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Friedrich Von Klück
Friedrich Von Klück
Légère brise
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Nation au Front Atlantique : Allemagne
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Date d'inscription : 01/12/2010

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Nationalité: Allemand/Japonais

Des mers chaudes du sud vers le froid mordant du nord Empty Des mers chaudes du sud vers le froid mordant du nord

Jeu 09 Déc 2010, 02:22
Dans le port tranquille et sérénissime de Toulon, un vieux loup de mer allemand mit le pied sur le quai. Il quitte derrière lui son navire, un Vorpostenboot. Il marchait paisiblement dans les rues ensoleillé de la ville française en direction de la capitainerie. Alors qu'il déambulait tranquillement dans ce doux port, il se remémorait le temps qu'il avait passé à former des ingénieurs japonais de l'autre côté de la planète, dans le pacifique...

Le pacifique, quel océan paisible et tranquille. Il y fait tellement chaud et doux. Cette endroit est quasiment paradisiaque. Il l'était moins de ses jour-là avec la guerre sans merci que ce livrait le Japon et les États-Unis.

Il reprit la lettre qui trainait dans ces poches et la relut à nouveau. Même s'il n'y parvenait toujours pas à le croire, malgré son ego de noble prussiens, il jubilait de pouvoir rejoindre la Wikingergeschwader-Dansk. La lettre, adressé par le commandant en second de la flotte, Wilhelm Rollmann, lui indiquait qu'il était muté dans cette prestigieuse flotte. Il devait toutefois remettre le commandement de son navire actuel à un autre ainsi que de prendre le vol vers le port de Kiel.

Kiel. Une ville qu'il n'a pas vue depuis plus de 14 mois. La compagnie de fabrication de navire de guerre léger s'y trouvait. Il s'ennuyait beaucoup de cette ville où il avait passé toute sa vie après la grande Guerre. Il faut dire que son service militaire fut quelconque. Il ne constitua que de léger commandement de patrouilleur avec des mission de patrouilles le long des côtes de la Patrie. Lorsqu'il revint dans la ville, il sentit à l'aise rapidement et reprendre les entreprise de son père lui avait permis de sortir de sa mélancolie. Il devait avouer toutefois que le climat du nord frappait beaucoup avec le temps doux de la méditerrané où il était présentement.

Le voilà en face de la capitainerie. Il s'assure que son uniforme soit à la perfection style prussiens (plus parfait n'existe pas) puis rentre dans le bâtiment teutons. Tout de suite, trois Gefreiter le salua d'un "Heil Korvettenkapitän". Après avoir répondu d'un bref salut, il demanda à voir le Konteradmiral. L'un des caporaux alla informer le commandent du port. Il revint deux minutes plus trad en lui disant: « Herr Schimpf vous attend dans son bureau, Korvettenkapitän Von Klück ».

Von klück entra donc dans le bureau du Contre-Amiral. Un homme de stature imposante était assis sur une chaise de style Louis XIV derrière un bureau en chênes ouvragé. La salle était rempli de classeur, les murs était tapissé de carte navale et de symbole de propagande Nazi. Le prussiens se fit un devoir de lui offrir le plus salut que cette homme pourrait voir de sa vie. Celui-ci se contenta de levé brièvement la main et lui demanda ce qu'il lui voulait. Von klück lui présenta la lettre venant de Kiel puis lui demanda l'autorisation signé de prendre l'avion pour rejoindre sa nouvelle affectation. Ce qui fut fait dans les plus brefs délais.

Après quelque formalité, l'allemand d'une cinquantaine d'années gagna un Kübelwagen qui l'amena à l'aérodrome le plus proche. Arrivé la, on l'informa qu'un vol allait être prêt dans quelque heures. Il alla donc discuter au bar du coin avec les aviateurs. Dans le bar, seuls deux pilotes de Bf-109 ricanaient à gorge déployé. Von Klück leur demanda ce qui pouvait bien être si drôle. Il fut répondu par un long rire tonitruant. L'un d'eux fini par reprendre un temps soit peu son sérieux et lui raconta une histoire rocambolesque qui lui était arriver sur le front de l'est. Peut-être était-ce parce qu'il était marin mais Von Klück n'y comprit rien. Il fit alors semblant de rire puis les salua avant de quitter cette taverne.

De retour à l'aérodrome, on lui demanda s'il voulait souper en attendant l'arriver de l'appareil. Il accepta volontiers, n'ayant pas manger un vrai repas depuis des semaines. On l'assit à une table et lui offrit un verre de vin de Provence. Comme repas, on lui proposa comme entré de la Bouillabaisse, de tapenade, une salade de mesclun puis vint le repas principale: de la brandade de morue. Comme dessert, on vint lui apporter des nougat de Sault.

Sirotant le restant de vin qu'il lui restait, on vint l'informé que le Ju-52 qui allait l'emmener à Kiel était arriver. Il se leva puis demanda à son aide, qui était avec lui depuis 6 moins déjà, d'aller chercher leur affaire puis embarqua dans l'avion. Il allait enfin dans quelque heures revoir sa précieuse ville.

[HRPG] Simple Rp pour demander mon transfet vers Kiel[HRPG/]
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