Das U-Polyp

Le U-Polyp... Un nom qui va parfaitement bien avec l'insigne de ce sous-marins... de ces sous-marins, coulé, puis re-coulés, puis coulés encore, malgré sa, le commandant et son équipage continue toujours le combat, depuis Novembre dernier.

23 Navires de coulés, dont 6, lors de sa première campagne avec les Espadons Rieurs, riant après chauqe navire coulés. Une flotille avec d'excellent sous-mariniers, qui crée la térreur dans l'océan Atlantique.

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Le U-Polyp, et son équipage est rentrée pour la première fois au port avec un sous-marins de type VIIA, nous devons refaire le pleins de torpilles, malheureusement... L'équipage, revenu heureux, et souriant, sur le pont du sous-marins, applaudit et se fesant sifflé par les autres marins et sous-mariniers déjà au port. C'est le seul VIIA au port à ce moment la.
Arrivé au quais, les hommes se mirent en rangé, et au garde à vous en face du sous-marins et du commandant Shutz.

- Bien messieurs, je suis très content aujourd'hui de servir à vos côtés, vous avez de quoi être fière, vous avez sû faire marché l'ordre de choses. Je demanderais à ce que vous tous soyez recommandé au près de l'amirauté, et félicité par nos officiers superieurs. Nous repartons demain. Mais avant tout, reposez vous, puis à un moment donné, vous devrez remplir le sous marins de 15 torpilles, pas de carburant, ni de munitions pour aucun canon. Se sera tout fesant un salut Rompez !

Les marins et officiers inferieure se mirent à recherché tout d'abord, si de la famille était la pour les accueillirs, 3 femmes et un homme était la, un père, et une fiancée, femme ou mère... Pour les autres beaucoup savèrent que leurs familles ne serait pas la. Ils rejoignirent alors leurs casèrnement, moi pareil. Le soleil était tombés, fesant relevé la lune dans le ciel, une pleine lune.

J'entendais, au loins, quelques tonnement de canons, bien au large de Brest, mais qui était tout de même loin. Ceci ne m'empêcha pas de dormir.

Au lendemain matin, je me leva à 8 heures, me mit dans ma tenue d'officier, malgré que je pouvais le faire, je ne me rasa pas ma petite barbe, moins importante que d'autres des hommes que j'ai sous mon commandement !

J'allais dans le bar des officiers, ou ils y servaient aussi des croissants, et du café typiquement français, en y allant, je vus mes hommes embarquement les torpilles, et nettoyé de près ou de loins le sous marins, et astiquant le dessin de la pieuvre sur le kiosque



Arrivé dans le bar des officiers, je vis le Bar Man et lui demandait de me donné 4 croissants et une tasse de café, avec une "pointe" de Cognac dedans.
Je pris mon petit-dèj', avec deux autres officiers superieur, on mangea en même temps, jusqu'à 8 heures 50.

Je repris ensuite mes quartiers, regardant quelques dossiers de flottille ennemis, avec une lecture très attentive des flotilles Française, jamais nous n'avions était coulés par eux, jamais nous n'en coulèrent. Cela allez peut-être changés. Dans ces dossiers, nous savons quelques une des bases qu'ils fréquentent...
Sur le chemin, j'allais peut-être croisés des britannique et des américains, nous n'avons coulés que de sa, et nous en étions très fière, mais je jeta un coup d'oeil dans ces dossiers, pour connaitre mieux nos énnemis. Dans mon porte document, en cuir marrons, je mis quelques dossiers dedans, puis j'allais voir à nouveaux mon équipage travaillé...

Alors qu'il regardait ses hommes s'affairer, un soldat s'approcha du kaulent Shutz et lui remit un radio télégramme vieux de plusieurs semaines.

Stockholm 05/09/4...

A mon ami Erwin Shutz,

Je profite de mon escale malheureuse a Stockholm pour vous écrire. Sachez que depuis votre mutation de la 7. pour la flottille "Die lachende Schwertfische". Je m'informe régulièrement de vos exploits et a chaque fois, je constate que vous avez gardé votre appétit de jeune loup affamé.

Et j'imagine sans peine que vous en avez gardé la fougue également. N'oubliez pas : tout vient à point à qui sait attendre

Bonne chasse.

Amicalement Dietrich von ludwig

Reçevant la lettre, je l'ouvrit à la hâte, lisant ces quelques lignes :

A mon ami Erwin Shutz,

Je profite de mon escale malheureuse a Stockholm pour vous écrire. Sachez que depuis votre mutation de la 7. pour la flottille "Die lachende Schwertfische". Je m'informe régulièrement de vos exploits et a chaque fois, je constate que vous avez gardé votre appétit de jeune loup affamé.

Et j'imagine sans peine que vous en avez gardé la fougue également. N'oubliez pas : tout vient à point à qui sait attendre

Bonne chasse.

Amicalement Dietrich von ludwig

Sacré Dietrich, toujours répondant présent, sacrée vieux Loup de Mer...


12 Septembre 194... 22 heures 30

L'équipage était prêt toujours en face de moi ainsi qu'en face du sous marins, au garde à vous, certain avait rasé leurs barbes, d'autres non, mais ils étaient lavés.
Les torpilles étaient prêtent, les vivres aussi, le sous-marins comme neuf...
Je pris la parole.

Messieurs, sous-mariniers, nous repartons cette nuit dans notre vaillant sous-marins, dont vous avez pris grand soins, soyez fière de vous, nous allons repartir, sans objéctif primaire. Soyez fière de servir sous la grande Allemagne !
Leutnant Eckel, prenait le relais, dispersé les hommes dans leurs tâche.
Ja Obeurleutnant !

Pendant que je me dirigeais dans ma cabine, mon second répartissait les hommes à leurs tâches. 15 minutes plus tard le sous-marins était en route, vers je ne sais ou. Je ressortis alors les documents de mon attache-caisse, et les exploitait.

13 Septembre, 11 heures.

Mes hommes à la barre, un observateur au kiosque, les torpilleurs sont à leurs postes...
Il est rare que je laisse des hommes au kiosque, à part cet observateur, et mon second. Qui ont tout les deux de très bon yeux.

Le navigateur essaie tant bien que mal de nous faire évité les mines qui se trouve au large de brest.

Le secteur ou se situé les mines était passé, enfin... Mais bon, ce n'était pas la première fois que nous passions par la. 3 navires allemands se situé la, ainsi qu'un... Croiseur léger classe Arethusa ! Vers 11 heures 30, un torpilleur l'attaqa de plein fouet, le touchant à 3 reprise, ainsi qu'avec ces tubes lance-torpilles.

Je ne perdis pas de temps pour dire qu'il fallait l'attaquait tout de suite si nous voulions détruire ce croiseur. On se mit en vitesse modérée, et tout de suite après, les torpilleurs chassèrent une torpilles.

Coulés !

1e victoire pour cette nouvelle campagne ! A peine être sorti du port, déjà une victoire, un grand réjouissement se firent voir part tout l'équipage...