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Flavie
Flavie
Tornade
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Sam 22 Avr 2017, 12:42
Fin avril 194X.

Ministère de la Marine, Rome.
 
Convoquée à SuperMarina. Est-ce de bon augure ? Cela ne l’est jamais. Après une campagne résultant de ma formation j’étais de retour, affaiblie et encore souffrante mais pas encore cuite.
Enfin pas tout à fait.
Capitano di Grammonte ! Vous êtes en retard !
L’aide camp du patron, l’amiral Sansonetti, commandant en chef de la Regia Marina me donnait le mal de terre, avec ses grands airs et son uniforme bien repassé, pleins de boutons tout brillants et de médailles gagnées sous le bureau. Ce trou du cul n’avait jamais vu une bataille navale de sa vie, sauf sur les magnifiques tableaux du ministère.
Pressons, pressons ! L’amiral n’aime pas attendre. Je suis sûr qu’il y a urgence pour qu’il soit aussi…
- Ah. Urgence. Dites-moi capitano, qu’est-ce qu’une urgence pour vous ? Un avion ennemi qui vous fonce dessus avec sa bombe je suppose ? Où une torpille bloquée dans son tube ? Où est-ce une barre bloquée alors que vous êtes sous le feu adverse ? Dites-moi je suis fort curieuse.
Salve ajustée, et en plein dedans. Le jeune rigolo a littéralement changé de couleur.
- Que... que voulez-vous dire là ?!
- Que nous avons le temps. Et que vous devriez voir de plus près le champ de bataille.
Le tenente qui se trouvait avec nous dans l’anti chambre ne put s’empêcher de sourire. Je ne savais pas fermer ma grande bouche, pour être polie. Mais je ne savais pas que cela allait me jouer un bien mauvais tour. Les sous-officiers présents sourirent plus discrètement.

Uno sommergibile diretta in Africa i atrove Sansonetti
L'amiral Sansonetti

L’aide de camp me fit entrer dans le bureau de Sansonetti. Sans un mot de plus. Tout juste lâcha-t-il "Amiral, le capitano di Grammonte".
Amiral !
- Enfin !! Le grand patron me dévisagea deux bonnes minutes avant de me rendre mon salut. Une autre minute lui fut utile pour ausculter mon uniforme pas repassé pour une lyre, manquant un bouton et sans casquette mais avec un couvre-chef non réglementaire.
L’on m’avait dit que vous étiez surprenante. Mais je ne m’attendais pas à cela. La discipline n’est pas votre fort ?
- Si amiral, mais j’ai cru comprendre que c’était urgent.
- Pas au point de venir dans cette tenue. Bien au contraire. Repos.
Mais les sous mariniers ont un sens particulier de l’uniforme. Il n’y aura pas de prochaine fois, tenez-le-vous pour dit. Et je me fous de vos relations avec la famille royale. Vous ne voyez pas la princesse Mafalda à poil ?
- Non monsieur.
Touchée. Joli tir monsieur l’amiral.
- Alors parlons de ce qu’il m’amène à vous convoquer.
Votre grande gueule.
Nos amis allemands n’ont pas du tout apprécié votre sortie à La Spezzia concernant les renégats de la Prima MAS.
Nous y voilà.
- Renégats amiral ? Je croyais que ces officiers étaient des hommes de valeur ayant bravement défendu nos couleurs, la patrie et beaucoup fait contre l’ennemi. Il était de mon devoir…
- DE VOUS TAIRE ! AVEZ VOUS TOUTES LES CARTES EN MAIN ? NON ! cracha-t-il, ou plutôt cria-t-il.
- Amiral. J’ai commandé avec ces hommes. Le traitement qu’il leur a été fait a été politique.
- Il ont déserté, gardez uniquement cela dans votre petite tête. Vous souhaitez peut-être rejoindre les officiers qui leur ont été fidèles et ceux que l’on recherche encore ?
- Merci monsieur, les prisons allemandes ne m’attirent pas beaucoup.
- Alors fermez votre clapet. Vous revenez d’un coin compliqué, vous avez failli y rester alors faites-vous oublier.
Je ne veux plus entendre parler de vous.


Il s’éloigna de moi et retourna derrière son bureau, sans m’en rendre compte je m’étais remise au garde à vous. Je pense que ca lui a plu. Par contre, lui il s’était au fur et à mesure approché à distance de tir des anti aériens, moins d’un mètre quoi. Je ne pouvais esquiver ses coups mais j’étais encore en vie, criblée de toutes parts, mais en vie.
Sauf si vous vous décider à refaire de victimes dans les rangs alliés. Montrez à l’amirauté que vous êtes plus douée pour couler des navires ennemis que pour ouvrir votre claque merde. Je vous envoie auprès de la flotte roumaine quelques temps, Ciano sera content et moi aussi. Faites-vous oublier.
Oh mais moi aussi je vais être contente.
Rompez !
 
Re garde à vous. Ah, je le suis déjà. Salut, et je sors en rasant les murs. Les oreilles bourdonnant encore des tirs de l’artillerie de l’amiral.
Note à moi-même, la Prima reste dans mon cœur une unité d’exception, mais ils sont persona non grata chez eux. Plus un mot ma vieille, sinon, ca sera la corde. Ou pire. Boarf, on décantera cela après la guerre. Si la guerre se termine. Et avec les survivants. S’il y en a. Snirf.
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Jeu 04 Mai 2017, 11:09
Bien des semaines plus tôt...

Le gros trimoteur Savoia roulait sur la piste africaine. Le parking, comme disent les américains, droit devant lui et je me levais en ramassant les quelques affaires que j’avais pu garder en cabine. Le reste était dans la généreuse soute de l’appareil.
 
Une fois le SM.75 immobilisé, je descendis enfin ! Bon sang, qu’est-ce que je hais voler. Si les Hommes étaient faits pour voler, Dieu leur auraient donné des ailes, merde !
Capitano ! Capitano di Grammonte ! criait l’autre colon en chemisette et socquettes noires. Un chemise noire ici ? Ces salopards sont partout. Au moins j’aurai les nouvelles sans lire un torchon ou m’arracher les yeux devant Luce. Quoi qu’il faille faire le tri. Comme d’habitude. Le bonhomme eut au moins la bonne idée de m’amener directement à l’Amirauté de Massaoua. Les bagages allaient suivre aux casernements des officiers qu’il disait. IL Y AVAIT INTÉRÊT !! SINON… je connais bien une quinzaine d’officiers de toute la Flotte: XIIIa, ex-Prima, Medusa, Borghèse et même des roumains tient qui seraient venus jusqu’ici lui mettre une brasse.
Haha, Madame a des relations. Non. Non… Madame à des amis. Qu’ils m’ont manqués à La Spezzia.
Mais au moins je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer… halala. Trêve de rêvasser. Même à ce bellâtre commandant sur le pont de son navire que j’ai pu discrètement photographier avant que Supermarina m’envoie en formation avec la Decima. Ah mon canard.
 
Capitano. L’amiral vous attend et…
- Oui. Passons aux choses sérieuses.
Je lui un peu coupé la parole mais le grand garçon s’en remettrait.

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Après une arrivée en sans trompettes mais plutôt genre Vésuve en éruption, où le couvre-chef toujours non réglementaire de di Grammonte attirait les regards, pour changer, l’officier se présenta à l’aide de camps de l’amiral commandant Marisupao. Qui l’introduit immédiatement. Pas de perte de temps. J’aime ça.
 
Amiral Balsamo. Le Capitano di Corveta di Grammonte vient d’arriver.
- Ah ! Comtesse. Quel plaisir de vous revoir.
- Carlo, cela faisait trop longtemps. Et le baisemain tu peux t’en passer, même si cela me rappelle que trop ces soirées chez Ciano.
Di Grammonte savait apprécier depuis son plus jeune âge les bonnes manières.
- Cela remonte déjà à loin ma chère.
- Hélas. Mais nous devons peut-être adopter une attitude plus martiale. Ton aide de camps va finir à l’hôpital s’il garde son souffle comme ça. Ou je vais l’embaucher.
Je ne pus étouffer un ricanement.
- Oh non ! J’ai besoin de lui, et surtout nous manquons trop de médicaments.
Bien. Soyons bref, mon temps est précieux, le tiens aussi
dit l’officier en tenu d’été avec un large sourire. Tout d’abords, bienvenue en Africa Orientale Italiana. La situation est stable sur le front terrestre. C’est donc vers nous que l’on se tourne pour relancer l’offensive.
- Pour changer. Mais c’est pour cela que je suis ici.
- Tout à fait. Ton entrainement avec la Decima MAS va nous permettre en sus de porter le fer directement dans les ports adverses. Loin de nos lignes tout en permettant à ces myopes d’aviateurs d’économiser leurs bombardiers.
Pour cela je te confie le Serpente. Ton équipage est déjà arrivé il y a quelques jours et prend possession du bateau. Son ancien équipage prend le chemin du retour vers la maison.
- Que savons-nous de l’ennemi ?
dis-je avec l’air le plus sérieux du monde.
- Pas grand choses Capitano. Je le crains. Les seuls appareils que les aviateurs nous prêtent sont de vieux biplans asthmatiques qui ont plus leur place dans un musée qu’au feu. L’état-major n’a pas jugé utile de nous envoyer d’unité d’hydravion de reconnaissance grogna l’amiral.
Pour résumer.
Quelques patrouilles en Mer Rouge, escortant des convois et navires isolés. Idem dans l’ouest de l’Océan Indien que l’Anglais pense sûr.
- Hinhin… on va lui prouver qu’il a tort. Les Gamma sont-ils là ?
- Non. Dans deux semaines.
- Parfait Amiral. Le temps de prendre possession du bateau et de faire quelques manœuvres pour se dégourdir les nageoires.
- Autre choses Amalia.
Mon ami s’avança et s’assit sur son beau bureau de bois exotique. Et j’insiste tout particulièrement à ce propos malgré le caractère officieux de ce sujet. Le Duc d’Aoste et tout l’état-major de la colonie est alarmé par notre manque total de ravitaillement. Je n’ai pas besoin de t’expliquer que nous n’en auront pas de la Métropole. Aussi, si tu as la moindre possibilité d’arraisonner un cargo ennemi, ou même neutre, transporteur de munitions, marchandises militaires utiles voire essence et mazout, n’hésite pas une seconde. Nos canonnières et deux bananiers ont été gréées en corsaires. Ils te rejoindront rapidement et prendront la prise en charge.
- Très bien.
- Je vous laisse Capitano. Bonne chasse. Et revenez entière,
dit-il d’un ton cette fois très martial et droit comme un anglais.

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Le Serpente au bassin
 
Une bonne heure plus tard, après moult paperasserie et un détour aux baraques des officiers de la base de Massaoua, je pu trouver le Serpente à son poste d’amarrage, ainsi que quelques bicoque et un autre submersible bien plus âgé.
Un bel engin. Et mes gars étaient dessus. Et dedans.
L’on me fit un bref rapport sur l’équipage. Pas de soucis là-dessus. Déjà ça de gagné.
Néanmoins, un problème venait déjà d’être soulevé par l’ensemble de mes officiers. Le navire était équipé d’un système de climatisation au chlorure de méthyle. Or ce gaz était plus que dangereux pour l’équipage. Il me fallut plus d’une semaine à batailler avec l’Arsenal de la base pour faire modifier la climatisation par du fréon, gaz inerte et sans danger.
Pas question de prendre la mer dans cet état !
Aussi, l’on profita du « passage au garage » comme le disait si astucieusement Askari pour faire vérifier et renforcer les systèmes électriques qui ne manqueraient pas de tomber en avarie aux vues de l’humidité de climat local. Le nombre de rechange de ce type de matériel dépassa malencontreusement le standard. Et l’on oublia de le signaler. C’est bête.
 
En attendant, toutes ces conneries prirent deux grosses semaines. La bonne nouvelle ? Ba c’est que notre équipe Gamma arriva de La Spezzia juste à temps pour les essais.
Pas avant l’embarquement de toutes les fournitures nécessaires à une mission opérationnelle. Ledit essai ne pouvait être qu’autre chose qu’une réelle patrouille de combat à la chasse des convois ennemis : l’Anglais et les français libres tenaient la colonie à la gorge. Nous devions desserrer cet étau.
Dès maintenant.
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Mer 10 Mai 2017, 13:26
Dieu que la Mer Rouge était différente de la Méditerranée. Et quelle atmosphère pesante et lourde. La chaleur… la chaleur ! le système de climatisation au fréon donnait toute satisfaction et nous ne risquions pas la mort en cas de fuite. Mais sans cet équipement, le service serait une torture.
Deux heures que le Serpente avait quitté Massaoua, principale base de l’AOI, l’équipage commençait déjà prendre conscience que la mission serait difficile et…
ALEEERTE ! fut hurlé de la tourelle par l’un des gars de l’équipe de veille.
Aussitôt l’officier de quart ordonna l’immersion d’urgence. Toujours trop lente dans ce cas-là. Les quatre veilleurs glissèrent à bord et le panneau extérieur souqué en moins de temps qu’il faut pour l’écrire. Une fois tout le monde en sureté et le bateau plongé, l’un d’eux se tourna vers moi.
Un duo d’avions patronne. Des gros. Hydravions je crois. Venant du 45.
- Bien. Probablement des anglais en reconnaissance maritime.
Je me tournai alors vers mon second. Ils surveillent Massaoua, et nous n’avons pas assez d’avions pour les chasser de là et du front. Il répondit d’un simple « c’est gai ».
J’ordonnais la poursuite de l’immersion pendant une heure puis surface pour continuer la route initiale vers Aden.

Uno sommergibile diretta in Africa i atrove Mahallah
 
Notre mission, et nous l’avions accepté, était de déposer les Gamma au large d’Aden. Leur mission, et ils l’avaient aussi accepté, était de faire sauter dans la grande rade anglaise un maximum de cargos. Destinés aux Indes ou en revenant, ils seraient un coup dur à l’effort de guerre du père Churchill.
Évidemment, toute cible d’opportunité devait être engagée sur le chemin. Mais ce n’est qu’une fois le paquet déposé que nous pourrions engager le bateau à fond. Pour cela, nous avions toute liberté de manœuvre. Mais les bâtiments à la mer étant peu nombreux et la zone à couvrir énormissime, nous devions combattre seuls. Selon les méthodes du manuel donc, celles qui avaient montré leurs lacunes. La base de Massaoua devant être LA base de ravitaillement et éventuellement de réparations, cette option étant à éviter aux vues du peu de fournitures disponibles et de l’encombrement des deux formes de radoub aux les rares unités de surface de la Flotte sans oublier la charge de travail déjà faramineuse des ouvriers de l’arsenal. Restait quelques ports pour nous abriter et la petite base de Mogadiscio où un dépôt pour les sous-marins avait été aménagé, mais ses capacités de réparations étaient des plus limités. C’était un port civil, pas une base militaire.
Donc pour résumer, ne pas casser le jouet.

Une heure à l’immersion Madame.
- Merci Alfredo, surface. Equipe de veille renforcée à partir de maintenant. Je veux tout le monde aux aguets vingt-quatre heures sur les vingt-quatre. Au moindre doute, à la moindre intuition, vous donnez l’alerte. C’est clair ?
Un oui chef résonna dans le central. Satisfaite, je gagnais le poste des torpilles arrière afin de m’entretenir avec l’équipe Gamma.
Les bougres prenaient de la place ! Je n’avais que mes torpilles en tube, aucun rechange à l’arrière. Dur ! Mais c’était pour la bonne cause. A cette réflexion, une petite voix intérieure affirma que l’on pouvait tout de même ranger trois paires de nageurs Gamma et la totalité de leur équipement dans ma garde-robe, à La Spezzia. Boarf.
Messieurs, votre taxi vous plait ? dis-je avec amusement aux hommes grenouilles.
- Il est parfait capitano. Et son équipage au petit soin, je vous en remercie, répondit le commandant des palmés.
- Parfait. Nous vous avertirons quand nous approcherons de l’objectif. D’ici là, faites comme chez vous mais je ne peux vous louer que ce modeste compartiment.
- C’est bien suffisant. Merci.


Notre route jusqu’à Aden fut ponctuée d’alertes successives. L’Anglais était présent en nombre et en forces dans ces eaux. Avions. Hydravions. Navires de guerre et de commerce escortés étaient légion de cette région du monde capitale pour l’adversaire. Aucune belle opportunité ne se présenta franchement et nous continuâmes notre route vers la base ennemie. Un peu en retard sur l’heure prévue à cause de ces alertes.
Qu’importe ! On y était. Et nos commandos, comme on dira plus tard après-guerre, étaient fin prêts.
Le bateau en surface, la nuit tombée depuis maintenant deux heures, nous nous avancions à pas de loups cette grande rade britannique. L’équipe de veille renforcée nota que le couvre-feu était tout à fait hétérogène. Tant mieux ! pour se repéré c’est bien plus facile, et ca le serait tout aussi pour nos nageurs de combat.
Chacun à son poste, le navire se glissa à l’est du port, lâcha ses invités et s’éloigna à quelques distances.

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Sommergibili en surface
 
Face à mes officiers j’exposais là mon plan. On va attendre que les Gamma fasse sauter leurs charges. Cela nous permettra de faire recharger la batterie et de nous placer. Dès que ca saute, j’ai bon espoir que des navires vont quitter le port de façon assez désordonné. Et là, on frappera. Puis machine vers l’est, avec la confusion de l’attaque dans le port et à sa sortie, ils devraient être assez dans les choux pour ne pas nous courir après. Et leurs moyens de détections n’entendront que des coques que sombrent. Et dernier point, cela ajoutera à la confusion pour aider aux Gamma à rejoindre les agents que je pense les attendent pour une exfiltration. J'aurai préféré que le plan inclus la récupération des Gamma, mais il en était autrement.
- Audacieux.
- T’es malade Sorellona… mais ca ne peut que marcher avec autant de cerveaux aussi malades.
- Je suis d’accord avec mes deux camarades, ajouta mon second tout à fait amusé par les dires des autres officiers du bord.
- Oh mais je n’attendais pas votre assentiment messieurs, siffles-je avec un large sourire, mais vu qu’on est tous sur la même longueur d’onde. A CHEVAL !
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