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Opération Εθνική Αντίσταση: La résistance Grecque
Jeu 06 Oct 2011, 20:08
30 mai 1941: Acropole à Athènes
Cela fait déjà plus d'un mois que les forces de l'Axe occupent notre beau pays, la Grèce était au plus mal, le drapeau nazi souillait l'antique palais d'Athéna :l'Acropole . Certains parlaient déjà de rébellion , certains avaient eu vent de la résistance en France, après leur débâcle. Le drapeau nazi nous brulait les yeux, cette cité si forte soumise aux démons nazis.
Je vis deux jeunes hommes qui se parlaient , ils manigançaient quelque chose, je ne les connaissais absolument pas. Ils se dirigeaient tout droit sur l'Acropole, je les ai suivi puis soudain leurs visages me devinrent familiers, deux étudiants Apostolos Santas et Manolis Glezos.
De braves jeunes homme qui arrachèrent la swastika de la façade nord ouest de l'Acropole, ils partirent très rapidement, les allemands n'ont pas mis trop de temps à venir...
Ces deux jeunes hommes furent les héros de la Grèce occupée, le symbole de la résistance du peuple d'Athéna ! Mais les nazis nous ont rapidement fait comprendre que ces deux jeunes hommes sont recherchés pour crime contre le Reich il me semble, condamnés à mort par contumace heureusement."
Tous s'accéléra par la suite, certains marins et militaires prirent l'initiative de prendre les armes et de combattre en mer Égée les navires nazis.
C'est ainsi que quelques mois plus tard la résistance grecque s'était aussi engagée sur la mer et que seule la mort les arrêteraient
Cela fait déjà plus d'un mois que les forces de l'Axe occupent notre beau pays, la Grèce était au plus mal, le drapeau nazi souillait l'antique palais d'Athéna :l'Acropole . Certains parlaient déjà de rébellion , certains avaient eu vent de la résistance en France, après leur débâcle. Le drapeau nazi nous brulait les yeux, cette cité si forte soumise aux démons nazis.
Je vis deux jeunes hommes qui se parlaient , ils manigançaient quelque chose, je ne les connaissais absolument pas. Ils se dirigeaient tout droit sur l'Acropole, je les ai suivi puis soudain leurs visages me devinrent familiers, deux étudiants Apostolos Santas et Manolis Glezos.
De braves jeunes homme qui arrachèrent la swastika de la façade nord ouest de l'Acropole, ils partirent très rapidement, les allemands n'ont pas mis trop de temps à venir...
Ces deux jeunes hommes furent les héros de la Grèce occupée, le symbole de la résistance du peuple d'Athéna ! Mais les nazis nous ont rapidement fait comprendre que ces deux jeunes hommes sont recherchés pour crime contre le Reich il me semble, condamnés à mort par contumace heureusement."
Tous s'accéléra par la suite, certains marins et militaires prirent l'initiative de prendre les armes et de combattre en mer Égée les navires nazis.
C'est ainsi que quelques mois plus tard la résistance grecque s'était aussi engagée sur la mer et que seule la mort les arrêteraient
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Re: Opération Εθνική Αντίσταση: La résistance Grecque
Mer 12 Oct 2011, 19:11
Cela faisait déjà quelques temps que certains de nos compatriotes grecs avaient pris les armes et s'étaient lancés à l'assaut si je puis dire de la Mer Egée, les Allemands et certains pêcheurs nous ont relaté certains événements en mer.
Les capitaines grecs les moins expérimentés étaient tombés au combat, éliminés par des commandants de la Kriegsmarine.
Les Allemands prenaient la menace grecque vraiment au sérieux, un de mes amis, qui travaille dans les services de la ville était chargé d'afficher certaines affiches Allemandes au port. Il me la montra avant de la coller sur un des panneaux de la capitainerie.
Je regardai l'affiche avec beaucoup d'attention. Je vis en effet que les Allemands aimeraient se débarrasser rapidement de ces résistants qui font tache au modèle nazi.
Je restai à côté de mon ami pendant qu'il travaillait. Pendant l'après midi nous croisâmes une patrouille Allemande, ils m'interrogèrent brièvement j'eus le droit à un contrôle rapide et je pus repartir avec lui.
Soudain après que la patrouille Allemande soit partie un autre Grec ,aux opinions politiques plutôt hostiles au nazisme ,déboula en brandissant fièrement l'affiche qu'il comptait distribuer aux résistants grecs et aux forces alliés:
Les capitaines grecs les moins expérimentés étaient tombés au combat, éliminés par des commandants de la Kriegsmarine.
Les Allemands prenaient la menace grecque vraiment au sérieux, un de mes amis, qui travaille dans les services de la ville était chargé d'afficher certaines affiches Allemandes au port. Il me la montra avant de la coller sur un des panneaux de la capitainerie.
Je regardai l'affiche avec beaucoup d'attention. Je vis en effet que les Allemands aimeraient se débarrasser rapidement de ces résistants qui font tache au modèle nazi.
Je restai à côté de mon ami pendant qu'il travaillait. Pendant l'après midi nous croisâmes une patrouille Allemande, ils m'interrogèrent brièvement j'eus le droit à un contrôle rapide et je pus repartir avec lui.
Soudain après que la patrouille Allemande soit partie un autre Grec ,aux opinions politiques plutôt hostiles au nazisme ,déboula en brandissant fièrement l'affiche qu'il comptait distribuer aux résistants grecs et aux forces alliés:
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Re: Opération Εθνική Αντίσταση: La résistance Grecque
Ven 14 Oct 2011, 19:42
Depuis que la Résistance de certains grecs a commencé en Mer Egée, les pêcheurs qui rentraient du port racontaient dans les bars ou sur les bords des docks, les combats dont ils ont été témoins entre les résistants et les allemands.
Les marchands allemands eux aussi témoins des affrontements, ont fait l'éloge des officiers de la Kriegsmarine qui ont térrassé les attaquants grecs.
Les pêcheurs nous ont aussi affirmés que la Résistance avait perdu pas mal de navires ces derniers temps, 3 navires légers classe Argès ont été coulé et un chalutier lourd classe Stéropès a été submergé par les attaques allemandes.
Les corps des allemands morts aux combats face aux grecs auraient été rapatriés à Athènes discrètement la nuit dernière,enfin c'est une rumeur. Une autre rumeur coure aussi, malgré la forte présence des forces allemandes en Mer Egée, un submersible anglais aurait coulé avec l'aide grecque quelques navires allemands
(Photo prise après l'explosion du Δημήτηρ - Dêmếtêr)
Les pêcheurs grecs eux nous ont tous dit que les grecs se sont vaillamment battu face aux allemands supérieurs en nombre et en armement,que les grecs ont infligé pas mal de dégats à certains navires de la Kriegsmarine et ont contribué à la perte de certains d'entre eux.
Le lendemain, les allemands ont fait un discours public à l'Acropole, la dépouille de l'un des résistants grec repechés après le naufrage d'un des navires des partisans fut exposé aux publics. Le chef de l'Etat Major de la Kriegsmarine à Athènes s'est félicité de la réussite de l'Opération "Antirévolutionnaire", en assurant que nous n'avons plus rien à craindre de barbares qui menacent notre équilibre et notre sécurité soi-disant.
Cependant nous ressentions tous une vive horreur en voyant le corps, dans un état pitoyable, de notre compatriote grec. Même si nous n'avions aucunes opinions politiques on ne pouvait que ressentir du dégoût.
Le chef de l'Etat Major allemand, nous a promis que si nous avions même l'idée ou l'intention de rejoindre la Résistance, nous subirions le même sort que ce pauvre homme.
Il nous a aussi certifié que les Résistants grecs sont désorganisé et qu'ils ne teindraient pas longtemps.
Peu après cette macabre conférence, les marins nous ont certifié que les allemands ont eu du fil à retordre et qu'ils ont eu de grand moment de panique. Malheureusement nous n'en savons pas plus, les marins qui ont rapporté le poisson frais ce matin au marché ignoraient l'emplacement de la flotte, ils ont juste vu quelques navires endommagés se replier.
Les marchands allemands eux aussi témoins des affrontements, ont fait l'éloge des officiers de la Kriegsmarine qui ont térrassé les attaquants grecs.
Les pêcheurs nous ont aussi affirmés que la Résistance avait perdu pas mal de navires ces derniers temps, 3 navires légers classe Argès ont été coulé et un chalutier lourd classe Stéropès a été submergé par les attaques allemandes.
Les corps des allemands morts aux combats face aux grecs auraient été rapatriés à Athènes discrètement la nuit dernière,enfin c'est une rumeur. Une autre rumeur coure aussi, malgré la forte présence des forces allemandes en Mer Egée, un submersible anglais aurait coulé avec l'aide grecque quelques navires allemands
(Photo prise après l'explosion du Δημήτηρ - Dêmếtêr)
Les pêcheurs grecs eux nous ont tous dit que les grecs se sont vaillamment battu face aux allemands supérieurs en nombre et en armement,que les grecs ont infligé pas mal de dégats à certains navires de la Kriegsmarine et ont contribué à la perte de certains d'entre eux.
Le lendemain, les allemands ont fait un discours public à l'Acropole, la dépouille de l'un des résistants grec repechés après le naufrage d'un des navires des partisans fut exposé aux publics. Le chef de l'Etat Major de la Kriegsmarine à Athènes s'est félicité de la réussite de l'Opération "Antirévolutionnaire", en assurant que nous n'avons plus rien à craindre de barbares qui menacent notre équilibre et notre sécurité soi-disant.
Cependant nous ressentions tous une vive horreur en voyant le corps, dans un état pitoyable, de notre compatriote grec. Même si nous n'avions aucunes opinions politiques on ne pouvait que ressentir du dégoût.
Le chef de l'Etat Major allemand, nous a promis que si nous avions même l'idée ou l'intention de rejoindre la Résistance, nous subirions le même sort que ce pauvre homme.
Il nous a aussi certifié que les Résistants grecs sont désorganisé et qu'ils ne teindraient pas longtemps.
Peu après cette macabre conférence, les marins nous ont certifié que les allemands ont eu du fil à retordre et qu'ils ont eu de grand moment de panique. Malheureusement nous n'en savons pas plus, les marins qui ont rapporté le poisson frais ce matin au marché ignoraient l'emplacement de la flotte, ils ont juste vu quelques navires endommagés se replier.
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Re: Opération Εθνική Αντίσταση: La résistance Grecque
Ven 21 Oct 2011, 19:41
J'ai décidé de monter sur un bateau de pêche grec pour aller voir les combats de plus près. Je me suis fait passer pour un commissaire de la pêche, il fût réticent mais contre quelques billets je put prendre la mer avec eux.
Les combats s'intensifièrent ! Les italiens et les allemands ont rameuté une flotte près d'Athènes mais cependant une importante flotte de navires soviétiques. Alors que nous pechions à une distance assez sure, nous pouvions apercevoir avec l'aide de lunettes et autres appareils permettant de voir plus loin que les soviétiques envoyèrent rapidement par le fond un croiseur allemand sans qu'il puisse riposter. Les allemands se sont retrouvé rapidement débordés. L'un des chalutiers grecs a torpillé un croiseur italien et une partie de la flotte grecque a fait feu sur des navires italiens.
Le croiseur torpillé par les résistants est très mal en point, cependant les navires de l'Axe n'ont pas lancer leur offensive qui pourrait couter aux Alliés et aux grecs pas mal de navires !
Photo du Croiseur San Girgio après torpillage, prise d'un des chalutiers de combat
Les combats s'intensifièrent ! Les italiens et les allemands ont rameuté une flotte près d'Athènes mais cependant une importante flotte de navires soviétiques. Alors que nous pechions à une distance assez sure, nous pouvions apercevoir avec l'aide de lunettes et autres appareils permettant de voir plus loin que les soviétiques envoyèrent rapidement par le fond un croiseur allemand sans qu'il puisse riposter. Les allemands se sont retrouvé rapidement débordés. L'un des chalutiers grecs a torpillé un croiseur italien et une partie de la flotte grecque a fait feu sur des navires italiens.
Le croiseur torpillé par les résistants est très mal en point, cependant les navires de l'Axe n'ont pas lancer leur offensive qui pourrait couter aux Alliés et aux grecs pas mal de navires !
Photo du Croiseur San Girgio après torpillage, prise d'un des chalutiers de combat
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Re: Opération Εθνική Αντίσταση: La résistance Grecque
Mer 26 Oct 2011, 12:32
Cela faisait déjà plusieurs jours que nous observions les combats. Et même si les premiers combats étaient en faveur des soviétiques et des grecs. Les jours suivants furent un véritable désastre pour la Résistance Grecque qui venait de perdre quasiment tous ses navires y compris son chef. Il ne reste que deux navires grecs.
Nous savions que les rebelles étaient à genoux et que leurs morts n'étaient qu'une question de jours voir d'heures...
Pourtant les soviétiques et les grecs avaient su contenir la menace de surface si je puis dire mais la menace sous marine était présente et les grecs furent torpillés sans pouvoir riposter pour une grande partie d'eux.
Même les soviétiques y ont laissé des dents. Leurs courages étaient beaux à voir !
Les allemands soutenus par les italiens ont repris les eaux d'Athènes et ont regagné du terrain sur les soviétiques.
Nous ignorions la fin du combat. Il était décidé sur le navire de rentrer à Athènes lorsque les derniers résistants mourront.
Une explosion retentit au petit matin, je sursauta depuis mon navire de pêche. je prit les jumelles et je pus apercevoir l'un des derniers navires grecs qui explosa tous prêet d'un navire soviétiques. Les allemands et italiens devenait de plus en plus agressive alors que la résistance grecque de moins en moins menacante. Il restait qu'un seul navire...
Image du Croiseur léger Cyclope après l'attaque de l'Axe
Nous savions que les rebelles étaient à genoux et que leurs morts n'étaient qu'une question de jours voir d'heures...
Pourtant les soviétiques et les grecs avaient su contenir la menace de surface si je puis dire mais la menace sous marine était présente et les grecs furent torpillés sans pouvoir riposter pour une grande partie d'eux.
Même les soviétiques y ont laissé des dents. Leurs courages étaient beaux à voir !
Les allemands soutenus par les italiens ont repris les eaux d'Athènes et ont regagné du terrain sur les soviétiques.
Nous ignorions la fin du combat. Il était décidé sur le navire de rentrer à Athènes lorsque les derniers résistants mourront.
Une explosion retentit au petit matin, je sursauta depuis mon navire de pêche. je prit les jumelles et je pus apercevoir l'un des derniers navires grecs qui explosa tous prêet d'un navire soviétiques. Les allemands et italiens devenait de plus en plus agressive alors que la résistance grecque de moins en moins menacante. Il restait qu'un seul navire...
Image du Croiseur léger Cyclope après l'attaque de l'Axe
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Re: Opération Εθνική Αντίσταση: La résistance Grecque
Dim 30 Oct 2011, 16:03
Nous suivions le dernier grec depuis longtemps déjà, l'heure du repas arriva, nous nous accordâmes une pause. Rien ne put déranger ce magnifique moment, une mer calme, un soleil radieux, pas un bruit de canon, cela faisait bien longtemps que l'on n'avait pas eu ce genre de répit. Soudain en l'espace d'une demi heure le navire grecque fut attaqué par les navires de l'Axe: Ca sera la dernière offensive des allemands et des italiens, les derniers rebelles grecs sont morts après une longue résistance.
Nous retrouvâmes un carnet quelques dizaines de minutes plus tard en faisant un tour prêt de l'emplacement de l'épave du dernier navire grec.
Il était bien protégé de l'eau et les écritures n'avaient pas trop souffert.
Cela devait surement être écrit par l'un des marins, pas par un officier j'en suis persuadé. Je l'ouvris et je commençai à lire, cependant il ne restait que quelques pages.
[...] Nous sommes les derniers survivants, les Bosch et les ritals ont tué tous nos frères d'armes... La peur nous envahit mais nous ne pouvons ceder à la crainte de mourrir nous devons accomplir notre devoir jusqu'au bout... Nous savions en effet que nous allons mourrir c'est une certitude, le capitaine nous l'a dit... On devait... Résister jusqu'au bout [...] Les premiers signes de la mort viennent d'arriver. Le Croiseur Italien, le San Giorgio je crois, nous a tirer dessus à trois reprises, heureusement aucun obus ne toucha le navire, nous fumes aspergés seulement d'eau.
Nous avons fui jusqu'au soir la zone, nous suivons les soviétiques. Certains se ficher royalement de nous et d'autres voulaient nous aider, enfin c'est ce que Gekas a dit en tout cas...
Le lendemain nous fûmes dérangé après manger par des tirs de sous marins. Nous avons vu ses torpilles passer deux fois si pret de nous. J'étais paralysé par la peur, impossible de lacher le bastingage.
Après un jour de "repos" où nous attendions que la mort nous frappe, la nuit du 29 octobre je fus reveillé par un enorme vacarme: le navire venait d'être torpillé, nous avons subit des dégats mais par chance personne ne fût tué. Le sonar était détruit impossible de repérer le submersible le sonar est endommagé, nous le perdront définitivement vers 11 heures par un autre submersible. Encore un coup des italiens disait Gekas.Le navire était en très mauvais état
Il est midi, les destroyers italiens et les navires allemands nous foncent dessus, un des tirs échoua mais des obus se fracassèrent contre le chalutier, je fut propulsé. Je me regarde, je n'ai rien, je reprends le carnet pour écrire ce qu'il se passe, je regarde autour de moi, il y a une dizaines de cadavres sur le pont qui est devenu rouge sang.
Gekas.... Gekas est là allongé, totalement inerte... il est... il est mort... Oui je crois bien, c'est horrible ! Hier encore ces hommes étaient encore vivants... Le prix de la résistance disais l'un des commandants.
Le moment de notre mort est venu, le navire ne peut avancer nous sommes à leurs merci... les canons ne répondent pas... Nous allons prier en attendant la mort... Telle est la décision que nous avons prise. J'envoie ce carnet à la mer et j'implore celui qui le retrouve de le donner à ma famille [...]
Je refermai le livre, et je conclus d'un air vide, et le croiseur allemands à 12h49 coula le navire et le reste de son équipage.
Nous retrouvâmes un carnet quelques dizaines de minutes plus tard en faisant un tour prêt de l'emplacement de l'épave du dernier navire grec.
Il était bien protégé de l'eau et les écritures n'avaient pas trop souffert.
Cela devait surement être écrit par l'un des marins, pas par un officier j'en suis persuadé. Je l'ouvris et je commençai à lire, cependant il ne restait que quelques pages.
[...] Nous sommes les derniers survivants, les Bosch et les ritals ont tué tous nos frères d'armes... La peur nous envahit mais nous ne pouvons ceder à la crainte de mourrir nous devons accomplir notre devoir jusqu'au bout... Nous savions en effet que nous allons mourrir c'est une certitude, le capitaine nous l'a dit... On devait... Résister jusqu'au bout [...] Les premiers signes de la mort viennent d'arriver. Le Croiseur Italien, le San Giorgio je crois, nous a tirer dessus à trois reprises, heureusement aucun obus ne toucha le navire, nous fumes aspergés seulement d'eau.
Nous avons fui jusqu'au soir la zone, nous suivons les soviétiques. Certains se ficher royalement de nous et d'autres voulaient nous aider, enfin c'est ce que Gekas a dit en tout cas...
Le lendemain nous fûmes dérangé après manger par des tirs de sous marins. Nous avons vu ses torpilles passer deux fois si pret de nous. J'étais paralysé par la peur, impossible de lacher le bastingage.
Après un jour de "repos" où nous attendions que la mort nous frappe, la nuit du 29 octobre je fus reveillé par un enorme vacarme: le navire venait d'être torpillé, nous avons subit des dégats mais par chance personne ne fût tué. Le sonar était détruit impossible de repérer le submersible le sonar est endommagé, nous le perdront définitivement vers 11 heures par un autre submersible. Encore un coup des italiens disait Gekas.Le navire était en très mauvais état
Il est midi, les destroyers italiens et les navires allemands nous foncent dessus, un des tirs échoua mais des obus se fracassèrent contre le chalutier, je fut propulsé. Je me regarde, je n'ai rien, je reprends le carnet pour écrire ce qu'il se passe, je regarde autour de moi, il y a une dizaines de cadavres sur le pont qui est devenu rouge sang.
Gekas.... Gekas est là allongé, totalement inerte... il est... il est mort... Oui je crois bien, c'est horrible ! Hier encore ces hommes étaient encore vivants... Le prix de la résistance disais l'un des commandants.
Le moment de notre mort est venu, le navire ne peut avancer nous sommes à leurs merci... les canons ne répondent pas... Nous allons prier en attendant la mort... Telle est la décision que nous avons prise. J'envoie ce carnet à la mer et j'implore celui qui le retrouve de le donner à ma famille [...]
Je refermai le livre, et je conclus d'un air vide, et le croiseur allemands à 12h49 coula le navire et le reste de son équipage.
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