nouveau secteur d' opération

Quand dietrich ouvrit les yeux, ce fut pour ce rendre compte, qu'il était dans sa cabine et que sa permission n'était qu'un rêve.



Il se dirigea vers le broc d'eau et en versa dans la bassine, s'en aspergea le visage, se passa une main dans ses cheveux ébouriffés et pesta contre le monde. Puis se dirigea vers le poste de commandement, les oscillations du U-666 lui fit comprendre qu'il naviguait en surface. Arrive au poste, il montra son paquet de cigarette a Spitz avec le pouce levé et monta dans le kiosque. Celui ci emboita le pas de son supérieur et le rejoignit a l'air libre.

A bord du "Anna Widow", les journées se succédaient dans un calme et une monotonie qui le faisait ressembler a une caserne de province où les évènements extérieurs n'arrivaient que de façon assourdie.


Deux hommes n'avaient guère dormis, le radio qui n'avait qu'écouté le silence et Spitz qui n'avait pas arrêté de calculer de nouvelles routes pour les prochains jours. Dietrich fit relever le premier et monta dans le kiosque avec le second.

Alors que proposes tu ?

Spitz fit son rapport et exposa les avantages et inconvénients de chacune de ses propositions.

Bien..bien... contactons les autres Kaulent et comparons leurs observations et nous déciderons ou agir cette fois ci. Signalez a l'équipage que la mission d'observation est terminée et que nous nous rendons au point de rendez vous.

Le U-666 naviguait en surface depuis deux jours. La semaine écoulée fut d'une intense activitée, les contacts s'enchainèrent les uns après les autres. Le calme était enfin revenu. Cette fois encore il s'en était fallu de peu, lorsque le "Anna Widow" fut repéré par le croiseur léger classe Atlanta et que celui ci le grenada. Blessé le U-666 réussit a s'en sortir.

Sur le pont et dans le U-boot les équipes s'affairaient a remettre en état le bâtiment. Par moment de ses blessures, le mazout s'échappait et révélait la position du submersible. De plus une partie du ravitaillement fut souillée lors de l'apparition des avaries.

Dans ces conditions, Dietrich décida que la campagne était arrivée au maximum de son rayon d'action et qu'il était temps de mettre le cap sur la mère patrie.

Les détonations du canon de pont de 20mm, empêchaient les deux officiers du U-666 de converser et par moment les cris d'excitations des servants couvraient celui de leur canon. Les obus traçants filaient droits au buts et balayaient le pont du navire adverse. Du haut du kiosque et a l'aide de leurs jumelles, ils voyaient les marins s'effondrer sur le pont alors qu'ils espéraient s'échapper de l'enfer en se jetant a l'eau.

A l'arrière plan, deux tanker en flamme s'abimaient doucement entourés d'une mer de feu, le vent tournant poussait maintenant la fumée et les cris vers le U-666. Le kaulent von ludwig fit taire le canon et mit en route son U-Boot pour le sortir du nuage nauséabond qui commençait a l'entourer.

Malgré le tableau apocalyptique qu'ils venaient de créer, les hommes présents sur le pont étaient content d'eux mêmes. Pour cette fois ci, ils étaient les vainqueurs.

Spitz, on va manœuvrer le nuage nous masque la vue... On va les reprendre par l'autre flanc...

- Bien mon kaulent....

Le requin d'acier effectua une courte course courbe et se positionna sur le flanc oppose du convoi. L'inexpérience du chef de convoi face a l"implacable pince de fer qui l'enserrait facilitait sa mise a mort. Il avait beau appliquer les ordres d'abandons et de laisser derrière lui, les navires touchés lors des contact précédant.

Mais il ne pouvait que constater l'inévitable, l'un après l'autre ses navires prenaient feu et ses S.O.S restaient lettre morte.

Dietrich attendit que la torpille fut tirée, pour donner l'ordre au canon de pont de reprendre le tir. Les artilleurs furent repris de frénésie et continuèrent a exorcisé leur peur en infligeant la mort sans remords aucuns.

La torpille de l'officier Krugger toucha une nouvelle cible, il venait de gagner son pari trois tirs, trois touches et en flank, depuis le début de la campagne ses tirs avoisinait les 99% de réussite. Dietrich pensa que son officier méritait une citation et qu'il le consignerait dans le livre de bord.

Spitz faite recharger les tubes, on va s'occuper de la queue du convoi et ensuite on remontera sur la tête. Un minimum doit survivre.....

=Bien mon kaulent...

Finalement le Kaulent decida de se porter sur la tête du convoi. Le Capitaine Allié utilisa toutes les tactiques apprissent pour s'échapper pendant la nuit, mais elles se révélèrent toutes vaines.

Au petit jour, le U-666 se retrouva a nouveau en position. Dietrich choisit sa cible, le cargo C2 laissait s'échapper un épais nuage noir de par les ouverture de son pont.

Salle des torpilles...Krugger coordonnée de la cible.....

-Bien reçu....torpille lancée....

Elle fila droit vers son but, balafrant la surface de l'océan avant d'aller déchirer la tôle et de semer la mort dans l'équipage. Elle annonça la fin de sa course par une explosion et une projection de tôle et de matériels divers.

Salle des torpilles... Krugger t'a le cul bordé de nouilles... 4 sur 4 félicitation

Pendant ce temps, le cargo C2 disparaissait a son tour en mer et rejoignait ses prédécesseur. L'explosion n'avait pas surpris le chef de convoi, résigné il observait et consignait dans son livre de bord l'une après l'autre les pertes qu'il subissait.

A bord du "Anna Widow" le sentiment d'impunité avait chasser les idées noires et regalvaniser le moral. Un matelot s'était même permit de faire fonctionner le phonographe...




Krugger nouvelles coordonnées.......

-Bien reçu.... torpille lancée...

Comme ses homologues, elles fila silencieuse pour terminer en apothéose contre la coque du cargo C4.

Des Teufels wettern..Krugger 5/5

Le chef de convoi, réussit a se soustraire une journée entière au U-666 en profitant d'une importante nappe de brouillard. Mais quand celle ci se dissipa. Il ne pu que constater que le prédateur était toujours là.

A son approche, dietrich remarqua que le cargo C4 s'abimait en mer. Il porta son choix sur le cargo C3 qui fermait la formation.

L'officier Krugger fit une nouvelle fois montre de son talent et continua sa série gagnante en faisant mouche pour la sixième fois consécutive.

Le convoi n'était plus maintenant que composer de navires a faible tirage. Respectant les consignes reçues, le U-666 laissa filer les survivants et se remit en chasse de cible plus conséquentes.

-Spitz.. prenez contact pour ravitaillement..

Sous le soleil d'été, par rotation des groupes de matelots venaient en profiter sur le pont du U-666 et s'y détendaient. Par la trappe de pont ouverte le son d'une musique passant à la radio remontait jusqu'a eux. Appuyé sur la base du kiosque, le Kaulent complétait son carnet de bord et rédigeait son rapport hebdomadaire pour le quartier général.

Il venait de terminer celui ci et à sa relecture il souriait. Il faut dire que ce dernier contact avait été intense. Le convoi se composait de 11 navires et ils l'avaient abandonné avec seulement quatre navires survivants, mais que de faibles tonnages. Ceux envoyé par le fond, par contre n'étaient pas négligeable : 2 Tanker, et toute la gamme des cargo C dont deux C4.

L'inspection technique du bâtiment n'avait révélé aucune usure anormale, malgré la longue période passée en mer. Les réparations apportées au éléments touché tenaient a merveille. Sur ce point aucune inquiétude a avoir. L'équipage n'avait jamais été aussi motivé et lui aussi supportait bien cette longue campagne.

Les nouvelles de la mère patrie étaient toujours les mêmes, les Alliés continuaient leur blocus de port et laissaient ainsi toute liberté a son groupe. Que du pure bonheur, pour de long mois encore.

Il se saisit de la tasse de café a coté de lui, se leva et regardant vers l'Est. Il la leva pour porter un toast :..........

Messieurs les Alliés, a votre santé et merci ...............

Après une petite semaine de recherche, la vigie se fit entendre.....

Silhouette a l'horizon.... trois navires.... se sont des cargos........

Spitz faites le relevé de la route et transmettez a la base pour la cartographie des routes...Faites pousser les machines on peut le rattraper

Le U-666 glissa plus rapidement et se dirigea sur ses proies.

Le convoi composé de trois navires marchand fut plus rapidement envoyé par le fond, que rattrapé. Les tubes a peine rechargés qu' à l'horizon on devinait de nouvelles cibles. L'équipage du U-666 craignait qu'il ne s"agisse d'une escadre de combat envoyé en secours. Mais la vigie experte rassura tout le monde....

C'est un nouveau convoi : .... Un tanker... Un marchand côtier. .... Un tanker T3-S2-A1... La même composition que celui envoyé par le fond...

Bien changement de cap, on va leur couper la route...

Depuis le dernier convoi, la mer s'était transformée en désert, pas plus de convoi que de caravane de bédouins par temps de tempête de sable.

Les vigies se brulaient les yeux en vain, l'équipage tombait par moment en léthargie et le moral oscillait entre haut et bas. Il fallait a tout prix un peu d'action, le seul point positif était le temps toujours au beau fixe.

Toujours sous le soleil, dietrich en compagnie des vigies scrutaient l'horizon, quand Spitz apparu en brandissant un papier.

-Un patrouilleur Tp PC et un destroyer Cl Caldwell repérés voici leur coordonnée....

Les ordres furent rapidement donnés et le U-666 fila vers les deux proies potentiels. Arrivé sur la zone, les officiers du U-Boot remarquèrent que le patrouilleur laissait s'échapper de la fumée et se tenait légèrement en retrait du destroyer.

Une torpille se révéla suffisante pour l'envoyer par le fond et le destroyer se retrouva sans protection aucune contre le U-666, qui manœuvra pour lui porter sa première attaque.

Le U-171 alerté par par son ami Dietrich, de la présence des 2 US, arrivait pour la curée.

Arrivé sur place il ne restait qu'un destroyer en flamme qui ne demandait qu'à prendre l'eau.

Les ordres furent lancer :

SURFACE !

Le 88 en batterie, tir sur la ligne de flottaison, pour le coup de grace.

Après 4 tirs le Destroyer s'effoncait dans les eaux bleus, de ces Mers du Sud.

Son travaille accompli le U-171 retourna sous la protection des profondeurs.

Dietrich referma son journal de bord, l'escarmouche de la journée fut expliquée en quelques lignes.

Le lendemain les bâtiments de la Kriegsmarine se retrouvèrent au point de ralliement et naviguèrent de conserve toute la journée. Ils étaient arrivés a la moitié de leur mission et toujours aucune perte a déclarer de leur coté. Le U-666 fut bien une fois atteint sérieusement mais le vieux Tp II encaissa les coups et prouva sa solidité. Ce qui n'était pas le cas du coté de la flotte Alliée. Leur perte devait approcher la trentaine de navires envoyés par le fond.

Les Officiers discutèrent une journée entière et a la fin de celle ci, tous mirent le cap sur la nouvelle destination, le sourire aux lèvres.

La zone d'action que les capitaines avaient choisie, se révéla plus que satisfaisante. Elle était aussi fréquentée que les grands boulevard de Berlin. Pas un jour sans que plusieurs navires alliés ne s'enflamment ou ne sombrent.

Le travail de cartographie et de repérage des routes de convois était de plus en plus positif, ils en étaient a leur sixième zone et comme les précédentes, a leur départ ils ne restera que des carcasses fumantes en surface et dans les profondeurs de futurs ilots a corail et refuge a poissons.

Suite a une avarie, le U-666 prit du retard sur son plan d'action. Mais finalement elle n'influença pas sur les résultats d'actions lancées sur la flotte marchande alliée. Celle ci fut saignée a blanc dans l'indifférence des états majors alliées.

Voila bien des mois que le "Anna Widow" n'avait navigué sous la surface, même maintenant qu'il approchait des côtes Française. Une suprématie des mers par les Alliés, peut être le jour ou la luftwaffe ne serait plus maître des cieux.

A la lecture des rapports reçus, Dietrich appris que la France libre aux abois avait nommée au poste de commandement de sa flotte de méditerranée, un officier polonais, féminin de surcroit. Un petit séjour en méditerranée pourquoi pas ? Couler un français, ce ne doit pas être plus difficile a couler qu'un navire marchand.

L'officier de liaison Voss de la 7. reçu copie du message et ce dit enfin, ils sont de retour.

L'escadre K.R.K composée de la 7. Unterseebootsflottille Der Stier et de Die Schildkröten der Hölle avait appareillé de Trondheim le 15 mars 194. et effectué le tour complet de l'atlantique en huit mois et demi et deux escales. Le but était de repérer les routes de ravitaillement dans l'Atlantique Nord et Sud et toutes les mers contiguës.

L'ordonnance pénétra dans le bureau :

-votre voiture vous attends pour vous conduire au port

- Bien, allons recevoir nos vieux amis et en apprendre plus sur leur voyage.

De : kaulent Dietrich von ludwig, commandant du U-666 - responsable de l'escadre K.R.K
A : QG amiral Dönitz


Page 1 : membres participants
Page 2 : relevés techniques
Page 3 : Zones intéressantes

Avant d''entrer dans les détails de la mission et des découvertes faites pendant les huit mois et demi que celle ci dura. Je citerais d'abord les officiers participants et le rôle de chacun. Ne pouvant en mettre un seul en avant, ils seront cité par ordre alphabétique.

NAVIRES DE SOUTIEN :

- le Kpt Kurt Jurgens de la 7. Der Stier et commandant du "Kormoran" Cl Petit ravitailleur

Perdu dans une tempête magnétique au large des Bermudes, mais retrouva bien vite le cap

- le Kpt Horst Kuscher des services spéciaux de la kriegsmarine et commandant du "Wilhlem Bauer" U-Boot-Begleitschiff classe Wilhlem Bauer

toujours présent et d'une efficacité sans faille

- le Klt Werner Freimann de Die Schildkröten der Hölle et commandant du Ub-40 Type XIV

comme ses deux compagnons toujours au poste et souvent devant en éclaireur

Pour ces trois officiers, qui ont fait preuve d'abnégation dans leur rôle ingrat de ravitailleur mais combien stratégique car sans eux nous n'y serions jamais parvenus. Je me permet de les citer pour le tableau d'honneur de la kriegsmarine.

MILITAIRES :

- le Kpt Maximilian Berner von Pommern de la 7. Der Stier et commandant du "KMS Pommern" Destroyer Type 1934

Affecté récemment au sein de la 7. nous a rejoins au large du Maroc et a participer a l'escorte de l'escadre pour son retour

- le Kpt Heinrich Bleichrodt de Die Schildkröten der Hölle et commandant du "KMS Schwan II" Torpilleur Type 1939

A terminé la mission depuis les côtes Africaines les soutes a munitions complètement vide

- le Klt Günther Pfeffer de la 7. Der Stier et commandant du U-171 Type VIIa

dont la sobriété n'a d'égal que son efficacité

- le Klt dietrich von ludwig de la 7. Der Stier et commandant du U-666 "Anna Widow" Type IId

Surpris par les patrouilleurs de la défense du port de Bermuda, s'en sorti de justesse avec son U-Boot bien endommagé

- le Klt Heinrich Von Schweizer de la 7. Der Stier et commandant du "Die Forelle" U-Boot Type VIIa

Bloqué a Trondheim pendant quinze jours pour réparations, se lança dans une traversée en solitaire de l'atlantique et fut récupéré a court de carburant par l'escadre au large des bermudes

L'action de ces Kapitaine et kaulent a empêché nombres de Kleine Rote Kappe* d'arriver chez leur grand-mère. Eux aussi, je me permet de les citer pour le tableau d'honneur de la kriegsmarine.


Kleine Rote Kappe* : le petit chaperon rouge

Dans une chambre de bonne, au dernier étage d'un immeuble bourgeois. Qui borde les avenues de toutes ville Française qui se respecte, deux Hommes se faisaient face autour d'une table bancale.

Le Capitaine Jean-Pierre Marie de la gentille chaumière prit la parole en brandissant la feuille de papier :

- Vous ne me donnez qu'une page d'un rapport qui en compte trois !!!!

-J'en suis désolé mon capitaine, mais notre source n'a pu se procurer les autres.....

-Que vais je transmettre a Londres, nous ne sommes même pas sur que cette opération ai vraiment eu lieu, vous imaginez huit bâtiments de la kriegsmarine faisant le tour de l'Atlantique sans danger aucuns qui va nous croirent.

-Je ne sais que vous dirent mon capitaine..........

De la rue monta un brouhaha et un tumulte

Le deuxieme homme s'approcha de la petite fenêtre.......

Mon Capitaine on nous a trahis !!!!!!!!!!

Les deux hommes s'échappèrent par les toits.......

Malgré son premier revers, la résistance française fit de son mieux pour en savoir plus.

Le Capitaine Jean-Pierre Marie de la gentille chaumière se décida a joué son atout en la personne de Mademoiselle Rose Bouquet. Qui du charme de ses pétales, arriva a embobiner le rude et fière Kapitaine Kuscher et a lui subtiliser un relevé cartographique fait lors de sa dernière mission :


Toujours sceptique le Capitaine attendit qu'un nouveau rapport de ses services lui rapporta l'incident suivant :

Mademoiselle Geneviève, vieille fille engagée depuis le début de l’occupation à l’amirauté du port, rangeait les dossiers et tapait les lettres devant sa machine à écrire sans autres bruits que le cliquetis des lettres frappant le cylindre et le papier.

Le bureau venait d’accueillir la nouvelle et de la cave au grenier l’on ne parlait que de cela. Une poignée de militaires Allemands venait de rentrer de neuf mois de mer en ayant fait le tour complet de l’Atlantique. A mots couverts l’on parlait d’eux comme les nouveaux découvreurs ou de héros nationales et dans l’excitation du moment l’atmosphère ce faisait plus relâchée.

Mademoiselle Geneviève ouvrit la farde tamponnée en rouge vif et signé de la main de l’Amiral en personne… une photo glissa…

… c’était celle du Wilhelm Bauer ravitaillant le U-171 en pleine mer et sous le soleil de l’Atlantique Sud. Elle parcouru les escales : Trondheim… Bermuda… Fort-de-France… Natal… Bijagos Achipelo… Las Palmas…

Alors qu’elle mémorisait la première page, l’officier entra…

Ja Sehr Gut… fit-il à une tierce personne du bureau d’a coté… Ah madame Geneviève… ce rapport doit partir pour Berlin avec le courrier du soir…

Bien monsieur…

Note : merci au Kpt Kuscher pour ce post et a bientôt de la part de K.R.K

La météo annonçant un plafond bas pour plusieurs jours et des chutes de neige sur la France. L'état major de la kriegsmarine en profita pour affréter un convoi ferroviaire spécial destiné a rapatrier a Berlin les Officiers et équipage de l'escadre K.R.K.

Le convoi de camion en provenance de la base maritime fut repéré lorsqu'il s'engagea dans la rue louis braille qu'il continua jusqu'à la gare. A leur descente de camion et au moment de leur rassemblement devant la gare, toute la ville de En Oriant compris que la rumeur qui circulait dans ses rues depuis plusieurs jours était vrai.

Jamais depuis leur arrivée les allemands n'avaient effectué un tel transfert de troupes, quelques jours après l'arrivée de bâtiments dans la base navale.

Après avoir été exhibés lors de différentes cérémonies et une visite à l'académie naval de Kiel et une permission fort courte, la 7. repris la mer.

Mais voila, rien qui flotte avec un drapeau ennemi a l'horizon. A croire que toute la flotte alliée reposait sur le fond. Pourtant on leur avait signalé une activitée ennemie ces jours derniers, mais surement renseignés par leur espions la flotte ennemie s'était retirée.

Alors que la semaine écoulée fut d'un ennui mortel, un matin la flotte adverse surgit du brouillard. On aurait pu croire a une charge de cosaque.

La multitude de patrouilleurs et gardes côtes encadrants les rares navires de combats, rendirent la situation délicate. le combat fut rapide et intense, l'escadre perdit un U-Boot et un destroyer.

Ordre de dispersion fut donné et l'escadre trouva son salut dans un repli ordonné et l'adversaire tomba dans le piège. Le U-666 s'attaqua a l'arrière garde et étoffa son palmarès.

De U-666
A QG 7.

contact a plusieurs reprises - bâtiments coulés 1 Patrouilleur Type G8 - 1 Garde-côtes classe Uragan - 1 Destroyer classe Sverdlov - 1 Garde-côtes classe Yastreb - Adversaire a disparu continuons la maraude

31 décembre 194., une journée dont ce souviendra longtemps le Cpt Pavel Tchenko trop avide de couler un convoi de l'axe. Son empressement le jetta directement dans les griffes du U-666.

-Il est en approche mon Kaulent par le N.O

Bien.. Chargez les tubes 1 2 et 3

- Tubes chargez

tube 1 feu.... 2 feu.... 3 feu ....

- Torpilles lancées....

- En écoutes... impact une minute.......

Brouuummmmm ............ Brouuuummmmmmm........ Brouummmmmmmmmmmmm

- Trois impacts mon kaulent et le dernier plus violent.......

immersion périscopique, pour vérifier.

Splendide le Croiseur léger classe Chervona Ukraina prend une forte gîte, il brule de toutes parts. Celui là c'est sur fêtera pas le nouvel an.

En approche lente on l'achève au canon.

Finalement, Dietrich laissa l'opportunite au soviet de fêter le nouvel an. Mais au vu de l'état du bâtiment, ils n'en eurent surement pas l'occasion et furent plus occuper a boucher les voies d'eau a l'aide de poutres et de quelques planches de bois.

La mise a mort eu lieu dans la nuit de la Saint Sylvestre, par le tir de deux torpilles.

Dietrich s'approcha du radio et lui tendi un message

Tiens transmet ce message sur la fréquence indiquée....

Le radio parcouru rapidement le texte et leva la tête vers son kaulent, avec un large sourire..... et ce mit a émettre.

De : kaulent von ludwig
A : Siviernii Flot

Vous souhaitons de nombreux naufrages pour l'année 2011 - Vous laissons le plaisir d'annoncer au Petit Père des Peuples la mésaventure du Cpt Pavel Tchenko et de son "Belvogrod" fière Croiseur léger classe Chervona Ukraina - A bientôt