- Enrique di CastelloViolente tempête
- Autre pseudo : Rôsaru "Vieux Singe" Juzo
Nation au Front Atlantique : Regia Marina
Flottille au Front Atlantique : /
Nation au Front Pacifique : Dai-Nippon Teikoku Kaigun
Flottille au Front Pacifique : Kidô Butai - Ushirodate Kantai
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Date d'inscription : 08/05/2008
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Nationalité: FFL/Américain (Pacifique)
Synécure à la française
Ven 10 Déc 2010, 22:14
Jedediah Cornelitz n'était pas dans son meilleur jour. D'abord la cuite d'hier, mémorable mais douloureuse pour son foie. Ensuite, la raison de sa cuite. Un nouveau naufrage, encore un de plus en trop depuis qu'il avait décidé de sortir des fosses abyssales et gouter à un peu de soleil. Seul point positif, les naufrages en surface ressemblaient à des exercices par rapport aux naufrages sous-marins.
La goute d'eau qui fit déborder le vase, ce fut cette lettre, qui lui fut apportée à l'hopital où il avait échoué, la barbe de trois jours et l'uniforme froissé. Le cri de fureur qui fit trembler les vitres était assez particulier. Representez-vous avec la bouche pateuse, une langue collée au palais, et poussez tout de même un cri non controlé venu du coeur, le resultat est assez surprenant.
Une heure plus tard, le capitaine Cornelitz marchait aux cotés de son ami et camarade Pelot-Erwan, lui-meme sortant de maladie, et il pestait encore.
"A ******** !! Qu'est-ce qu'ils m'envoient foutre à ******** ces ronds de cuir gratte-papier ?! Ah je te jure, quel enfer. Enocre obligés de se séparer vieux frère."
Sur le tarmac, ils se serrerent la main, se donnerent une accolade fraternelle puis se saluèrent dans les regles de l'art. Puis il monta dans l'avion qui l'attendait, tout vrombissant et vomissant de la fumée. Jedediah n'aimait pas les avions. Surtout quand ils le trainaient là où il ne voulait pas aller. Et tandis qu'il s'élevait dans les airs, le capitaine Jedediah Cornelitz pestait encore.
La goute d'eau qui fit déborder le vase, ce fut cette lettre, qui lui fut apportée à l'hopital où il avait échoué, la barbe de trois jours et l'uniforme froissé. Le cri de fureur qui fit trembler les vitres était assez particulier. Representez-vous avec la bouche pateuse, une langue collée au palais, et poussez tout de même un cri non controlé venu du coeur, le resultat est assez surprenant.
Une heure plus tard, le capitaine Cornelitz marchait aux cotés de son ami et camarade Pelot-Erwan, lui-meme sortant de maladie, et il pestait encore.
"A ******** !! Qu'est-ce qu'ils m'envoient foutre à ******** ces ronds de cuir gratte-papier ?! Ah je te jure, quel enfer. Enocre obligés de se séparer vieux frère."
Sur le tarmac, ils se serrerent la main, se donnerent une accolade fraternelle puis se saluèrent dans les regles de l'art. Puis il monta dans l'avion qui l'attendait, tout vrombissant et vomissant de la fumée. Jedediah n'aimait pas les avions. Surtout quand ils le trainaient là où il ne voulait pas aller. Et tandis qu'il s'élevait dans les airs, le capitaine Jedediah Cornelitz pestait encore.
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