité, trahis par la moitié de son équipage, interrogé par ces ennemis, évadé avec l’aide de compagnons d’infortune réincarcéré par ces alliés outre-atlantique et oublié par son propre pays.
C’était seulement maintenant que l’on s’interressait, maintenant que l’on témoignait.
S’en était de trop.
Heureux ?! Ému ?! Pas assez pour me laisser entendre çà ! Pas à moi. Pas après tout çà. Même libéré des allemands , je n’ai pas eu le moindre contact avec un compatriote. Que c’est il passé à Gibraltar, pour qu’à mon retour, je perde la loyauté de mon état-major, que c’est il passé pour que la moitié de mon équipage soit remplacé à Malte par des hommes que l’on me certifié dévoué à la couronne ?
Que c’est il passé pour qu’il ait fallu trois mois à l’Angleterre pour me reconnaître vivant.
Peut-être un peu précipitemment, Peter et sa femme furent subtilement écarté des journalistes, ou bien ce furent les journalistes qui furent reconduits gentiment vers d’autres personnes ?
Une carlingue se pose déposant les restes de sables encore présent dans les roues.
Termine sa route à très bas régime pour se placer dans un hangar qui pour l’occasion se trouve remarquablement pourvu en personnel de tout rang.
Quelques officiers Américains Français ! et Anglais !!!
Tandis qu’a l’arrière des spécialiste de la reprographie audiovisuelle s’affairent pour récupérer les pélicules de l’avion, nos trois prisonniers actuels sont priés de ne pas descendre de l’avion. Une gène se ressent quand à la tenue vestimentaires de nos prisonniers.
Comment présenter trois anglais dans un uniforme de prisonnier alors que dehors un regroupement est présent pour les accueillir.
-Messieurs voici quelques tenues, nous vous prions de bien vouloir les passer par-dessus avant de sortir de l’avion.
C’était trois belles tenues marron sable de pilote américain.
Peter était outré de se voir affublé d’un tel costume qui n’aurait d’effet que de ne pas heurter la sensibilité d’huiles.
Il n’était pas pilote et encore moins américain, même si sans ces pilotes américains, ils n’auraient sans doute pas suvécu dans le désert, il ne pouvait se présenter dans une tenue pareil, il céda néanmoins à porter autrechose que cette tenue de prisonnier. Visiblement le fait de poser pied sur le sol Irlandais lui venait de faire disparaitre cette étiquette.
C’est ainsi que Peter retroussa la veste du pilote qui changea de coloris pour passer au marron foncé et se vu ainsi vierge de toute décoration représentative de corps militaire ou quoique ce soit.
Une fois habillé, le sas de l’avion s’ouvrit sur un long escalier descendant. Offrant aux journalistes le plaisirs des flashes et aux officiels le plaisir des commentaires.
Il avait l’impression que le monde tournait au ralenti.
Des éclats lumineux apparaissaient de toutes part tandis qu’il descendait ces cinq marches au caractère si solennel, les deux autres compères anglais étaient déjà agressé par une nuée de journalistes, friand de récupérer la moindre information sur leur histoire.
Quand Peter posa le pied sur le sol, deux bras vinrent s’agripper au cou du commandant et l’embrasser, il du se ressaisir avant de comprendre qu’il avait enfin dans ces bras, sa femme qui lui avait tant manqué dans ses moment de solitudes et qui lui avait tant fait tenir dans les moment les plus durs, le visage de sa femme offrait pour seul réconfort, le plaisir absolu de savoir qu’a un endroit dans le monde, il n’était pas abandonné et que l’espoir persistait malgrè tout.
-Oh Peter, ils m’avaient pourtant juré… mais on y a jamais … Oh mon dieu… mon amour…
L’étreinte de sa femme, c’était pour lui le plus beau cadeau que l’on puisse offrir à un marin pour les fêtes de Noël.
Quelques photos immortalisèrent ce moment, ils finiraient sans doute dans une salle de cinéma comme outil de propagande, ou il ne savait quoi.
-Monsieur un sentiment ? un commentaire sur votre retour ?
-Le Commodore Algernoon est heureux d’être de retour en Angleterre, savourer un repos bien mérité auprès de sa famille.
Il est aussi ému par cet immense mobilisation interalliée qui lui aura permis de rejoindre sa nation qui l’a toujours soutenu est toujours aidé ses proches dans les moments les plus sombres.
La voix qui s’adressait aux journaliste lui était inconnue, complétement faussé par le caractère officiel. En temps normal, il se serait sans doute effacé, voire aurait tout simplement passé à l’as cet homme.
Mais après plus d’un an de captivité, trahis par la moitié de son équipage, interrogé par ces ennemis, évadé avec l’aide de compagnons d’infortune réincarcéré par ces alliés outre-atlantique et oublié par son propre pays.
C’était seulement maintenant que l’on s’interressait, maintenant que l’on témoignait.
S’en était de trop.
Heureux ?! Ému ?! Pas assez pour me laisser entendre çà ! Pas à moi. Pas après tout çà. Même libéré des allemands , je n’ai pas eu le moindre contact avec un compatriote. Que c’est il passé à Gibraltar, pour qu’à mon retour, je perde la loyauté de mon état-major, que c’est il passé pour que la moitié de mon équipage soit remplacé à Malte par des hommes que l’on me certifié dévoué à la couronne ?
Que c’est il passé pour qu’il ait fallu trois mois à l’Angleterre pour me reconnaître vivant.
Peut-être un peu précipitemment, Peter et sa femme furent subtilement écarté des journalistes, ou bien ce furent les journalistes qui furent reconduits gentiment vers d’autres personnes ?
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