La Ballade Olympique des alliés

Au début du printemps, en 42, le groupe RAID prépare la réception de tous ceux qui résistent encore et toujours à l’envahisseur pour une grande fête.

Les hôtes et leurs invités se livrent à des calembours,

   

et à des défis sportifs qui vont s'enchaîner tout au long de cette joyeuse journée, bien que parfois, les impératifs de la guerre se rappelleront à eux.

Alors que toute la flotte s’active pour mettre la touche finale aux préparatifs du banquet, la fiévreuse quiétude est bouleversée par l’arrivée inopportune et imprévue d’un messager inattendu.

Aussitôt les réjouissances closes et les invités partis, le conseil est réuni d’urgence. L’ordre du jour étant les Jeux Olympiques dans la lointaine Grèce, chaque membre du groupe donne son avis, ô combien utile avant que le conseil se décide.

La sphère dirigeante demeurant dans le brouillard, puisque la Grèce étant occupée;

la solution au problème est trouvée par un jeune guerrier.

Bon, il est vrai que notre chère péninsule bretonne est plus occupée par des « barbares » d’outre Rhin qu'ultramontains, mais les problèmes géopolitiques de nos amicaux adversaires ne nous concernent en rien !

Aussitôt l’ordre du départ est donné. L’ensemble du groupe se prépare au voyage estival et est impatient à l’idée de retrouver les chaudes eaux de notre vieille Mare Nostrum ! Chacun est responsable de son secteur. Notre vieux stratège collecte le maximum de renseignements.

Et de son côté, l'intendance s'occupe du ravitaillement.

Enfin, en ce début avril, le signal du départ est donné. C’est la fièvre des grands départs et la ruée vers la grève.

Une fois les dernières formalités expédiées, la flotte se dirige vers le grand large. Heureusement, la monotonie des grandes traversés et vite rompue par quelques PNJ aventureux en golfe de Gascogne.

Enfin, les Colonnes d’Hercule sont franchies et la flotte arrive au cœur de l’Empire Romain.