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L'odissée du Mère Patrie
Lun 21 Juil 2008, 12:42
La seconde torpille venait de partir. Tous à bord avaient entendu le bruit du tir. lentement, elle s'approchait de son objectif. Ce cochon de torpilleur Italien. Voici trois jours qu'ils le pistaient. Les hommes étaient usées. Soudain, un bruit sourd résonna. L'anguille avait fait mouche.
Pendant une dizaine de minutes, les craquements avaient succédé aux gargouillements. Enfin le silence. La cible n'était plus. Pour la seconde fois, le Mère Patrie avait fait mouche.
Tchekov se tourna vers Gregory Ivanilovitch. Alors camarade commissaire ! Satisfait ? L'homme n'eut même pas un sourire. "Quel pisse froid celui-là se dit Tchekov. On lui coule un ennemi et pas un mot."
C'est bon les gars, La barre au 270. Navigateur, vous me calculer une route pour le bercail. On vient de lacher notre dernier poisson. On va faire le plein. On reste en plongée. Silence partout pendant deux heures. Je veux être certain qu'il n'y ait pas de surprise.
Pendant une dizaine de minutes, les craquements avaient succédé aux gargouillements. Enfin le silence. La cible n'était plus. Pour la seconde fois, le Mère Patrie avait fait mouche.
Tchekov se tourna vers Gregory Ivanilovitch. Alors camarade commissaire ! Satisfait ? L'homme n'eut même pas un sourire. "Quel pisse froid celui-là se dit Tchekov. On lui coule un ennemi et pas un mot."
C'est bon les gars, La barre au 270. Navigateur, vous me calculer une route pour le bercail. On vient de lacher notre dernier poisson. On va faire le plein. On reste en plongée. Silence partout pendant deux heures. Je veux être certain qu'il n'y ait pas de surprise.
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