- Hans RatbergTornade
- Autre pseudo : Koshirô Oikawa
Nation au Front Atlantique : Allemagne
Nation au Front Pacifique : Japon
Nombre de messages : 2239
Date d'inscription : 11/07/2008
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Nationalité: Allemand/Japonais
Nouvelle arme secrète
Sam 22 Nov 2014, 11:30
St-Nazaire - 22 novembre à 02h34
Henri vient de passer la clôture juste après le passage du soldat de la wehrmacht et son imposant doberman. Il avait apporté des pinces mais le passage n'a toujours pas été découvert et refermé, son fils Matthieu l'attends à couvert. Les docks sont calmes à cette heure avancée de la nuit, seul les lumières des projecteurs viennent parfois troublés la nuit. Henri se dirige vers la zone du U-bunker, un membre de son groupe travaillant au port, lui a rapporté que l'accès avait été considérablement restreint depuis 48h...
Henri entend un bourdonnement léger qu'il n'arrive pas à localiser... Les projecteurs arrivent dans son secteur, il se met à couvert contre un hangar. Il s'en est fallu de peu. Il se rapproche du chenal à nouveau, le bourdonnement est un peu plus fort comme un navire de faible tonnage qui passerait à faible allure. Henri commence à s'accoutumer à l'obscurité depuis le passage de la lumière blanchâtre des projecteurs et aperçoit une forme très basse sur l'eau et un kiosque. Un submersible est en train d'appareiller en pleine nuit noire : il est loin le temps ou les sous-mariniers partaient sous les acclamations des foules...
Un détail gène Henry : en 4 ans de conflit et autant de temps passer dans la résistance à St-Nazaire il n'a jamais aperçu un bâtiment de la sorte. Alors que le kiosque passe à sa hauteur, il aperçoit les inscriptions "U-1059". Il n'a pas le temps de s'attarder plus longtemps : un aboiement se fait entendre derrière lui, il se retourne mais ce n'est pas le doberman, un berger allemand est à moins de 100mètres de lui et a du flairer sa présence une autre patrouille en moins de 15 minutes, c'est très inhabituel... Le maitre du chien jette précipitamment sa cigarette et arme son pistolet-mitrailleur.
Henri court comme un dératé vers le trou dans la cloture, un cri résonne dans la nuit :
"Halt !"
Puis une rafale déchire l'obscurité et plus rien à part les aboiements du chien et le bruit des bottes sur le bitume...
Henri vient de passer la clôture juste après le passage du soldat de la wehrmacht et son imposant doberman. Il avait apporté des pinces mais le passage n'a toujours pas été découvert et refermé, son fils Matthieu l'attends à couvert. Les docks sont calmes à cette heure avancée de la nuit, seul les lumières des projecteurs viennent parfois troublés la nuit. Henri se dirige vers la zone du U-bunker, un membre de son groupe travaillant au port, lui a rapporté que l'accès avait été considérablement restreint depuis 48h...
Henri entend un bourdonnement léger qu'il n'arrive pas à localiser... Les projecteurs arrivent dans son secteur, il se met à couvert contre un hangar. Il s'en est fallu de peu. Il se rapproche du chenal à nouveau, le bourdonnement est un peu plus fort comme un navire de faible tonnage qui passerait à faible allure. Henri commence à s'accoutumer à l'obscurité depuis le passage de la lumière blanchâtre des projecteurs et aperçoit une forme très basse sur l'eau et un kiosque. Un submersible est en train d'appareiller en pleine nuit noire : il est loin le temps ou les sous-mariniers partaient sous les acclamations des foules...
Un détail gène Henry : en 4 ans de conflit et autant de temps passer dans la résistance à St-Nazaire il n'a jamais aperçu un bâtiment de la sorte. Alors que le kiosque passe à sa hauteur, il aperçoit les inscriptions "U-1059". Il n'a pas le temps de s'attarder plus longtemps : un aboiement se fait entendre derrière lui, il se retourne mais ce n'est pas le doberman, un berger allemand est à moins de 100mètres de lui et a du flairer sa présence une autre patrouille en moins de 15 minutes, c'est très inhabituel... Le maitre du chien jette précipitamment sa cigarette et arme son pistolet-mitrailleur.
Henri court comme un dératé vers le trou dans la cloture, un cri résonne dans la nuit :
"Halt !"
Puis une rafale déchire l'obscurité et plus rien à part les aboiements du chien et le bruit des bottes sur le bitume...
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