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Joachim Schendel
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Grand-frais
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Lun 21 Sep 2009, 21:10
Yoshimi se tenait sur la passerelle de commandement, et tirait cigarette sur cigarette .... quand est-ce que ce maudit chargement serait terminé ??
Le port des Shortlands était seul, et exposé aux raids tant aériens que navals, et Yoshimi le savait. Son torpilleur était la cible de toutes sortes de réparations, chargements et surveillance, et camions faisaient le transit entre dépôts et quai sans interruption depuis près de 2 jours.

Le Gouverneur militaire de l'île marcha vers Yoshimi ... ce dernier appréciait guère cet homme, énorme, qui faisait régner sa loi sur l'île, et d'après les rapports, était d'une efficacité douteuse. Mais depuis plusieurs jours, Obashi Fijuwa harcelait Yoshimi, surement pour que ce dernier envoie un rapport très positif sur lui au HQG de la Marine ... en effet, le rêve d'Obashi était d'avoir un grand bureau à Tokyo, à l'Etat-major Impériale, avec un chauffeur et un salaire confortable, le tout bien loin des tourments et fracas du front.
Mais Yoshimi avait besoin de cet homme pour le chargement, et la protection. Il se pinça les lèvres pour éviter de grimacer en voyant Obashi arriver : "le chargement avance capitaine, je pense que nous aurons terminer demain soir si le rythme est conservé, peut-être plus tôt avec un peu de chance ! Permettez-moi d'insister sur la nécessité d'avoir TOUS vos hommes affectés au chargement, cela serait plus efficace !"
-"Je vous l'ai déjà dis, mes gars sortent de deux mois de combat sans interruption, vos hommes suffiront !". Yoshimi n'avait pas lever la voix, mais l'autre n'insista pas.

Depuis 2 longues journées et une nuit, la plus grande partie de la garnison de l'île était affectée aux chargement de quatre navires de la 8.Kokutaï teikoku Kaigun : les navires de Tomoshige Samejima, son second de la flottille, Bashaoro Zumo, et Tokito Harachi, en plus du sien. Les 3 autres capitaines supervisaient également les chargements et réparations, mais étaient tout aussi épuisés que Yoshimi, après des semaines de combats éprouvants, et plusieurs accrochages avec l'ennemi.
Mais que pouvaient-ils faire d'autre ? Septembre 1943, le Japon avait perdu toute initiative, et avait subit d'importantes défaites sur mer ... et le potentiel industriel américain se faisait sentir, en particulier sur mer, où il n'était pas rare de voir un bâtiment japonais contre 3 alliés ...
Les vétérans des premières années de conflit, voir des années 30, étaient pour la plupart morts, ou alors plus sur le terrain, et l'Armée Impériale subissait les inévitables pertes engendrées par deux ans de guerre acharnée et coûteuse .. mais les soldats de la vieille école étaient remplacés par des "bleus", de moins en moins entraînés, et bien que motivés, ne pouvait réellement remplacés leurs "prédécesseurs".
Yoshimi et bien d'autres le savaient, il fallait frapper, et maintenant.


Perdu dans ses pensées, il n'entendit pas venir son commandant en second, Iro Daishi, d'approcher de lui, et lui donner un rapport. Bon, inutile de cacher la vérité, après des années d'exposition aux explosions et tirs de canons, Yoshimi était devenu un peu sourd, et suite à des éclats d'obus, son bras gauche était devenu raide et douloureux à bouger.
Daishi répéta son rapport, signalant que le moteur était opérationnel, et que la source des coupures d'électricité fréquentes était des rats. "Bon ..".

Mais soudain, une longue plainte déchira le ciel du port ... le haut-parleur de l'alarme de la ville venait d'être activé. Yoshimi connaissait trop bien cette alerte, et marmonna "nom de dieu" en se tournant vers le ciel. Il se rua sur la passerelle, et cria aux hommes, matelots comme soldats, eux aussi fixés sur l'horizon " bougez-vous ! Lâchez vos caisses bordel, remuez-vous !! Batteries aériennes, en position ! Les autres, planquez-vous !". Les matelots se précipitèrent sur les armes anti-aériennes, les autres traversèrent le quai en courant, pour se cacher dans les abris anti-aériens construits un peu partout autour du port.
"Munitions par ici !" "bougez-vous !" Les ordres fusaient, pendant que les canons pointaient vers une dizaine de points noirs, visibles sur l'horizon, volant bas sur la mer.
Déjà, les pièces lourdes de la ville tonnaient, tirant obus sur obus en direction des appareils américains.
Sur les navires voisins, la même agitation frénétique prenait les équipages respectifs, et déjà, les premiers tirs firent trembler la carlingue de l'escorteur O-37 Satsuki.


Dernière édition par Joachim Schendel le Jeu 24 Sep 2009, 11:35, édité 1 fois
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Lun 21 Sep 2009, 21:55
HRP/en espérant que tu m'en veuilles pas de participer à ton rp, mais c'est toujours moins monotone à plusieurs, et on a pas l'impression de se prendre toujours un bide^^/HRP

Tomoshige aussi était à Shortland. Il regardait tranquillement la mer tandis que ces marins remplissaient les cales de munitions et de carburant. Il était en pleine discussion avec son second.
-calibre moyen?
-paré. capitaine.
-carburant?
-en cours de chargement. capitaine.
-Armement principal rechargé.
-Oui, capitaine.
-Armement Anti-Aérien?
L'officier semblait embarrassé. Tomoshige insista.
-Armement Anti-Aérien chargé? répondez!
-Non, capitaine.
-Pourquoi?
-C'est que, capitaine, nos...
-Je ne veux pas savoir. Rechargez moi ces foutus canons. C'est le plus important, imaginez une attaque aérienne, on aurait l'air de quoi si tout les navires tirent sauf le notre?
-Oui capitaine. J'y vais.
Tomoshige n'aimait pas être aussi dur, mais il le fallait, une discipline de fer était garante d'une efficacité sans borne. C'est ça qui faisait toutes la différence entre le Japon et les Américains, les Japonais avaient une discipline très dure, jamais ils ne reculaient. Les Américains eux était plutôt coulant, il se reposait très souvent. Ils étaient des hommes ramollis, presque pas des soldats.
Tomoshige lui était un ancien, il savait comment faire pour que la discipline règne sur son navire. Le moindre pas de travers était sévèrement punie, mais d'un autre côté, toutes action bénéfique était bien récompensée.
Les marins respectaient Tomoshige car même si il était quelqu'un de rude, il savais récompenser bien mieux qu'il savait punir. C'était ça qui faisait toute la différence.
Tomoshige n'était pas un lâche. Quand il y avait un combat, il était sur le pont, il ne bougeait pas, parfois les obus éclataient à côté de lui, et il restait impassible, dans les combats, il était toujours étrangement calme. Et tout l'équipage l'était également aussi.

Ainsi lorsque sur les navires avoisinants, les artilleurs se mirent en position, Tomoshige donna l'ordre de faire de même, il savait que l'aviation ennemie arrivait, même si il ne savait pas de où.
Tout à coup, on lui indiqua une direction, il regarda avec ses jumelles, une grosse quinzaine d'appareil Américain arrivait.
Tomoshige savait que très probablement des bombardiers suivraient. Il fallait détruire ces premiers avions afin de permettre aux chasseurs Japonais de détruire les bombardiers.

Il cria à son second:

-Alors, ce rechargement?
-se sera fait capitaine.

Tomoshige observait de ses jumelles les avions arrivés, il ne bougeait pas, dangereusement exposé au tir ennemi, il restait impassible et jetait un coup d'œil rapide aux armements AA.

Le combat commença, les mitrailleuses s'activèrent, et un avion fut déjà touché, s'écrasant lourdement contre le quai.
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Mar 22 Sep 2009, 20:53
HRP : pas de souci ! Wink



Yoshimi compta 16 appareils américains, des chasseurs probablement. Déjà, les ordres fudaient de toute part "Munitions par ici !", "enlevez les cales", "bougez-vous" ... quelques secondes plus tard, les canons antiaériens légers et les mitrailleuses rugirent, déversant une barrière en acier vers les appareils ennemis. Le groupe d'avions se sépara en deux : le premier se tourna vers le sud de la baie, où étaient situés chantiers et dépôts, l'autre vers les quais, où étaient amarrés navires et cargos.

Déjà, les lourdes pièces antiaériennes de la garnison ouvrirent le feu, faisant tonner le ciel du port.

Le premier appareil balaya le quai de ces mitrailleuses, mettant en feu un camion. Les soldats couraient vers les abris anti-aériens, construits tout près. La première bombe manqua son objectif, mais fit trembler le sol. Les 2e, 3e et 4e appareils se précipitèrent sur des hangars, faisant voler des plaques de tôles lorsque leurs bombes touchèrent le sol. Un F4F Wildcat passa à quelques mètres au-dessus du Satsuki, faisant trembler le pont. Instinctivement, Yoshimi et ses officiers se baissèrent ... le chasseur passa si près qu'on pouvait distinguer l'étoile blanche et le n° de l'appareil ... plusieurs bombes touchèrent l'eau, dont une près de l'escorteur, faisant tomber des hommes sur le pont. Un remorqueur fut touché de plein fouet, et une grosse boule de feu monta vers le ciel.

Déjà, un avion, en flammes, s'écrasa sur le quai ..; un "carton" de l'escorteur voisin du capitaine Samejima, semble t'il ! Un autre appareil explosa en vol, touché par les batteries de la ville.
Un Wildcat dépassa l'escorteur à grande vitesse, mais une mitrailleuse lourde le mit en feu, et il s'écrasa quelques centaines de mètres plus loin, dans un grand geyser d'eau et de fumée.

Tout l'armement du navire tirait, y compris l'armement principal (des canons de 120), et un chasseur se mit à fumer, mais resta avec ses congénères.
Une autre bombe tomba sur un cargo amarré un peu plus loin, déclenchant un grand incendie.

Yoshimi ne sut pas combien de temps l'attaque dura, mais après seulement un passage, les chasseurs américains se rassemblèrent et mirent cap vers le sud.
l'O-37 Satsuki n'avait pas été sérieusement touché, ni les autres bâtiments de la flottille.
Par contre, le remorquer était engloutit par les eaux, et le cargo était en proie à un énorme incendie, et les équipes de pompiers étaient déjà à l'œuvre.

Yoshimi descendit la passerelle, sur le pont, où ses hommes rechargeaient et vérifiaient les armes, encore fumantes. Sur le quai, un camion était en flammes, et deux soldats avaient été déchiquetés par l'explosion, leur sang se mêlant aux gravats. Yoshimi dégoûté, regarda ailleurs ... il s'était toujours féliciter de ne pas avoir choisi la voie terrestre ... peut-être à cause de son grand-père, revenu mutilé de la guerre de 1905, et qui avait été condamné à ne plus marcher de sa vie, ou encore à la "cruauté du front" ..
La guerre sur mer était cruelle, mais il était plus facile d'y réchapper ... et les marins pouvaient être surs que leurs cadavres ne pourriraient pas sur terre, mais auraient en vrai tombeau, ici, dans l'océan. Après tout, c'est une vision des choses !

Obashi, le chef de la garnison, courra vers lui : il était en sueur, et avait visiblement couru sur deux cent mètres -jusqu'aux abris- un certain exploit sportif au vu de son gabarit !
"Je viens d'avoir un rapport, j'ai au moins 10 morts de mon côté, et deux hangars foutus, sans parler de plusieurs véhicules et se cargo qui bouche le quai n°5 !".
-"c'était prévisible, il n'y a aucun radar ici, et les patrouilles aériennes sont minimes ; comment voulez-vous prévoir une attaque américaine ?".
-" vous savez, il me reste 26 chasseurs, les autres onté té transférés au front ... d'ailleurs, je ne sais même pas s'il me restera un seul avant la fin du mois !"
Mais Yoshimi ne l'écoutait pas ... il avait clairement reconnu les F4F Wldcat, petits chasseurs embarqués américains -très efficaces- : ces chasseurs avaient un faible rayon d'action, ils ne pouvaient venir d'une base terrestre ... tout alla alors très vite, et une seule conclusion se posa : les chasseurs venaient d'un porte-avion ... et qui dit porte-avion, dit escorte, dit soutien aérien, et surtout, grand danger pour un navire amarré !
Il était plus que temps de partir.

Déjà, les soldats, encore sonnés, avaient repris le transit entre dépôts et le Satsuki, pendant que d'autres réparaient et dégageaient les dégâts. Le capitaine Shirane donna une limite de 48h : après cette date, ils devront être sortis du port !



Mais on est en droit de se demander pourquoi le HQG n'a pas accordé son traditionnel "cadeau" de fin de mission, consistant en une dizaine de jours de repos, où lui et ses hommes peuvent se reposer et goûter à un peu de tranquillité. Pourtant, là, rien, et il s'agissait plus d'une escale qu'une véritable "fin de mission" !
Après quasiment deux mois de combats, les nerfs étaient mis à rude épreuve, tout comme la mécanique !
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Mar 22 Sep 2009, 21:33
Tomoshige avait regardé toutes l'attaque aérienne, lorsque les appareils Américains quittèrent la zone, il n'y eut aucun hourra, rien.
Les dégâts sur l'escorteur Mikura était très léger, en fait il n'y en avait aucun, les mitrailleuses d'un des appareils avait touché le navire mais n'avait fait aucun dégât, Tomoshige, dans sa discipline habituelle ordonna de repasser un coup de peinture sur la coque et de masquer les impacts sur le pont. Tomoshige disait toujours que le moral était important et qu'il était mieux d'avoir l'impression de combattre sur un navire neuf que sur un navire tout miteux, même si techniquement il n'y a aucune différence.

Après avoir vérifier l'état de l'appareil, il alla saluer les artilleurs qui abattirent l'avion, car Tomoshige savait récompenser. Il les invita à prendre le repas du soir avec lui. Pour les Japonais, c'était un privilège que personne n'osait refusé.

Un message arriva, c'était du commandant Shirane, il ordonnait le départ dans 48 heures. Tomoshige répondit que ça pouvait être dans un quart d'heure si il le fallait.
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Jeu 24 Sep 2009, 11:34
Tout c'était merveilleusement bien déroulé ...

Yoshimi avait prévu une sortie, au couché du soleil, avec les capitaines de la 8ème présents. Ils avaient foncés hors de la rade, dans une coordination parfaite, et en un temps record.
Les 3 navires de surface et le sous-marin s'étaient précipités sur les deux navires américains bloquant le port au nord-est. Certes, aucun n'avait été coulé, mais le destroyer avait été sérieusement mis à mal, et les deux navires avaient fuis, pour aucun dégâts côté nippon.
Cette manœuvre et attaque, opérées en quelques minutes, avait montré son efficacité.

Yoshimi était, entre autres, très fier de ses hommes.

Mais avant ce départ précipité, une lettre top secrète était arrivée à Yoshimi et au second de la flottille, Tomoshige Samejima : cette grosse enveloppe, cachetée avec le sceau impérial, ne devait être ouverte qu'en mer, à une position donnée. C'était surement la raison de cette escale-éclair aux Shortlands, qui avait "mangé" les dix jours de repos des marins japonais.
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Jeu 24 Sep 2009, 17:03
Tomoshige sortit du port à l'aube, avec le reste de la flottille.
Les coups de canons résonnèrent, mais hélas très peu touchèrent au but.
En effet, à l'aube, il était très dur de toucher le destroyer. Et aucun des coups de canons du navire de Tomoshige ne toucha le navire. Il resta impassible, il savait que l'énervement pour des tirs ratés mettait une mauvaise humeur au sein de l'équipage et que lui serait mal vu et considéré comme un mauvais. Aussi Tomoshige ne sermonna personne, mais il prit soin de noter le nom des mauvais artilleurs comme à son habitude. Ils ressentiront les effets mais indirectement.

Le navire cible parvint à partir au loin dans les ténèbres de la nuit. Mais Tomoshige avait une petite idée de sa direction. Il donna une direction au navigateur.
-Mais capitaine, dans la nuit, nous ne le retrouveront jamais.
-Exécutez monsieur.
Le navigateur broncha. Et Tomoshige alla dans sa cabine, une lettre que lui avait donné l'amirauté l'attendait sur son bureau.
"A n'ouvrir que sur la position 71" était-il écrit.
Tomoshige regarda la position, c'était loin, trop loin. Pour satisfaire sa curiosité, Tomoshige ne tint pas compte de l'avertissement. Après tout, si l'amirauté donnait de telles consignes c'était pour que l'info soit sécurisée jusqu'au dernier moment. Et Tomoshige savait bien qu'il était quelqu'un de confiance. En plus, l'autre raison est probablement que l'amirauté veut que les capitaines connaissent les objectifs au dernier moment, afin que ceux-ci ne puissent pas contrer les ordres. En plus, il n'avait rien demandé lui, si il était second s'était uniquement pour remplacer Yoshimi Shirane absent une durée indéterminée simplement parce qu'il avait reçu un obus un peu trop près, lui ne voulait pas être second et n'avait rien demandé. Se déculpabilisant ainsi, Tomoshige ouvrit le message. Et lu entièrement.

Après la lecture, il ne comprit pas pourquoi l'amirauté demandait de l'ouvrir à une certaines positions. En soi, cela ne changeait rien, et ces consignes avaient certainement un but que Tomoshige ne connaissait pas. Car même si Tomoshige était loin d'être un idiot, il partait du principe que la hiérarchie était importante et savait se qu'il faisait. En effet, l'empereur nommait les amiraux, et comme Tomoshige avait fait allégeance à l'empereur, il se devait de suivre les amiraux.
Tomoshige envoya un message radio à Shirane:
J'attends les consignes commandant.
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