[ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
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Aleksandr Pavlovich
Lucky Epnol
Luigi Leone
Yoshida Itsuru
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- Yoshida ItsuruGrand-frais
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[ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Mar 31 Oct 2023, 14:34
Salutation à toutes et à tous,
Demain commencera le NaNoWriMo 2023 et pour cette occasion le SPA vous propose que les joueurs de Das Boot y participent à leur manière.
Pour ceux qui ne connaissent pas le principe du NaNoWriMo voici un petit résumé des règles :
- Ecrire une histoire de minimum 50 000 mots durant le mois de Novembre.
Notre communauté participera donc à sa manière sans pour autant passer plusieurs heures par jour à rédiger. Le mois qui arrive seras donc placé sous le signe de la rédaction de RP Das Bootiens et Das Bootiennes. Notre objectif sera d’atteindre le palier de 10 000 mots sur le mois de novembre, 20% du défi originel, en combinant tous les RP des joueurs et joueuses, aussi bien alliés qu’axiens. Voici un petit résumé des règles et des récompenses que vous pourrez gagner.
Règles :
- Période de l’action : 1er Octobre 1943 – 31 Décembre 1943 (évènement marquant non exhaustifs : fin de la libération de la Corse, conférence de Téhéran, Bataille du Cap Nord et naufrage du Scharnhorst, etc…)
- Longueur : 500 mots minimum par RP (environ une page en caractères 12 sur Word)
- Nombre de RP par participant : Illimité
- Le ou les RP doivent être une création originale pour cette animation
- Publication dans ce sujet, à la suite de ce message, du 1er Novembre à 00h00 au 30 Novembre à 23h59
Récompense par participant avec la publication d’au minimum 1 RP :
Participation à l’évènement et objectif des 10 000 mots collectif non atteint : 500 PP
Participation à l’évènement et objectif des 10 000 mots collectif atteint : 1 500 PP
On espère vous voir nombreux à participer, et bon courage à tous !
Demain commencera le NaNoWriMo 2023 et pour cette occasion le SPA vous propose que les joueurs de Das Boot y participent à leur manière.
Pour ceux qui ne connaissent pas le principe du NaNoWriMo voici un petit résumé des règles :
- Ecrire une histoire de minimum 50 000 mots durant le mois de Novembre.
Notre communauté participera donc à sa manière sans pour autant passer plusieurs heures par jour à rédiger. Le mois qui arrive seras donc placé sous le signe de la rédaction de RP Das Bootiens et Das Bootiennes. Notre objectif sera d’atteindre le palier de 10 000 mots sur le mois de novembre, 20% du défi originel, en combinant tous les RP des joueurs et joueuses, aussi bien alliés qu’axiens. Voici un petit résumé des règles et des récompenses que vous pourrez gagner.
Règles :
- Période de l’action : 1er Octobre 1943 – 31 Décembre 1943 (évènement marquant non exhaustifs : fin de la libération de la Corse, conférence de Téhéran, Bataille du Cap Nord et naufrage du Scharnhorst, etc…)
- Longueur : 500 mots minimum par RP (environ une page en caractères 12 sur Word)
- Nombre de RP par participant : Illimité
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- Publication dans ce sujet, à la suite de ce message, du 1er Novembre à 00h00 au 30 Novembre à 23h59
Récompense par participant avec la publication d’au minimum 1 RP :
Participation à l’évènement et objectif des 10 000 mots collectif non atteint : 500 PP
Participation à l’évènement et objectif des 10 000 mots collectif atteint : 1 500 PP
On espère vous voir nombreux à participer, et bon courage à tous !
- Luigi LeoneTempête
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Jeu 02 Nov 2023, 23:24
Cela faisait des mois que le Cagni avait quitté Bordeaux. Malgré les espérance del Duche pour montrer sa puissance, auprès de son allié allemand, la BETASOM n'existait plus. Le Cagni était le dernier sous-marin italien, à Bordeaux. De plus, le Cagni fut le dernier sous-marin italien à passer Gibraltar, à la barbe des Britanniques, comme d'habitude, un jeu d'enfant avec ces amateurs.
Par la suite, il eu pour mission de patrouiller dans l'Atlantique Sud, contre les convois alliés. Le Capitaine Liannazza et son équiipage n'était pas au courant du changement d'alliance de l'Italie à la suite de l'invasion de la Sicille et du Sud de l'Italie. Evidement, les allemands n'ont point informé l'équipage italien sur cette modification.
Sans connaître les évenements qui se passent à terre. Le Cagni et son équipage, pousuit sa mission dans l'Atlantique Sud.
(j'ai lancé ce rp, il est ouvert à ceux qui souhaitent y répondre)
Par la suite, il eu pour mission de patrouiller dans l'Atlantique Sud, contre les convois alliés. Le Capitaine Liannazza et son équiipage n'était pas au courant du changement d'alliance de l'Italie à la suite de l'invasion de la Sicille et du Sud de l'Italie. Evidement, les allemands n'ont point informé l'équipage italien sur cette modification.
Sans connaître les évenements qui se passent à terre. Le Cagni et son équipage, pousuit sa mission dans l'Atlantique Sud.
(j'ai lancé ce rp, il est ouvert à ceux qui souhaitent y répondre)
- Lucky EpnolVent calme
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Sam 04 Nov 2023, 18:56
Bonjour Luigi Leone,
Intéressant début de RP, le Cagni revient il en Méditerranée pour un ultime baroud d'honneur?
Par contre, vu la taille et les performances au combat des submersibles italiens, je ne suis pas sûr que leur équipage puisse allègrement parler des "amateurs" britanniques de Gibraltar dans le domaine ASM...
Intéressant début de RP, le Cagni revient il en Méditerranée pour un ultime baroud d'honneur?
Par contre, vu la taille et les performances au combat des submersibles italiens, je ne suis pas sûr que leur équipage puisse allègrement parler des "amateurs" britanniques de Gibraltar dans le domaine ASM...
- Luigi LeoneTempête
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Dim 05 Nov 2023, 21:40
Bonjour Lucky,
Les subs italiens sont venus à Bordeaux en passant par Gibraltar, qui est un petit détroit étroitement contrôlé par les britanniques. Donc les sous-mariniers italiens sont en droit de penser que les anglais sont des amateurs sur le coup. Pour le moment, le Cagni fût envoyé dans le sud de l'Atlantique pour lutter contre les alliés. Son équipage lutte pour l'Italie, mais c'est le moment clé du changement d'alliance de ce pays, avec la chute du Duche. Je ne sais pas si le rp que je propose correspond bien au NANOWRIMO (vous pouviez pas trouver un nom de maladie plus compliqué les gars :p). Mais voilà, je propose un sub italien lâché dans l'Atlantique pour chasser de l'allié, sans être au courant de ce qui se passe en Italie. A voir ce qu'il se passe par la suite, suivant les réponses de ceux qui souhaitent y participer librement. Le Cagni réagira suivant les informations qu'il recevra, et également suivant leur interprétation de par son équipage.
Les subs italiens sont venus à Bordeaux en passant par Gibraltar, qui est un petit détroit étroitement contrôlé par les britanniques. Donc les sous-mariniers italiens sont en droit de penser que les anglais sont des amateurs sur le coup. Pour le moment, le Cagni fût envoyé dans le sud de l'Atlantique pour lutter contre les alliés. Son équipage lutte pour l'Italie, mais c'est le moment clé du changement d'alliance de ce pays, avec la chute du Duche. Je ne sais pas si le rp que je propose correspond bien au NANOWRIMO (vous pouviez pas trouver un nom de maladie plus compliqué les gars :p). Mais voilà, je propose un sub italien lâché dans l'Atlantique pour chasser de l'allié, sans être au courant de ce qui se passe en Italie. A voir ce qu'il se passe par la suite, suivant les réponses de ceux qui souhaitent y participer librement. Le Cagni réagira suivant les informations qu'il recevra, et également suivant leur interprétation de par son équipage.
- Aleksandr PavlovichTempête
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Jeu 09 Nov 2023, 10:42
Camarade Luigi,
Je trouve l'idée sympa et qui plus est très original. Ca me tente bien de parler de cet évènement. On pourrait presque rajouter quelques petits détails propre à DB pour agrémenter le texte, je m'explique :
" Alors que le Cagni voguait tranquillement depuis des semaines dans les eaux calmes de la pointe Sud de l'Afrique, sans un navire ennemi à moins de 100.000 nautiques, un étrange point noir apparu tout à coup au loin fonçant à toute vitesse sur sa direction précise. L'équipage sur le pont, interloqué par un tel évènement, met du temps à comprendre qu'il s'agissait là d'un navire ennemi. Incompréhensible !! Ils étaient seul il y 'a encore 5 mn sans âme qui vive autour d'eux.
Le chef de quart, le dernier à plonger dans la salle de commandement, etait livide lorsqu'il ferma l'écoutille et se retourna vers le commandant alors en alerte combat.
_"Capitano...Le bateau c'est un navire militaire, un destroyer je pense..." balbutia-t-il d'une voix faible.
_"Bien entendu, vous pensiez quoi Alessandro? Que vu sa vitesse c'était un cargo ?" rétorqua le commandant un semblant irritié.
_"Bien sûr que non Capitaine...Mais le plus étrange dans tout ça c'est que j'ai vu une étoile rouge sur le flanc de sa coque...Comme si c'était un navire Soviétique...".Le temps sembla s’arrêter dans la salle de commandement.Tout le monde se regarda sans dire un mot.Tous avaient à l'esprit cette histoire d'un navire Soviétique qui pouvait couler les sous-marins d'une seule grenade, le fameux Gorkiy.Cette arme redoutable dont tout le monde parle mais que personne n'a eu l'occasion de relater directement à part peut être dans l’au-delà.
_"AU POSTE DE COMBAAAAAT!!!" La voix tremblante, le capitaine s'efforça de masquer sa crainte en adoptant un comportement de leader.La seule chose qu'il pouvait encore contrôler sous l'effet de la panique.
Le navire ne mis pas très longtemps à se positionner pile au dessus de leur tête, le grenadage ne dura que quelques minutes, suffisante pour envoyer le Cagni au fond de l'océan et mettre fin prématurément à sa mission dans l'Atlantique Sud.
Lorsque les archives secrètes furent disponibles à la fin de la guerre, les historiens de l'époque se rendirent compte que le Cagni, petit submersible Italien enclin à éviter les détections en temps normal, le fût par un procédé somme toute peu orthodoxe (pas mal pour des Soviétiques) appelé la triangulation. Il s'avèrera que sa présence avait été signalée par un navire atelier se trouvant aux portes d'Istanbul avec un coeff de 123 !!
Il n'aura fallu que quelques jours au Gorkiy pour mettre fin au voyage du Cagni et à cette menace qui se trouvait trop proche de la Mer Noire....
P.S : J'espère que cette reconstitution plaira à tous
Je trouve l'idée sympa et qui plus est très original. Ca me tente bien de parler de cet évènement. On pourrait presque rajouter quelques petits détails propre à DB pour agrémenter le texte, je m'explique :
" Alors que le Cagni voguait tranquillement depuis des semaines dans les eaux calmes de la pointe Sud de l'Afrique, sans un navire ennemi à moins de 100.000 nautiques, un étrange point noir apparu tout à coup au loin fonçant à toute vitesse sur sa direction précise. L'équipage sur le pont, interloqué par un tel évènement, met du temps à comprendre qu'il s'agissait là d'un navire ennemi. Incompréhensible !! Ils étaient seul il y 'a encore 5 mn sans âme qui vive autour d'eux.
Le chef de quart, le dernier à plonger dans la salle de commandement, etait livide lorsqu'il ferma l'écoutille et se retourna vers le commandant alors en alerte combat.
_"Capitano...Le bateau c'est un navire militaire, un destroyer je pense..." balbutia-t-il d'une voix faible.
_"Bien entendu, vous pensiez quoi Alessandro? Que vu sa vitesse c'était un cargo ?" rétorqua le commandant un semblant irritié.
_"Bien sûr que non Capitaine...Mais le plus étrange dans tout ça c'est que j'ai vu une étoile rouge sur le flanc de sa coque...Comme si c'était un navire Soviétique...".Le temps sembla s’arrêter dans la salle de commandement.Tout le monde se regarda sans dire un mot.Tous avaient à l'esprit cette histoire d'un navire Soviétique qui pouvait couler les sous-marins d'une seule grenade, le fameux Gorkiy.Cette arme redoutable dont tout le monde parle mais que personne n'a eu l'occasion de relater directement à part peut être dans l’au-delà.
_"AU POSTE DE COMBAAAAAT!!!" La voix tremblante, le capitaine s'efforça de masquer sa crainte en adoptant un comportement de leader.La seule chose qu'il pouvait encore contrôler sous l'effet de la panique.
Le navire ne mis pas très longtemps à se positionner pile au dessus de leur tête, le grenadage ne dura que quelques minutes, suffisante pour envoyer le Cagni au fond de l'océan et mettre fin prématurément à sa mission dans l'Atlantique Sud.
Lorsque les archives secrètes furent disponibles à la fin de la guerre, les historiens de l'époque se rendirent compte que le Cagni, petit submersible Italien enclin à éviter les détections en temps normal, le fût par un procédé somme toute peu orthodoxe (pas mal pour des Soviétiques) appelé la triangulation. Il s'avèrera que sa présence avait été signalée par un navire atelier se trouvant aux portes d'Istanbul avec un coeff de 123 !!
Il n'aura fallu que quelques jours au Gorkiy pour mettre fin au voyage du Cagni et à cette menace qui se trouvait trop proche de la Mer Noire....
P.S : J'espère que cette reconstitution plaira à tous
- Luigi LeoneTempête
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Sam 11 Nov 2023, 00:14
Grazie Aleksander, pour ta participation à ce rp.
J'espère que ce rp correspond à ceux qui l'ont organisé. Mon idée, je gère le commandant du Cagni, qu'il doit faire face au renversement du Duché et par conséquent d'alliance de l'armada italienne. Je propose aux joueurs de choisir un rôle pour tenter d'influencer le Cagni à leur manière, entre les allemands et italiens pro-musso qui souhaitent le garder avec eux, au contraire, des alliés et autres ritals qui souhaitent l'informer de la situation et du changement d'alliances. Des navires alliés, comme l'horreur du Gorki comme indiqué par Aleks, et autres qui menacent ce sub. De même, vous pouvez choisir la position d'un membre de l'équipage, second ou autre pour influencer la prise de décision du Cagni. Cela fut discuter au sein du Cagni sur la marche à suivre à ce moment. Rien n'est décidé, laissons place au rp maintenant.
-----
Des popovs par ici? Le Capitaine Liannaza, ne pouvait comprendre leur présence dans ces eaux. Ils connaissaient ces saletés et il valait mieux faire profil bas contre-eux.
Une fois l'orage russe passé, ce qui le préoccupait le plus, ce fut le manque de réponse de la BETASOM. C'est inhabituel, et bien plus préoccupant que le Gorkiy au final... Que se passe-il en surface? La base est leur unique lien avec le monde du bruit. Et surtout que dire aux hommes. Le manque d'information est bien plus dangereux pour le moral que le moindre grenadage.
Cherchant ses môts afin de maintenir la concentration et motivation des membres de son équipage.
Sûrement que Rommel est prêt de faire tomber Alexandrie et que les alliés envoient leurs dernières réserves pour tenter de maintenir une présence dans l'Océan Indien. Souhaitons-leur un bon accueil, à coup de torpilles, nêtes-vous pas d'accord les gars.
Une acclamation de l'ensemble du Cagni, confirma la motivation de l'équipage, pour mener à bien sa mission.
J'espère que ce rp correspond à ceux qui l'ont organisé. Mon idée, je gère le commandant du Cagni, qu'il doit faire face au renversement du Duché et par conséquent d'alliance de l'armada italienne. Je propose aux joueurs de choisir un rôle pour tenter d'influencer le Cagni à leur manière, entre les allemands et italiens pro-musso qui souhaitent le garder avec eux, au contraire, des alliés et autres ritals qui souhaitent l'informer de la situation et du changement d'alliances. Des navires alliés, comme l'horreur du Gorki comme indiqué par Aleks, et autres qui menacent ce sub. De même, vous pouvez choisir la position d'un membre de l'équipage, second ou autre pour influencer la prise de décision du Cagni. Cela fut discuter au sein du Cagni sur la marche à suivre à ce moment. Rien n'est décidé, laissons place au rp maintenant.
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Des popovs par ici? Le Capitaine Liannaza, ne pouvait comprendre leur présence dans ces eaux. Ils connaissaient ces saletés et il valait mieux faire profil bas contre-eux.
Une fois l'orage russe passé, ce qui le préoccupait le plus, ce fut le manque de réponse de la BETASOM. C'est inhabituel, et bien plus préoccupant que le Gorkiy au final... Que se passe-il en surface? La base est leur unique lien avec le monde du bruit. Et surtout que dire aux hommes. Le manque d'information est bien plus dangereux pour le moral que le moindre grenadage.
Cherchant ses môts afin de maintenir la concentration et motivation des membres de son équipage.
Sûrement que Rommel est prêt de faire tomber Alexandrie et que les alliés envoient leurs dernières réserves pour tenter de maintenir une présence dans l'Océan Indien. Souhaitons-leur un bon accueil, à coup de torpilles, nêtes-vous pas d'accord les gars.
Une acclamation de l'ensemble du Cagni, confirma la motivation de l'équipage, pour mener à bien sa mission.
- Yoshida ItsuruGrand-frais
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Mar 14 Nov 2023, 12:06
La torpille fantôme réaliste
14 novembre 1943 – quelque part au milieu de l’Atlantique
Une alarme nous vrilla les tympans. Mes camarades et moi nous précipitâmes dehors, enfilant à la hâte nos gilets de sauvetage et nos casques. Un officier nous attendait à coté de notre affut de 40mm Bofors.
- Entrainement au tir anti-aérien ! N’oubliez pas que le président nous regarde depuis l’Iowa !
Je ne pus m’empêcher de jeter un regard à la silhouette massive du cuirassé naviguant à bâbord. Quelque part sur ce bâtiment le président des Etats-Unis d’Amérique, Franklin Delano Roosevelt, nous regardait. Je me reconcentrai sur mon travail, fier de pouvoir montrer au président la puissance et la compétence de notre marine.
Un à un, les ballons d’entrainement qui dérivaient vers notre direction furent abattus par l’armement anti-aérien. Heureux de notre performance, nous nous félicitions l’un l’autre jusqu’à ce que l’un de nous demande à la passerelle extérieure juste derrière nous.
- Vous voyez Roosvelt ?
- C’est compliqué de louper un mec en fauteuil roulant sur un navire de guerre, répondit l’une des vigies les jumelles devant les yeux.
Notre fou rire fut coupé quand le commandant Walter apparut à côté de la vigie.
- Le président demande une démonstration d’un entrainement à la torpille, cria-t-il vers les affuts au centre du navire.
Les marins s’afférèrent autours des tubes lance torpilles. Un de mes camarades réussit à mettre la main sur une paire de jumelles. Tour à tour nous nous la passions, à mon tour je pus observer le président. Il était entouré de tout un tas de gradés que ça soit de la Navy, de l’Air Force ou de l’armée de terre. Je ressentis encore ce sentiment de fierté mais je me sentais aussi intimidé.
- Torpilles parées pour l’entrainement !
Je m’arrachais à l’observation du navire le plus important de notre flotte pour me rapprocher des affuts des torpilles autant que la sécurité me le permettait. Deux hommes étaient assis sur le sommet des tubes tandis que l’affut pivotait en direction de l’Iowa. Les ordres s’enchainèrent jusqu’à la simulation du lancement.
- Tube 1 : Feu ! ordonna l’un des deux hommes.
- Tube 1 : Feu ! répéta l’autre.
Il actionna dans un bruit de claquement métallique une manette qui aurait en temps normal du déclencher le lancement de la torpille.
- Tube 2 : Feu !
- Tube 2 : Feu !
Le même bruit métallique se fit entendre.
Puis ce fut au tour de celui de l’air comprimé qui, se détendant, émit un bruit ressemblant à une explosion et recouvrit le navire. Sans comprendre ce qu’il se passait, un cigare de métal de plusieurs mètres de long avec une hélice en queue fut projeté en l’air. Pendant une fraction de seconde il parut léviter avant de plonger dans la surface bleue. Bientôt la seule trace qu’il nous resta de lui fut un sillage de bulles blanches fonçant vers le président.
Une seconde passa où le bruit des vagues contre la coque fut l’unique son que l’on put attendre. Puis une volée d’ordres et de mot injurieux scanda l’air autour de nous. La passerelle était en ébullition, des marins couraient dans tous les sens. Le silence radio oblige, un jeune matelot fut obligé de transmettre l’information par une lampe à signaux.
Mon regard oscillait de notre lampe à signaux à celle de l’Iowa en passant par la trainée blanche de la torpille. Tandis que je décryptais tant bien que mal la conversation désordonnée et incohérente, je voyais la torpille continuer inexorablement sa route. Je vis le visage du matelot se décomposer à mesure que les secondes passaient.
- Au diable le silence radio, prévenez l’Iowa par tous les moyens ! cria le commandant.
J’entendis ses mots au moment où je perdis de vu la torpille. Autours de moi aucun de mes camarades n’avaient bougé, nous n’avons reçu aucun ordre pour nous sortir de notre stupéfaction.
Le cuirassé se mit alors à abattre sur tribord, dans notre direction. Le silence gagna de nouveau notre destroyer. Le navire du président avait enfin compris notre erreur mais nous ne savions pas encore si la manœuvre d’évitement avait été faite à temps. Je remis les jumelles devant mes yeux et scrutais l’imposante silhouette se dirigeant vers nous.
Des dizaines de secondes passèrent et je remarquais alors la silhouette du président, où plutôt celle de son fauteuil roulant, disparaitre à l’intérieur du navire. Il ressortit sur le côté bâbord, celui où normalement passerait la torpille si l’incident était évité. Le voir nonchalamment demander à voir le sillage de la torpille me figea. N’avait-il pas conscience de la puissance de cette arme ? Chaque muscle de mon corps était tendu de peur.
Pendant plusieurs dizaines de secondes tout le monde retint son souffle, le regard rivé dans la direction prise par la torpille. Seul le claquement des vagues, le sifflement du vent et le ronronnement des machines étaient perceptibles.
La délivrance arriva quand une gerbe d’eau s’éleva plusieurs centaines de mètres sur l’arrière du navire amiral. Nous avons sauté de joie avec mes camarades, des soupirs de relâchement se firent entendre tout le long du bordé où était rassemblé l’équipage inquiet. Un discret sourire de soulagement était visible sur le visage du commandant, mais celui-ci disparut quand l’Iowa eu rejoint sa place dans la formation.
Le cuirassé avait ses canons de 406mm braqué sur nous et les montagnes russes émotionnelles recommencèrent. Un sentiment de peur et d’incompréhension nous envahit. Le commandant Walter se précipita alors à l’intérieur. Pendant de longues minutes une discussion devait avoir lieu entre lui et l’état-major pour clarifier l’incident.
Au moment où j’écris ces lignes nous sommes en route pour les Bermudes. La raison de la mise en joue de la part du cuirassé, et je suppose d’un branle-bas de combat sur les autres navires, était la crainte d’un attentat contre la vie du président. Par notre malchance, ou notre incompétence pour certains, nous avons dû quitter l’escorte pour nous diriger vers les Bermudes le temps qu’une enquête soit faite et que de nouveaux ordres nous soient donnés.
[HRP]---------------------------------------------------------------------------------------------------- [HRP]
Note : Cette histoire est une version romancée des évènements et peut donc comporter certaines erreurs. Si vous voulez en apprendre plus sur cet évènement voici la page Wikipédia du destroyer William D. Porter dont je conte la mésaventure : https://fr.wikipedia.org/wiki/USS_William_D._Porter_(DD-579)
Total de mots section HRP non inclue : 1016
- Valerio BorgheseVent frais
- Autre pseudo : Kimitake Iraoka
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Mar 14 Nov 2023, 19:15
Mogadiscio, 14 novembre 1943
La petite brise marine parvenait à peine à rafraichir l'air autour du kiosque du sous-marin. Amarré au bout du quai, le "Marconi" était une boite de conserve brûlante que son équipage avait déserté pour profiter des bains de mer à la plage voisine. Seuls les hommes de quart, le radio et les officiers de veille étaient encore à bord, ou plutôt affalés sur le kiosque, sous une toile de tente sensée faire écran au soleil ravageur qui écrasait la côte des Somalis.
Les bières étaient tièdes, les fruits que les vendeurs locaux apportaient, pastèques et figues de Barbarie, étaient tièdes. Rien dans ce pays ne semblait fait pour le confort des hommes. La nuit seulement, une fraicheur salvatrice parvenait à rafraichir l'air et l'équipage dormait sur le pont ou sur le quai.
La discipline s'était relâchée depuis que la tension était retombée et que "l'Enrico Corradini" avait traversé l'Atlantique pour, enfin, rejoindre un port ami.
Valerio Borghese avait laissé son équipage profiter de cette escale bienvenue après ces longs mois de mer. L'angoisse de la navigation en surface, le rationnement, chaque jour passé sans mauvaise rencontre ou incident notable tenait presque du miracle.
Mais ici, à "Moga", depuis une semaine qu'ils étaient à quai, il s'inquiétait de n'avoir reçu encore aucune nouvelles de cette fichue mission.
Que devenaient ses camarades de la XIII ? Etaient-ils en Méditerranée comme prévu, faisant route vers l'Egypte ? Ou bien suivaient-ils ses traces pour rejoindre aussi Mogadiscio ?
Valerio Borghese ne pouvait qu'attendre la suite des ordres et se tenir prêt à reprendre la mer. Les messages cryptés envoyés à l'EM restaient pour le moment sans réponses. Attendre. Encore et toujours.
Le radio captait la radio anglaise qui donnait des informations plus précises que la propagande de la radio d'état Italienne, et les nouvelles du front étaient rarement bonnes. La pression des Anglo-Américains était partout, et les Allemands avaient fort à faire et d'autres chats à fouetter que de venir aider leurs Alliés Italiens. L'invasion de l'Europe semblait inévitable à brève échéance. Il fallait couper les voies de communications maritimes de l'ennemi par tous les moyens.
Mais comment ? Ce n'était pas avec son seul sous-marin qu'il allait changer le cours des évènements. Suez.
Peut-être qu'en bloquant Suez et le flot continue des renforts Alliés en armes et hommes venus de tout le CommonWealth, l'issue de la guerre pourrait changer. C'était sa théorie, mais il n'était qu'un simple officier subalterne, loin de la Mère Patrie, et son avis ne comptait pas, de toute façon.
(à suivre)
La petite brise marine parvenait à peine à rafraichir l'air autour du kiosque du sous-marin. Amarré au bout du quai, le "Marconi" était une boite de conserve brûlante que son équipage avait déserté pour profiter des bains de mer à la plage voisine. Seuls les hommes de quart, le radio et les officiers de veille étaient encore à bord, ou plutôt affalés sur le kiosque, sous une toile de tente sensée faire écran au soleil ravageur qui écrasait la côte des Somalis.
Les bières étaient tièdes, les fruits que les vendeurs locaux apportaient, pastèques et figues de Barbarie, étaient tièdes. Rien dans ce pays ne semblait fait pour le confort des hommes. La nuit seulement, une fraicheur salvatrice parvenait à rafraichir l'air et l'équipage dormait sur le pont ou sur le quai.
La discipline s'était relâchée depuis que la tension était retombée et que "l'Enrico Corradini" avait traversé l'Atlantique pour, enfin, rejoindre un port ami.
Valerio Borghese avait laissé son équipage profiter de cette escale bienvenue après ces longs mois de mer. L'angoisse de la navigation en surface, le rationnement, chaque jour passé sans mauvaise rencontre ou incident notable tenait presque du miracle.
Mais ici, à "Moga", depuis une semaine qu'ils étaient à quai, il s'inquiétait de n'avoir reçu encore aucune nouvelles de cette fichue mission.
Que devenaient ses camarades de la XIII ? Etaient-ils en Méditerranée comme prévu, faisant route vers l'Egypte ? Ou bien suivaient-ils ses traces pour rejoindre aussi Mogadiscio ?
Valerio Borghese ne pouvait qu'attendre la suite des ordres et se tenir prêt à reprendre la mer. Les messages cryptés envoyés à l'EM restaient pour le moment sans réponses. Attendre. Encore et toujours.
Le radio captait la radio anglaise qui donnait des informations plus précises que la propagande de la radio d'état Italienne, et les nouvelles du front étaient rarement bonnes. La pression des Anglo-Américains était partout, et les Allemands avaient fort à faire et d'autres chats à fouetter que de venir aider leurs Alliés Italiens. L'invasion de l'Europe semblait inévitable à brève échéance. Il fallait couper les voies de communications maritimes de l'ennemi par tous les moyens.
Mais comment ? Ce n'était pas avec son seul sous-marin qu'il allait changer le cours des évènements. Suez.
Peut-être qu'en bloquant Suez et le flot continue des renforts Alliés en armes et hommes venus de tout le CommonWealth, l'issue de la guerre pourrait changer. C'était sa théorie, mais il n'était qu'un simple officier subalterne, loin de la Mère Patrie, et son avis ne comptait pas, de toute façon.
(à suivre)
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Dim 19 Nov 2023, 21:00
Voici un RP prenant pour cadre la Bataille d'Ouessant, vaillants soldats et marins trop souvent éclipsés derrière les Britanniques
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Les vagues grondaient violemment autour de notre destroyer, le Huron, alors que nous nous frayions un chemin à travers les eaux agitées de l'Atlantique. Le vent hurlait comme s'il refusait de nous laisser avancer vers notre destination incertaine. Mes mains étaient crispées sur la rambarde, mon regard fixé sur l'horizon obscurci par les nuages menaçants. J'avais l'impression que chaque instant pouvait être le dernier. Pourtant, nous étions en 1944. Juin 1944. Le grand débarquement avait réussi. J’étais, comme tout le monde, estomaqué par cette opération gardée si longtemps secrète. Le capitaine nous avait récemment seulement appris notre rôle dans Neptune: garder le flanc droit loin au large, bloquer la remontée des submersibles allemands depuis la façade atlantique et les grandes bases de Brest, Lorient et Bordeaux. Avec un ASDIC et de quoi tirer 20 charges de profondeur, nous étions prêts. Mais nous n’avions pas vraiment imaginé que l’ennemi pouvait attaquer aussi audacieusement.
Les projecteurs balayaient l'obscurité, révélant des silhouettes menaçantes émergeant des flots tumultueux. Les navires ennemis étaient à portée de tir, leurs canons crachant des éclairs de feu qui illuminaient le ciel assombri. Le Huron s'est engagé dans la bataille avec une détermination farouche, nos propres canons crachant des salves de feu et d'acier dans un ballet mortel. Trois destroyers adverses et un torpilleur. Nous les avions détecté au radar et surpris par notre attaque : l’Ashanti avait immédiatement touché d’une torpille le premier navire allemand.
Pourtant, notre commandant avait ordonné une manœuvre risquée pour tenter de contrer les attaques incessantes des navires ennemis. A côté du Haida, nous nous étions élancés pour couper la retraite à nos adversaires, abandonnent le Tartar. Le pauvre navire britannique avait subi la riposte des destroyers allemands mais avait pu s’échapper, en coupant les projecteurs et cessant le tir. Les Allemands renoncèrent à les suivre en voyant notre débordement. Mais alors ils se tournèrent vers nous.
Chaque coup de canon était une prière silencieuse pour que nos tirs atteignent leur cible, pour que notre force réduite de deux destroyers canadiens puisse venir à bout des deux navires allemands. Une bataille honorable une bataille équitable. Donc une bataille dangereuse. Je me souviens avoir ressenti l'adrénaline monter en moi, le pouls martelant dans mes tempes alors que je manœuvrais l'artillerie avec une précision presque surnaturelle. Le sifflement des obus sifflant au-dessus de nos têtes était comme une mélodie sinistre, et le grondement sourd des explosions était un rappel constant de la fragilité de la vie.
Heureusement, la situation nous était favorable. Le torpilleur allemand comptait pour peu vu la nuit et les vitesses rapides des navires. Les pièces de 150 mm du Z32 pourraient nous ravager sans coup férir à longue portée. Mais, la nuit imposant une réduction de la distance, nous parvînmes à faire feu de nos 119 et 102 mm, plus nombreux. Les coups portèrent. L'odeur acre de la fumée de poudre se mêlèrent à l'air marin salé, créant une atmosphère oppressante qui semblait étouffer l'espoir. Je me rappelle encore le rugissement des moteurs, les cris des hommes, et le grondement continu des explosions qui secouaient le navire de la proue à la poupe. Les éclats d'obus déchiraient l'air, pulvérisant l'eau autour de nous en gerbes tumultueuses. Chaque minute, chaque seconde, nous savions que nos vies pouvaient basculer dans l'abîme de l'océan. Mais malgré la terreur qui menaçait de submerger nos esprits, il y avait une détermination farouche dans le regard de chacun, une conviction inébranlable que nous devions tenir bon, coûte que coûte.
Et soudain, tout s’arrêta. Le contrôle de tir annonça le contact perdu avec l’ennemi. Le commandant avait fait route au Sud, pensant couper les Allemands de la côte, mais ceux-ci firent route plein Ouest à travers ce qui devait être un champ de mines. L’était-il, ou les Allemands eurent-ils la chance insolente d’esquiver les mines ? Quoiqu’il en soit, ils ne sautèrent pas.
Remontant au Nord-Est, le Huron détecta droit devant un navire. Rapidement, il fut identifié comme un Allemand. J’étais dans la tourelle A, aux premières loges. Je me suis accroché à mon poste, mes mains tendues sur les commandes, mon esprit concentré sur la tâche à accomplir malgré la peur rampante qui menaçait de me submerger. Le souffle du vent sifflait dans mes oreilles, les cris de mes camarades résonnaient dans le tumulte de la bataille. Les visages de mes compagnons d'armes étaient marqués par la tension, mais aussi par une résolution farouche qui refusait de céder devant l'adversité. Nous étions unis par un objectif commun, par le désir ardent de défendre nos propres soldats, canadiens, nos voisins, américains, nos amis, britanniques, tous ces hommes qui affrontaient les panzers. C’était notre devoir de tenir leurs arrières.
Je tirais. Et l’Allemand, manifestement perdu, se contenta de virer de bord et de fuir à toute vitesse. Le Huron eut le temps de mettre plusieurs coups au but, le dissuadant définitivement de revenir à la charge. Les navires ennemis partis, nous restâmes maîtres de la mer. La nuit retomba dans le calme, tout relatif puisque la mer grondait toujours de vagues et de vent.
Nous rejoignîmes les destroyers britanniques. Le Tatar, bien que blessé, restait vaillant, portant les cicatrices de la bataille comme un témoignage de sa détermination. Les navires allemands avaient pour plan de passer directement à l’attaque. Ils avaient anticipé la menace de l’aviation et comptait profiter de la nuit pour l’attaque, et user de leur DCA pour la retraite. Les fous ! Aucun d’entre eux n’avaient anticipé la présence de quelques vaillants Canadiens...
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 115%; background: transparent }
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Les vagues grondaient violemment autour de notre destroyer, le Huron, alors que nous nous frayions un chemin à travers les eaux agitées de l'Atlantique. Le vent hurlait comme s'il refusait de nous laisser avancer vers notre destination incertaine. Mes mains étaient crispées sur la rambarde, mon regard fixé sur l'horizon obscurci par les nuages menaçants. J'avais l'impression que chaque instant pouvait être le dernier. Pourtant, nous étions en 1944. Juin 1944. Le grand débarquement avait réussi. J’étais, comme tout le monde, estomaqué par cette opération gardée si longtemps secrète. Le capitaine nous avait récemment seulement appris notre rôle dans Neptune: garder le flanc droit loin au large, bloquer la remontée des submersibles allemands depuis la façade atlantique et les grandes bases de Brest, Lorient et Bordeaux. Avec un ASDIC et de quoi tirer 20 charges de profondeur, nous étions prêts. Mais nous n’avions pas vraiment imaginé que l’ennemi pouvait attaquer aussi audacieusement.
Les projecteurs balayaient l'obscurité, révélant des silhouettes menaçantes émergeant des flots tumultueux. Les navires ennemis étaient à portée de tir, leurs canons crachant des éclairs de feu qui illuminaient le ciel assombri. Le Huron s'est engagé dans la bataille avec une détermination farouche, nos propres canons crachant des salves de feu et d'acier dans un ballet mortel. Trois destroyers adverses et un torpilleur. Nous les avions détecté au radar et surpris par notre attaque : l’Ashanti avait immédiatement touché d’une torpille le premier navire allemand.
Pourtant, notre commandant avait ordonné une manœuvre risquée pour tenter de contrer les attaques incessantes des navires ennemis. A côté du Haida, nous nous étions élancés pour couper la retraite à nos adversaires, abandonnent le Tartar. Le pauvre navire britannique avait subi la riposte des destroyers allemands mais avait pu s’échapper, en coupant les projecteurs et cessant le tir. Les Allemands renoncèrent à les suivre en voyant notre débordement. Mais alors ils se tournèrent vers nous.
Chaque coup de canon était une prière silencieuse pour que nos tirs atteignent leur cible, pour que notre force réduite de deux destroyers canadiens puisse venir à bout des deux navires allemands. Une bataille honorable une bataille équitable. Donc une bataille dangereuse. Je me souviens avoir ressenti l'adrénaline monter en moi, le pouls martelant dans mes tempes alors que je manœuvrais l'artillerie avec une précision presque surnaturelle. Le sifflement des obus sifflant au-dessus de nos têtes était comme une mélodie sinistre, et le grondement sourd des explosions était un rappel constant de la fragilité de la vie.
Heureusement, la situation nous était favorable. Le torpilleur allemand comptait pour peu vu la nuit et les vitesses rapides des navires. Les pièces de 150 mm du Z32 pourraient nous ravager sans coup férir à longue portée. Mais, la nuit imposant une réduction de la distance, nous parvînmes à faire feu de nos 119 et 102 mm, plus nombreux. Les coups portèrent. L'odeur acre de la fumée de poudre se mêlèrent à l'air marin salé, créant une atmosphère oppressante qui semblait étouffer l'espoir. Je me rappelle encore le rugissement des moteurs, les cris des hommes, et le grondement continu des explosions qui secouaient le navire de la proue à la poupe. Les éclats d'obus déchiraient l'air, pulvérisant l'eau autour de nous en gerbes tumultueuses. Chaque minute, chaque seconde, nous savions que nos vies pouvaient basculer dans l'abîme de l'océan. Mais malgré la terreur qui menaçait de submerger nos esprits, il y avait une détermination farouche dans le regard de chacun, une conviction inébranlable que nous devions tenir bon, coûte que coûte.
Et soudain, tout s’arrêta. Le contrôle de tir annonça le contact perdu avec l’ennemi. Le commandant avait fait route au Sud, pensant couper les Allemands de la côte, mais ceux-ci firent route plein Ouest à travers ce qui devait être un champ de mines. L’était-il, ou les Allemands eurent-ils la chance insolente d’esquiver les mines ? Quoiqu’il en soit, ils ne sautèrent pas.
Remontant au Nord-Est, le Huron détecta droit devant un navire. Rapidement, il fut identifié comme un Allemand. J’étais dans la tourelle A, aux premières loges. Je me suis accroché à mon poste, mes mains tendues sur les commandes, mon esprit concentré sur la tâche à accomplir malgré la peur rampante qui menaçait de me submerger. Le souffle du vent sifflait dans mes oreilles, les cris de mes camarades résonnaient dans le tumulte de la bataille. Les visages de mes compagnons d'armes étaient marqués par la tension, mais aussi par une résolution farouche qui refusait de céder devant l'adversité. Nous étions unis par un objectif commun, par le désir ardent de défendre nos propres soldats, canadiens, nos voisins, américains, nos amis, britanniques, tous ces hommes qui affrontaient les panzers. C’était notre devoir de tenir leurs arrières.
Je tirais. Et l’Allemand, manifestement perdu, se contenta de virer de bord et de fuir à toute vitesse. Le Huron eut le temps de mettre plusieurs coups au but, le dissuadant définitivement de revenir à la charge. Les navires ennemis partis, nous restâmes maîtres de la mer. La nuit retomba dans le calme, tout relatif puisque la mer grondait toujours de vagues et de vent.
Nous rejoignîmes les destroyers britanniques. Le Tatar, bien que blessé, restait vaillant, portant les cicatrices de la bataille comme un témoignage de sa détermination. Les navires allemands avaient pour plan de passer directement à l’attaque. Ils avaient anticipé la menace de l’aviation et comptait profiter de la nuit pour l’attaque, et user de leur DCA pour la retraite. Les fous ! Aucun d’entre eux n’avaient anticipé la présence de quelques vaillants Canadiens...
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- Ludwig von DrüssigTornade
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Mar 28 Nov 2023, 19:07
Advent, Advent, ein Lichtlein brennt…
Deux regards se tournent vers le ciel. Leurs yeux humides contemplent, seuls, le drapé de la voûte étoilée. Insensibles aux tourments qui déchirent le monde depuis maintenant trois années complètes, les astres poursuivent leur ronde céleste. En dessous, les lamantins d’acier défient les orques de métal dans leur ballet mortel. Le bruit d’un matelot qui époussette le pont résonne dans le calme nocturne. La vigie, elle, est muette.
« Advent, Advent, ein Lichtlein brennt… »
À nouveau la voix se brise. Pour la troisième année de suite, Ludwig von Drüssig s’apprête à passer l’Avent à bord d’un navire de guerre. Les nouvelles du front sont mauvaises. Les forces terrestres s’enlisent, la chasse des loups de mer devient affaire de géométrie plus que de roublardise. Les politiques n’écoutent rien, le peuple ne sait rien. Battre pavillon allemand, porter le faisceau italien… cela ne change rien. Son chez-soi est si loin et les étoiles paraissent si proches. Est-ce que la Luftwaffe ou la Waffen-SS parviendra un jour à aller au bout de ce qui fut le rêve de la Verein für Raumschiffahrt ? La quête d’altitude, l’aventure spatiale… Avec le recul, le Kapitän zur See aurait aimé poursuivre ce rêve d’enfant plutôt que de se mouler dans l’héritage des von Drüssig et aujourd’hui respirer les effluves du conflit mondial.
« Ludwig ? »
À l’autre bout du monde, quelque part dans la mer de Sulu, le capitaine de vaisseau Tsuyoshi Tetsunobi bat des cils, incrédule. Est-ce qu’il s’est assoupi, l’espace d’un instant ? Cette voix, cette langue… le transportent dix ans en arrière, loin de cette guerre de la Grande Asie orientale qui n’a de cesse de l’envoyer au-devant du danger.
En 1933, Tsuyoshi a fait la rencontre de Ludwig, un doux rêveur allemand, venu accompagner son père et un ami de la famille : Wilhelm Solf, l’ancien ambassadeur allemand au Japon. Bien que persuadé que l’avenir de l’humanité se joue dans les étendues infinies de l’espace, Ludwig von Drüssig embrasse lui aussi la carrière militaire, comme son père. Tsuyoshi ne l’a plus revu depuis, mais il a continué d’échanger avec lui par courrier, grâce à l’intermédiaire d’Erwin, le fils de l’ambassadeur, un temps engagé volontaire dans la marine japonaise : la Nippon Kaigun. Ce dernier ayant fini par retourner dans son pays natal, Tsuyoshi est dorénavant coupé de ce canal privilégié de communication avec son ami. Parfois, il lui arrive de l’entendre dans ses rêves, mais, ainsi éveillé, c’est une première.
« Ittō Kaisa ? » s’interroge l’officier radio en trouvant son supérieur figé dans une étrange posture d’expectative. Voyant son capitaine raffermir sa posture et lui adresser un signe de la tête, il enchaîne :
« Notre chef de flottille vient de recevoir une communication du Ministre de la Marine. La conférence de la Grande Asie orientale est terminée. La Rengo est redéployée. Ito Yamaguchi vous convoque sur son navire pour de plus amples instructions. Longue vie à la Dai-Nippon Teikoku Kaigun ! »
« Celui qui n’a pas d’objectifs ne risque pas de les atteindre. » Le commandant Tetsunobi songe à l’adage de Sun Tzu, tout en donnant la salve d’ordres que la situation impose. Cette conférence entend remobiliser la Sphère de coprospérité orientale… rien de bien concret en somme. Et lui aimerait bien faire un somme, justement.
Passé l’épreuve du feu, on comprend mieux ce qui rend attrayant le feu des étoiles.
« Advent, Advent, ein Lichtlein brennt… »
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Mar 28 Nov 2023, 22:49
En partant de Bordeaux, il y a deux mois de cela, le Capitaine Liannazza avait ouvert le plis cacheté de ses ordres de mission.
Le Cagni croisait sur la zone depuis une semaine. Il avait rencontré des popovs, que faisaient-ils là, les bolchos? Mais leurs navires de guerre étaient trop dangereux à attaquer. Et ce n'était pas sa mission, couler un navire de guerre, signalerait sa présence sans aider les troupes italiennes de Lybie et l'Africa Korps. Il était à la recherche de transports, goutus et tendres à souhait pour aider les forces italiennes qui étaient sur le point de prendre Alexandrie.
Enfin, rapidement après la rencontre avec le navire de guerre russe, un navire de transport battant pavillon britannique fut identifié.
Alarmaaaa, Plongé Immédiate, Branle Bas de Combat.
Les hommes rompus à l'excercice, activèrent rapidement les réflexes acquis à l'entrainement et durant les situations de combats.
Liannazza avait maintenant son objectif qui avançait insouscient dans son periscope. Plus que quelque encablures, avant de pouvoir lâcher ses torpilles. Concentré sur sa proie, il attendait l'instant parfait pour l'achever, avant qu'elle ne comprenne ce qui lui arrive.
Soudain, le radio arriva dans la salle de commandement.
Capitano, Capitano, au cours de la plongé, j'ai reçu un message étrange et incomplet. Je préfère vous le transmettre au cas où vous y comprendriez quelque chose.
Lisant rapidement le message partiel, Liannazza, répondit.
Qu'est ce que tu veux que je comprenne à ce charabia... Ne me déconcentre plus en pleine attaque pour des conneries.
Revenant à l'action,
Sous-mariniers, restez concentrez sur le combat. A mon signal, faites feu.
(hrp. si un membre de l'équipage arrive à traduire le message pour prévenir ou non le captaine Liannanza).
- Code:
Croisez au large de l'Ile de Socotra, coulez tous navires alliés rencontrés. Perturbez les communications alliés entre l'Inde et l'Egypte afin de soutenir la poussé de Rommel sur Alexandrie.
Le Cagni croisait sur la zone depuis une semaine. Il avait rencontré des popovs, que faisaient-ils là, les bolchos? Mais leurs navires de guerre étaient trop dangereux à attaquer. Et ce n'était pas sa mission, couler un navire de guerre, signalerait sa présence sans aider les troupes italiennes de Lybie et l'Africa Korps. Il était à la recherche de transports, goutus et tendres à souhait pour aider les forces italiennes qui étaient sur le point de prendre Alexandrie.
Enfin, rapidement après la rencontre avec le navire de guerre russe, un navire de transport battant pavillon britannique fut identifié.
Alarmaaaa, Plongé Immédiate, Branle Bas de Combat.
Les hommes rompus à l'excercice, activèrent rapidement les réflexes acquis à l'entrainement et durant les situations de combats.
Liannazza avait maintenant son objectif qui avançait insouscient dans son periscope. Plus que quelque encablures, avant de pouvoir lâcher ses torpilles. Concentré sur sa proie, il attendait l'instant parfait pour l'achever, avant qu'elle ne comprenne ce qui lui arrive.
Soudain, le radio arriva dans la salle de commandement.
Capitano, Capitano, au cours de la plongé, j'ai reçu un message étrange et incomplet. Je préfère vous le transmettre au cas où vous y comprendriez quelque chose.
- Code:
Co... Reg... Ma.... . St..., Ar... Im... Tou.... Act... Co... Fo... Al... . Sic.. ... Mu... To.. . Cha... Sit.. Fo.... It... Al... ... Al... Vi... Ita...
Lisant rapidement le message partiel, Liannazza, répondit.
Qu'est ce que tu veux que je comprenne à ce charabia... Ne me déconcentre plus en pleine attaque pour des conneries.
Revenant à l'action,
Sous-mariniers, restez concentrez sur le combat. A mon signal, faites feu.
(hrp. si un membre de l'équipage arrive à traduire le message pour prévenir ou non le captaine Liannanza).
- Yoshida ItsuruGrand-frais
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Mer 29 Nov 2023, 21:05
Les hommes se mettaient en position, prêts à exécuter les ordres de leurs supérieurs. Seul le bruit de la bête d’acier troublait le silence qui s’était installé entre les hommes. Puis les pas mal assurés d’un marin résonnèrent et une tête émergea de l’écoutille d’où venait de disparaitre le radio.
C’était Chiara, ou plutôt Chiaffredo dont le physique androgyne lui avait valu ce surnom. C’était l’opérateur qui s’occupait de l’hydrophone. Il s’approcha du commandant qui lui jetait un regard dont il n’arrivait pas à décrypter si la colère ou la surprise dominait. Il prit alors la parole comme s’il avouait une faute.
- Je n’ai pas pu m’empêcher de regarder le message radio. Ma femme m’a envoyé une lettre en juillet, elle disait que les alliés avaient débarqué chez nous en Sicile. Et depuis je n’ai plus aucune nouvelle. Elle me manque terriblement et je sa…
- Viens en aux faits ! On est en combat, je n’ai pas le temps de t’écouter te plaindre, le coupa Liannazza.
- Et bien, si les alliés ont réussi à remonter jusqu’à Rome ou pire ont capturé toute l’Italie c’est peut-être un message d’armistice.
Pendant une seconde le temps s’arrêta, même les moteurs s’emblèrent arrêter leur course folle. Puis des rires de moquerie et d’amusement résonnèrent aux quatre coins de la timonerie. Chiara rassembla son courage et malgré les rires de ses camarades prit le message radio et ce plaça devant le commandant.
- Regardez capitano. Je pense que l’on peut lire le message comme cela :
Commandant Regia Marina . Stop, Armistice Imminente Toutes Actions Contre Forces Alliées . Sic.. … Mu.. To.. . Cha… Sit.. Forces Italie Al… … Al… Viva Italia
De nouveaux éclats de rire retentirent dans le cigare de métal. Mais quelque uns s’arrêtèrent de s’éclaffer quand ils virent le visage concentré du commandant. Ils avaient l’impression que celui-ci apportait ne serait-ce qu’un peu de crédibilité aux paroles de son subordonné. Un homme dans le dos du commandant regardait message et désignait du doigt un bout du message.
- Et ton « Mu.. To.. . Cha… » ça peut très bien dire « musèle ton chaton ». Sois sérieux Chiara, notre pays ne peut pas tomber en trois mois dans les mains des alliés, dit un marin.
- Et puis c’est quoi ces rumeurs comme quoi les alliées ont débarqué en Sicile ? On n’a rien entendu ici. Je suis sûr que s’ils ont essayé notre armée s’est fait une joie de les massacrer sur la cote et de les rejeter à la mer, renchérit un autre.
Chiaffredo fit un pas en arrière, incapable de trouver un argument pour combler les trous dans son interprétation. Les hommes comprenant que l’acousticien n’argumenterait pas d’avantage retournèrent à leur poste. Le regard du commandant passait du message au visage de son subordonné. Il ouvrit la bouche, puis…
C’était Chiara, ou plutôt Chiaffredo dont le physique androgyne lui avait valu ce surnom. C’était l’opérateur qui s’occupait de l’hydrophone. Il s’approcha du commandant qui lui jetait un regard dont il n’arrivait pas à décrypter si la colère ou la surprise dominait. Il prit alors la parole comme s’il avouait une faute.
- Je n’ai pas pu m’empêcher de regarder le message radio. Ma femme m’a envoyé une lettre en juillet, elle disait que les alliés avaient débarqué chez nous en Sicile. Et depuis je n’ai plus aucune nouvelle. Elle me manque terriblement et je sa…
- Viens en aux faits ! On est en combat, je n’ai pas le temps de t’écouter te plaindre, le coupa Liannazza.
- Et bien, si les alliés ont réussi à remonter jusqu’à Rome ou pire ont capturé toute l’Italie c’est peut-être un message d’armistice.
Pendant une seconde le temps s’arrêta, même les moteurs s’emblèrent arrêter leur course folle. Puis des rires de moquerie et d’amusement résonnèrent aux quatre coins de la timonerie. Chiara rassembla son courage et malgré les rires de ses camarades prit le message radio et ce plaça devant le commandant.
- Regardez capitano. Je pense que l’on peut lire le message comme cela :
Commandant Regia Marina . Stop, Armistice Imminente Toutes Actions Contre Forces Alliées . Sic.. … Mu.. To.. . Cha… Sit.. Forces Italie Al… … Al… Viva Italia
De nouveaux éclats de rire retentirent dans le cigare de métal. Mais quelque uns s’arrêtèrent de s’éclaffer quand ils virent le visage concentré du commandant. Ils avaient l’impression que celui-ci apportait ne serait-ce qu’un peu de crédibilité aux paroles de son subordonné. Un homme dans le dos du commandant regardait message et désignait du doigt un bout du message.
- Et ton « Mu.. To.. . Cha… » ça peut très bien dire « musèle ton chaton ». Sois sérieux Chiara, notre pays ne peut pas tomber en trois mois dans les mains des alliés, dit un marin.
- Et puis c’est quoi ces rumeurs comme quoi les alliées ont débarqué en Sicile ? On n’a rien entendu ici. Je suis sûr que s’ils ont essayé notre armée s’est fait une joie de les massacrer sur la cote et de les rejeter à la mer, renchérit un autre.
Chiaffredo fit un pas en arrière, incapable de trouver un argument pour combler les trous dans son interprétation. Les hommes comprenant que l’acousticien n’argumenterait pas d’avantage retournèrent à leur poste. Le regard du commandant passait du message au visage de son subordonné. Il ouvrit la bouche, puis…
- Luigi LeoneTempête
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Mer 29 Nov 2023, 21:45
Le capitano lisant le message, essayait d'en comprendre sa teneur.
Vaffanculo, comme si j'avais que ça à faire en pleine attaque. Je verrais ça plus tard. Aux postes de combat.
L'oreille d'Or Chiara pris la parole, essayant d'interpréter le message parcellaire.
Comment peuvent-ils être en Sicile? Si les bouffeurs de choucroute nous disaient que Rommel était aux portes d'Alexandrie... Mais cela pourrait expliquer le manque d'information que l'on reçoit de la Betasom depuis des semaines.
Réfléchissant aux peu d'informations qu'il a sous la main, Liannazza pris sa décision.
Ca sent la merde cette histoire. Equipage, Interrompez l'attaque. Nous devons en savoir plus sur la situation. Au pire, malgrès ce contretemps nous aurons rapidement d'autres proies.
Se tournant vers le radio.
Contacte directement la Betasom, sans rien dire de tout ceci. Demande leur la météo, histoire de voir s'ils sont capables de répondre. Ensuite, envoie le message suivant sur le canal que tu viens de recevoir. Dit:
Vaffanculo, comme si j'avais que ça à faire en pleine attaque. Je verrais ça plus tard. Aux postes de combat.
L'oreille d'Or Chiara pris la parole, essayant d'interpréter le message parcellaire.
Comment peuvent-ils être en Sicile? Si les bouffeurs de choucroute nous disaient que Rommel était aux portes d'Alexandrie... Mais cela pourrait expliquer le manque d'information que l'on reçoit de la Betasom depuis des semaines.
Réfléchissant aux peu d'informations qu'il a sous la main, Liannazza pris sa décision.
Ca sent la merde cette histoire. Equipage, Interrompez l'attaque. Nous devons en savoir plus sur la situation. Au pire, malgrès ce contretemps nous aurons rapidement d'autres proies.
Se tournant vers le radio.
Contacte directement la Betasom, sans rien dire de tout ceci. Demande leur la météo, histoire de voir s'ils sont capables de répondre. Ensuite, envoie le message suivant sur le canal que tu viens de recevoir. Dit:
- Code:
Message reçu 1/5, pour identification, besoin du résultat du dernier classico entre l'AC et l'Inter de Milan.
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Mer 29 Nov 2023, 22:22
Chiara laissa un soupir de soulagement quitter ses lèvres. Plus que la guerre, c’était le manque de nouvelles de sa femme qui lui pesait sur le moral. Il ne pouvait pas se permettre d’abandonner son poste plus longtemps. Il regarda une dernière fois le message, le gravant dans son esprit. Tandis qu’il commençait à écouter les alentours du sous-marin le casque sur les oreilles il ne put s’empêcher de murmurer le message qui essaye de décrypter.
- Al… pour Allemand, Alliée, Allégorie. Cha… pour Chaque, Changement, Chargement. To… pour Tous, Tobrouk, Tomber. Sit… pour Situation, Situer, Site. Le Mu… était peut-être pour le Duce, Mussolini, et Sic… serait pourrait être … Sicile…
Le cœur de Chiara se serra une fois de plus à l’évocation de son île et que les pensées pour sa femme affluaient. Mais son présentiment que quelque chose d’important se passait à l’extérieur ne faisait que grandir. Mais pour l’instant il était bloqué dans ce cercueil métallique. Au prix d’un grand effort il repoussa les pires pensées, se reconcentra pour suivre la piste de ce croiseur russe. Ses cordes vocales mues par une volonté inconsciente répétaient en boucle ses suppositions en partie couvertes par le cliquetis de la pioche de la radio.
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Le cœur de Chiara se serra une fois de plus à l’évocation de son île et que les pensées pour sa femme affluaient. Mais son présentiment que quelque chose d’important se passait à l’extérieur ne faisait que grandir. Mais pour l’instant il était bloqué dans ce cercueil métallique. Au prix d’un grand effort il repoussa les pires pensées, se reconcentra pour suivre la piste de ce croiseur russe. Ses cordes vocales mues par une volonté inconsciente répétaient en boucle ses suppositions en partie couvertes par le cliquetis de la pioche de la radio.
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Jeu 30 Nov 2023, 09:01
Porte Hydravions Giuseppe Miraglia, Canal d'Otrante
Depuis des heures, la cabine radio ne cessait d'émettre en morse le même message codé :
Comando Regia Marina, Stop. Arrêtez Immédiatement Toutes Actions contre forces Alliées. Sicile et Mussolini Tombés. Changement Situation Forces Italiennes Alliance avec Alliés.
Viva Italia
Le pacha, soucieux d'alerter le plus d'unités italiennes déjà à la mer et non conscientes de la situation avait fait décoller ses avions de reconnaissance Ro. 43 afin d'étendre au maximum la surface couverte par son avertissement. Les cocardes des biplans avaient été peintes en blanc pour éviter toute méprise quant à leurs intentions et ils émettaient en clair à la radio à la vue de tout navire italien.
Ils avaient jusque-là réussi à alerter bon nombre d'unités civiles et militaires le long de la cote Albanaise ou une bonne partie du ravitaillement des Balkans transitait par la mer escorté par les corvettes et torpilleurs de la Regia Marina. Ce n'était malheureusement pas sans risque et ils avaient à plusieurs reprises essuyé les tirs de petits convois allemands. Ils avaient appris à leurs dépens que les minuscules Ferries Siebel étaient redoutables, tant ils avaient été hérissés de canons de 88 et autres Flakvierling.
L'unique chasseur Reggiane RE 2000 à bord du navire avait conservé ses cocardes intactes et il était prêt à être catapulté à tout instant au cas où on aurait besoin de lui. Cela signifierait malheureusement la perte de l'avion qui ne pourrait atterrir nulle part et, n’étant pas équipé de flotteurs, serait irrémédiablement perdu. Seul le pilote pourrait être récupéré par un Ro. 43 à l'issue de son évacuation de l'avion en parachute.
Depuis des heures, la cabine radio ne cessait d'émettre en morse le même message codé :
Comando Regia Marina, Stop. Arrêtez Immédiatement Toutes Actions contre forces Alliées. Sicile et Mussolini Tombés. Changement Situation Forces Italiennes Alliance avec Alliés.
Viva Italia
Le pacha, soucieux d'alerter le plus d'unités italiennes déjà à la mer et non conscientes de la situation avait fait décoller ses avions de reconnaissance Ro. 43 afin d'étendre au maximum la surface couverte par son avertissement. Les cocardes des biplans avaient été peintes en blanc pour éviter toute méprise quant à leurs intentions et ils émettaient en clair à la radio à la vue de tout navire italien.
Ils avaient jusque-là réussi à alerter bon nombre d'unités civiles et militaires le long de la cote Albanaise ou une bonne partie du ravitaillement des Balkans transitait par la mer escorté par les corvettes et torpilleurs de la Regia Marina. Ce n'était malheureusement pas sans risque et ils avaient à plusieurs reprises essuyé les tirs de petits convois allemands. Ils avaient appris à leurs dépens que les minuscules Ferries Siebel étaient redoutables, tant ils avaient été hérissés de canons de 88 et autres Flakvierling.
L'unique chasseur Reggiane RE 2000 à bord du navire avait conservé ses cocardes intactes et il était prêt à être catapulté à tout instant au cas où on aurait besoin de lui. Cela signifierait malheureusement la perte de l'avion qui ne pourrait atterrir nulle part et, n’étant pas équipé de flotteurs, serait irrémédiablement perdu. Seul le pilote pourrait être récupéré par un Ro. 43 à l'issue de son évacuation de l'avion en parachute.
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Jeu 30 Nov 2023, 21:50
Le défiler des spectres
11 novembre 1943Claire jeta un coup d’œil par la fenêtre de l’entrée. Les premiers flocons de neiges de la saison avaient commencé à tomber du ciel. La femme à la coupe au carré ressert son écharpe avant de sortir dans la rue.
Les nuages ont transformé la couleur du ciel en un blanc immaculée qui contrasté avec l’humeur morose des habitants. Cela faisait trois ans depuis la défaite de la France, et une année de plus depuis le début de la guerre. Au début seul les bombes et les balles l’avais inquiété mais maintenant le rationnement était en plus et le conflit s’embler au point mort. Quelques rumeurs évoquées la chute du régime de Mussolini et la conquête de l’Italie mais rien de vérifier pour l’instant.
En prenant sa place dans la file d’attente pour la boulangerie, Claire vérifia une énième fois qu’elle posséder bien ses tickets de rationnement. Par chances la queue n’était pas importante et elle put ressortir rapidement du commerce pour se rendre à la boucherie.
Alors une agitation et un brouhaha inhabituel se manifesta plus loin dans la rue. Des bambins déboucherez de l’angle d’une rue et le brouhaha se fit plus distinct. Des pas à une cadences militaires couvert par un clairon, suivaient les petites têtes blondes. Apparut alors la hampe d’un drapeau suivit des couleurs nationales, le bleu, le blanc et le rouge. Mais celui-ci était drapé d’un symbole supplémentaire sur sa partie centrale, une croix de Lorraine.
Claire en lâcha presque de surprise, ses commissions. Elle ne comprenait pas ce que ces hommes faisaient ici, à se montrer au grand jour alors que l’occupant n’était pas loin. Mais les hommes ne devaient pas s’interroger. Ils avançaient imperturbable au regard et au gamin qui leurs tourner autour.
Ils étaient vêtus d’un blouson de cuir et d’un béret. Le fusil à l’épaule et le regard fier, ils avançaient d’un bloc. Claire crut reconnaitre quelques ancien camarade, amis ou habitant de la région mais une partie des hommes était masqué. Machinalement elle rejoignit le cortège qui se former derrière ceux qui risquer leurs vies tous les jours.
La troupe marcha jusqu’au monument aux morts, là où une gerbe de fleur. Claire réussit à s’approcher de celle-ci et put lire « Les vainqueurs de demain à ceux de 14-18 » au moment où la troupe s’alignât face à la foule.
- Chère française et français, chère Oyonnaxiennes et Oyonnaxiens. En ce jour de l’armistice de la grande guerre de 14-18 , les maquisards de l’Ain et du Haut-Jura veulent rendre un hommage à nos père, nos frères et nos compagnons qui se sont sacrifier pour la France.
La foule applaudit l’homme qui devait être le plus gradée du cortège. Lorsque les applaudissent se tarirent une minute de silence fut prononcer en l’honneurs de tous ceux tombé au combat. Claire n’en revenait pas. Ces hommes dépeint comme des terroristes se tenait face à elle, droit et professionnel, la détermination dans le regard. Des hommes dont l’existant ce résumé à être de vrai fantôme pour frapper l’ennemie quand il ne s’y attend pas et disparaitre aussi tôt. En temps normal si discret, ils étaient maintenant en pleine lumière du jour devant elle, devant eux.
Quelques notes s’échappèrent de la foule, rapidement repris par ses voisins le chant pris de l’ampleur jusqu’à ce que la foule et les résistants entonne La Marseillaise en cœurs. Dans un état second Claire joignit sa voie aux autres hommes. Elle suivit autant que possible les partisans. Elle les saluer de la main, les encourageais de la voix et donna sa ration de pain du jours à l’un d’entre eux passant près elle.
A la sortie de la ville des camions attendez les troupes de France Libre. Les hommes embarquèrent sous les ovations et acclamations des citoyennes et citoyens. Un nouveau chant inconnu à la femme se propageais tandis que les camions partaient les uns après les autres.
Bien après leurs départs, les rues de la ville restaient en effervescence. Claire parlait à qui le voulais pendant un temps dont elle n’était même pas consciente. Puis un cri plus fort que les autres résonnas.
- Les allemands ! Rentrer chez vous ! Vite !
La foule se dispersa en un instant, la joie avait laisser place à la panique. Claire rentra chez elle aussi rapidement qu’elle le pouvait. Quelques minutes plus tard elle vit une patrouille allemande avançais dans sa rue, déserte. Leurs regards étaient sévères, méchant. Les représailles n’allaient pas tarder, elle en était sûr. Malgré la peur et la faim qui la tirait, cette matinée avait réussi à rallumer le feu de l’espoir dans la poitrine de la femme.
[HRP]---------------------------------------------------------------------------------------------------- [HRP]
Note : Cette histoire est une version romancée des évènements et peut donc comporter certaines erreurs. Si vous voulez en apprendre plus sur cet évènement voici la page Wikipédia des événements : https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9fil%C3%A9_du_11_novembre_1943_%C3%A0_Oyonnax
Total de mots section HRP non inclue : 781
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Jeu 30 Nov 2023, 22:07
La tension était palpable dans la salle d'opé. Probablement, que dans les autres salles du Cagni, les hommes se posaient également des questions. Ce n'était pas dans les habitudes du capitaine d'interrompre une attaque en pleine action.
Liannazza n'était pas serein et ne savait que faire. Les informations qu'il avait sous la main étaient trop parcélaires pour prendre une décision. Les saloperies ruskoffs dans le coin, le préoccupé également. Mais, il ne devait pas montrer son inquiètude, afin de conserver la concentration de l'équipage.
Tout en ayant son oeil collé dans le périscope, d'un ton sec il demanda.
Chiara, des réponses venant de la Betasom, ou de notre mystérieux contact?
Liannazza n'était pas serein et ne savait que faire. Les informations qu'il avait sous la main étaient trop parcélaires pour prendre une décision. Les saloperies ruskoffs dans le coin, le préoccupé également. Mais, il ne devait pas montrer son inquiètude, afin de conserver la concentration de l'équipage.
Tout en ayant son oeil collé dans le périscope, d'un ton sec il demanda.
Chiara, des réponses venant de la Betasom, ou de notre mystérieux contact?
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Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Ven 01 Déc 2023, 10:25
Bonjours en ce jour où l'on ouvre la première surprise du calendrier de l'avent, il est temps de revenir sur l'évènement du NaNoWriMo qui vient de se clôturer.
La communauté a réussi à écrire quelques 5 542 mots dans des RP validant les règles, avec une participation supplémentaire d’un RP de 424 mots qui n’a malheureusement pas atteint la limite des 500 mots pour être validé. Je vous propose un petit récapitulatif des RP si dessous :
RP initié par Luigi Leone, « Le Cagni » : 2 254 mots
RP de Yoshida Itsuru, « La torpille fantôme réaliste » : 1 016 mots
RP de Lucky Epnol, « La bataille d’Ouessant » : 916 mots
RP de Yoshida Itsuru, « Le défier des spectres » : 781 mots
RP de Ludwig von Drüssig, « Advent, Advent, ein Lichtlein brennt… » : 575 mots
RP de Valerio Borghese, « Le Marconi » : 424 mots
Un grand merci à tous les participants qui ont joué le jeu et essayé d’atteindre la barre des 10 000 mots. L’objectif n’étant malheureusement pas atteint la récompense s’élèvera donc à 500 PP pour 4 d’entre vous mais l’on félicite et remercie 3 autres âmes charitables qui ont réussi à rendre cet événement plus vivant. Voici un petit résumé de nos chers écrivains :
Auteurs avec récompense, Yoshida Itsuru : 2 478 mots
Auteurs avec récompense, Lucky Epnol : 916 mots
Auteurs avec récompense, Luigi Leone : 894 mots
Auteurs avec récompense, Ludwig von Drüssig : 575 mots
Auteurs avec Ordre du mérite de la participation, Valerio Borghese : 424 mots
Auteurs avec Ordre du mérite de la participation, Aleksandr Pavlovich : 406 mots
Auteurs avec Ordre du mérite de la participation, Kenneth MacKenzie : 271 mots
Pour ceux qui n’aurait pas suivi les rédactions de ce mois de novembre, je vous invite à découvrir les œuvres de nos participants entre deux discutions politiques à la table du réveillon et pour les autres, un peu de relecture ne fait pas de mal à la mémoire.
Encore un fois un grand merci à nos participants, vous avez mérité un bon repos. Profitez tous bien des fêtes et l’on se dit à une prochaine fois.
La communauté a réussi à écrire quelques 5 542 mots dans des RP validant les règles, avec une participation supplémentaire d’un RP de 424 mots qui n’a malheureusement pas atteint la limite des 500 mots pour être validé. Je vous propose un petit récapitulatif des RP si dessous :
RP initié par Luigi Leone, « Le Cagni » : 2 254 mots
RP de Yoshida Itsuru, « La torpille fantôme réaliste » : 1 016 mots
RP de Lucky Epnol, « La bataille d’Ouessant » : 916 mots
RP de Yoshida Itsuru, « Le défier des spectres » : 781 mots
RP de Ludwig von Drüssig, « Advent, Advent, ein Lichtlein brennt… » : 575 mots
RP de Valerio Borghese, « Le Marconi » : 424 mots
Un grand merci à tous les participants qui ont joué le jeu et essayé d’atteindre la barre des 10 000 mots. L’objectif n’étant malheureusement pas atteint la récompense s’élèvera donc à 500 PP pour 4 d’entre vous mais l’on félicite et remercie 3 autres âmes charitables qui ont réussi à rendre cet événement plus vivant. Voici un petit résumé de nos chers écrivains :
Auteurs avec récompense, Yoshida Itsuru : 2 478 mots
Auteurs avec récompense, Lucky Epnol : 916 mots
Auteurs avec récompense, Luigi Leone : 894 mots
Auteurs avec récompense, Ludwig von Drüssig : 575 mots
Auteurs avec Ordre du mérite de la participation, Valerio Borghese : 424 mots
Auteurs avec Ordre du mérite de la participation, Aleksandr Pavlovich : 406 mots
Auteurs avec Ordre du mérite de la participation, Kenneth MacKenzie : 271 mots
Pour ceux qui n’aurait pas suivi les rédactions de ce mois de novembre, je vous invite à découvrir les œuvres de nos participants entre deux discutions politiques à la table du réveillon et pour les autres, un peu de relecture ne fait pas de mal à la mémoire.
Encore un fois un grand merci à nos participants, vous avez mérité un bon repos. Profitez tous bien des fêtes et l’on se dit à une prochaine fois.
- IsidoreAdmin
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Date d'inscription : 14/08/2018
Re: [ANIMATION SPA] - Ecriture de RP pour le NaNoWrimo 2023
Lun 11 Déc 2023, 18:40
Bravo aux participants ! L’équipe d’administration octroie donc aux lauréats un boost de 500 PP à leur compte capitaine principal (celui déclaré comme tel sur le forum).
* yoshida itsuru : 24838 --> 25338
* Lucky Epnol : 10099 --> 10599
* Luigi Leone : 18142 --> 18642
* Ludwig von Drüssig : 9533 --> 10033
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Litterae autem sunt indices rerum, signa verborum, quibus tanta vis est, ut nobis dicta absentium sine voce loquantur. Verba enim per oculos non per aures introducunt.
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