- Vassily AzovViolente tempête
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Nationalité: Soviétique/Commonwealth
Corps expéditionnaire soviètique
Lun 03 Oct 2011, 20:57
La destruction de la marine Finlandaise avait définitivement cloué le bec du turbulent voisin pour plusieurs mois. Azov vivait depuis dans la salle des cartes afin de peaufiner sa prochaine opération. Il avait passé plusieurs jours à étudier les rapports des espions et des patrouilleurs afin de réitérer l'exploit déjà fait par quelques un de ses illustres prédécesseurs. L'opération Marteau ou le passage de toute une flotte au nez et à la barbe des allemands en passant par le détroit du Danemark. Forcer le Blocus avec un croiseur de bataille, 1 croiseur Chapayev, 3 Destroyers, 1 garde côte, 1 VLT, 1 navire atelier et 1 caboteur ne serait pas une mince affaire.
L'allier Britannique avait toutefois besoin de cette aide et le corps expéditionnaire soviétique leur deviendrait vite indispensable prouvant pas là, la supériorité de l'allié bolchevique sur le capitaliste américain. L'opération débuta au début du mois de Septembre et se retrouva rapidement mit en échec. Azov avait cru tout prévoir, des hauts fond, de la météo au champs de mine mais il n'avait pas imaginé qu'une flotte allemande débarquerait en Baltique alors que sa flotte était au préliminaire de sa préparation. Dispersée, elle ne dut qu'au rapport d'une lointaine patrouille de découvrir la présence d'un adversaire qui aurait put totalement l'anéantir si cela était arrivé quelques jours plus tard en pleine traversé du détroit.
La Siviernii se trouvait toutefois en grand danger d'être coupé en deux et il faudrait compter sur la chance et l'habileté de ses capitaines pour sauvegarder tout les navires et préparer la contre attaque afin de se dégager le chemin du détroit.
Les jours suivant ne furent qu'une accumulation de mauvaise nouvelles, perte de quelques unités légères et surtout, présence d'un bon nombre de submersible Italiens qui représentait un danger mortel et brisait toute leur chance de contre attaque. Aucune flotte ne pouvait réellement combattre sur deux front, sur mer et sous mer, ce fut la mort dans l'âme qu'Azov donna l'ordre d'une retraite total. La Baltique au main de la marine soviétique depuis des mois allait redevenir allemande . Le sauvetage du croiseur lourd de la flotte de l'Arctique ne fut qu'un petit succès qui n'allégeât guère la rancœur d'Azov alors que son bâtiment s'approchait des quais de Kronshtadt. L'étau du siège de Leningrad allait se resserrer malgré la victoire contre les finlandais et la marine soviétique serait cloué à quai pour de long mois. On pouvait déjà voir la ville se préparer à la défense au moyen de champs de mines, de filet anti sous marin et de batterie cotière.
Cela n'était toutefois pas du ressort d'Azov qui avait rendez vous avec l'état major afin d'obtenir les moyens logistique pour un transfert de la siviernii en Arctique, dans le port de Murmansk.
L'allier Britannique avait toutefois besoin de cette aide et le corps expéditionnaire soviétique leur deviendrait vite indispensable prouvant pas là, la supériorité de l'allié bolchevique sur le capitaliste américain. L'opération débuta au début du mois de Septembre et se retrouva rapidement mit en échec. Azov avait cru tout prévoir, des hauts fond, de la météo au champs de mine mais il n'avait pas imaginé qu'une flotte allemande débarquerait en Baltique alors que sa flotte était au préliminaire de sa préparation. Dispersée, elle ne dut qu'au rapport d'une lointaine patrouille de découvrir la présence d'un adversaire qui aurait put totalement l'anéantir si cela était arrivé quelques jours plus tard en pleine traversé du détroit.
La Siviernii se trouvait toutefois en grand danger d'être coupé en deux et il faudrait compter sur la chance et l'habileté de ses capitaines pour sauvegarder tout les navires et préparer la contre attaque afin de se dégager le chemin du détroit.
Les jours suivant ne furent qu'une accumulation de mauvaise nouvelles, perte de quelques unités légères et surtout, présence d'un bon nombre de submersible Italiens qui représentait un danger mortel et brisait toute leur chance de contre attaque. Aucune flotte ne pouvait réellement combattre sur deux front, sur mer et sous mer, ce fut la mort dans l'âme qu'Azov donna l'ordre d'une retraite total. La Baltique au main de la marine soviétique depuis des mois allait redevenir allemande . Le sauvetage du croiseur lourd de la flotte de l'Arctique ne fut qu'un petit succès qui n'allégeât guère la rancœur d'Azov alors que son bâtiment s'approchait des quais de Kronshtadt. L'étau du siège de Leningrad allait se resserrer malgré la victoire contre les finlandais et la marine soviétique serait cloué à quai pour de long mois. On pouvait déjà voir la ville se préparer à la défense au moyen de champs de mines, de filet anti sous marin et de batterie cotière.
Cela n'était toutefois pas du ressort d'Azov qui avait rendez vous avec l'état major afin d'obtenir les moyens logistique pour un transfert de la siviernii en Arctique, dans le port de Murmansk.
- Isamu KobayashiTornade
- Autre pseudo : Ottavio Renatore
Nation au Front Atlantique : Italie
Flottille au Front Atlantique : XIIIª Squadriglia Torpediniere Bordeaux
Nation au Front Pacifique : Japon
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Nationalité: Italien/Japonais
Re: Corps expéditionnaire soviètique
Ven 07 Oct 2011, 14:10
[HRP] J'interviens sur ce post suite à l'autorisation de son auteur que je salue cordialement. [/HRP]
La XIIIª Squadriglia Torpediniere faisait le tour du Royaume-Uni par l'Ouest et patrouillait au large de Scapa Flow lorsqu'elle reçut des rapports alarmants concernant les résistants Finlandais.
Dès le 2ème jour de l'opération "Talvisota", la flottille se mettait en route vers Bergen pour ravitaillement carburant et munitions. L'escale fut rapide tant l'urgence était grande. Aussitôt cap était mis vers la Baltique, moteurs poussés à fond. Les diesels avaient bien tenu le coup à la grande surprise des Italiens qui savaient parfaitement que leurs sous-marins n'étaient pas très adaptés à l'Océan ; leurs caractéristiques étant développé pour la Méditerrannée.
L'avion me direz-vous ? La XIII n'y a quasiment jamais recours. Elle avait même traversé le détroit de Gibraltar il y a plusieurs mois de cela alors que prendre l'avion aurait été bien plus rapide et plus sécurisant. Fi ! "Oser et Surprendre" pourrait être notre devise !
Arrivés à l'entrée de la Baltique, la flottille se divisait en deux groupes : un groupe passait par la pleine mer vers Oslo et Copenhague, l'autre groupe passait par le détroit du Danemark et Kiel.
Les Italiens ne voulaient rien laisser au hasard et ils étaient loin de se douter que la Siviernii Flot avait l'intention de passer par là dans quelques jours au nez et à la barbe des Allemands !!! "Opération Marteau" qu'ils avaient appelé ça d'après des renseignements obtenus bien après...
Entrés dans la Baltique, toujours aucune trace des Russes et les combats dans le Golfe de Botnie entre l'ennemi et les Finlandais tournaient mal. La flottille doutait d'arriver à temps maintenant, mais peut-être pouvait-elle au moins mettre quelques navires russes à son palmarès et couper la retraite de ceux-ci.
Copenhague et Rostock à peine dépassés, la mauvaise nouvelle était tombée : les Finlandais étaient défaits... Dorénavant, tenter de couper la route des Russes était devenu notre objectif.
A nouveau la flottille se divisait pour contourner l'île de Gotland.
Surprise ! Des navires russes étaient repérés ! 2 destroyers Gnevnyi, 1 chalutier armé ASM, 1 garde-côte Uragan... parmi ces navires certains furent reconnus : il s'agissait de la Siviernii Flot.
Tout à coup, une nouvelle ! La GDH était en route ! Elle était dans les environs de Kiel et venaient également se frotter aux Russes.
L'ennemi n'ayant aucun moyen de savoir que nous étions dans ces eaux et sous leurs quilles ! nous prîmes la décision de poursuivre et de nous placer sur leurs arrières et de laisser la GDH s'occuper d'eux.
Remontant plus au nord quelle ne fut pas notre surprise de tomber sur un croiseur de bataille Kronshtadt, un croiseur léger Chapayev, un destroyer lourd Leningrad et un patrouilleur 9TK !!!
Aussitôt ordre était donné de prendre cap à l'Est pour leur couper la retraite vers Tallinn. Malheureusement, nos subs étaient bien trop lent face à ces navires. Frustrés, nous lachâmes quelques torpilles sur les navires précédemment repérés, révélant ainsi notre présence en Baltique.
Prenant la direction de l'Est, la flottille se divisait encore une fois : un groupe vers le Golfe de Riga et Riga et un autre groupe vers le golfe de Finlande et Tallinn.
La GDH nous rejoignait à ce moment-là, leurs navires étant bien plus rapide que des subs. Nous nous coordonnâmes pour la suite.
A l'entrée dans le Golfe de Riga, l'un des nôtres repéra un croiseur lourd Gorkiy ! Celui-ci appartenait à la Flotte de l'Arctique et il était seul !!!
Aussitôt, en coordination avec la GDH, nous foncions vers celui-ci tout en ne découvrant pas nos arrières. Deux subs restant en arrière au Nord.
Chose heureuse que celle-ci car à peine quelques torpilles lâchées, la flottille du Gorkiy arrivait à la rescousse par le Nord !!! Croiseur léger Chapayev, destroyer lourd Leningrad, destroyers Gnevnyi...
La GDH se replia juste à temps vers l'Ouest à la nouvelle de cette arrivée. Sage décision et excellente réactivité car sinon elle se serait retrouvée prise au piège.
Le Gorkiy en profita pour rejoindre son groupe et fila vers Tallinn.
Nos subs suivirent l'ennemi au plus près et rendaient compte à la GDH de la position des navires. La GDH restaient toujours à seulement deux nautiques en arrière de manière à pouvoir bondir et attaquer à tout moment d'éventuels navires ennemis.
Au large de Tallinn, tout était calme. En apparence...
La GDH arrivait au large du port, à l'Ouest, et prit ses quartier. Après une reconnaissance aérienne de celle-ci sur le port de Tallinn, nous avions confirmation de la présence d'une flottille dans le port.
La XIII décida de franchir le cordon de champs de mines disposés en travers du Golfe de Finlande à hauteur du port de Tallinn pour verrouiller la sortie Est de Tallinn et empêcher toute fuite vers Leningrad.
Nous étions persuadés que le Kronshtadt avait poursuivi sa route au vu de sa dernière position et de son cap. Il nous fallait savoir. Mais où était le Gorkiy ?
Surprise ! Les nombreux champs de mines Alliés signalés sur nos cartes étaient inexistants ! Nous étions furieux d'avoir perdu tant de temps et de précautions pour rien. L'ennemi avait maintenant deux jours d'avance !
Le 03 octobre au soir, le Gorkiy est repéré !!! Au Nord-Est de Tallinn seul et sans escorte !!!
Aussitôt nos subs se placent : un sous sa quille, deux autres de part et d'autre du croiseur lourd. L'attaque sur le navire aurait lieu au petit matin.
Au petit matin, suite à un problème radio de l'un des subs, décision est prise de retarder l'attaque à 18h30 en espérant que le Gorkiy ne bouge pas.
La GDH est également prête à intervenir pour couvrir la retraite des Subs car nul doute que l'escorte du Gorkiy se montrerait dès l'attaque lancée.
Tallinn, 04 octobre, 18h30 : 2 des 3 subs italiens lâchent leurs torpilles sur le Gorkiy. Il s'agit des capitaines Aquilani et Tito. Le troisième ayant eu un ennui mécanique au moment fatidique.
6 torpilles plus tard, le croiseur lourd du capitaine Alexandre Kazan gise par le fond. Il est à peu près 18h37. Très lourde perte pour la flottille de l'Arctique... Formidable victoire pour la XIIIª Squadriglia Torpediniere ! Flottille de chauds Italiens dans une mer de glace russe...
La réaction ne s'est pas faite attendre. Quelques minutes plus tard, un navire sortait du port pour tenter de trouver ceux qui avaient couler leur chef de flottille.
Le troisième sous-marin italien lâcha à son tour une torpille sur le nouvel arrivant mais rata sa cible...
Heureusement, la GDH, en soutien, était là et s'occupa dudit navire.
Les sous-marins purent se retirer sans danger.
D'après les dernières infos de nos services de renseignements, la Siviernii Flot est actuellement à Leningrad en attente de transfert vers Murmansk et une partie de la flotte de l'Arctique est au port de Tallinn.
La XIIIª Squadriglia Torpediniere faisait le tour du Royaume-Uni par l'Ouest et patrouillait au large de Scapa Flow lorsqu'elle reçut des rapports alarmants concernant les résistants Finlandais.
Dès le 2ème jour de l'opération "Talvisota", la flottille se mettait en route vers Bergen pour ravitaillement carburant et munitions. L'escale fut rapide tant l'urgence était grande. Aussitôt cap était mis vers la Baltique, moteurs poussés à fond. Les diesels avaient bien tenu le coup à la grande surprise des Italiens qui savaient parfaitement que leurs sous-marins n'étaient pas très adaptés à l'Océan ; leurs caractéristiques étant développé pour la Méditerrannée.
L'avion me direz-vous ? La XIII n'y a quasiment jamais recours. Elle avait même traversé le détroit de Gibraltar il y a plusieurs mois de cela alors que prendre l'avion aurait été bien plus rapide et plus sécurisant. Fi ! "Oser et Surprendre" pourrait être notre devise !
Arrivés à l'entrée de la Baltique, la flottille se divisait en deux groupes : un groupe passait par la pleine mer vers Oslo et Copenhague, l'autre groupe passait par le détroit du Danemark et Kiel.
Les Italiens ne voulaient rien laisser au hasard et ils étaient loin de se douter que la Siviernii Flot avait l'intention de passer par là dans quelques jours au nez et à la barbe des Allemands !!! "Opération Marteau" qu'ils avaient appelé ça d'après des renseignements obtenus bien après...
Entrés dans la Baltique, toujours aucune trace des Russes et les combats dans le Golfe de Botnie entre l'ennemi et les Finlandais tournaient mal. La flottille doutait d'arriver à temps maintenant, mais peut-être pouvait-elle au moins mettre quelques navires russes à son palmarès et couper la retraite de ceux-ci.
Copenhague et Rostock à peine dépassés, la mauvaise nouvelle était tombée : les Finlandais étaient défaits... Dorénavant, tenter de couper la route des Russes était devenu notre objectif.
A nouveau la flottille se divisait pour contourner l'île de Gotland.
Surprise ! Des navires russes étaient repérés ! 2 destroyers Gnevnyi, 1 chalutier armé ASM, 1 garde-côte Uragan... parmi ces navires certains furent reconnus : il s'agissait de la Siviernii Flot.
Tout à coup, une nouvelle ! La GDH était en route ! Elle était dans les environs de Kiel et venaient également se frotter aux Russes.
L'ennemi n'ayant aucun moyen de savoir que nous étions dans ces eaux et sous leurs quilles ! nous prîmes la décision de poursuivre et de nous placer sur leurs arrières et de laisser la GDH s'occuper d'eux.
Remontant plus au nord quelle ne fut pas notre surprise de tomber sur un croiseur de bataille Kronshtadt, un croiseur léger Chapayev, un destroyer lourd Leningrad et un patrouilleur 9TK !!!
Aussitôt ordre était donné de prendre cap à l'Est pour leur couper la retraite vers Tallinn. Malheureusement, nos subs étaient bien trop lent face à ces navires. Frustrés, nous lachâmes quelques torpilles sur les navires précédemment repérés, révélant ainsi notre présence en Baltique.
Prenant la direction de l'Est, la flottille se divisait encore une fois : un groupe vers le Golfe de Riga et Riga et un autre groupe vers le golfe de Finlande et Tallinn.
La GDH nous rejoignait à ce moment-là, leurs navires étant bien plus rapide que des subs. Nous nous coordonnâmes pour la suite.
A l'entrée dans le Golfe de Riga, l'un des nôtres repéra un croiseur lourd Gorkiy ! Celui-ci appartenait à la Flotte de l'Arctique et il était seul !!!
Aussitôt, en coordination avec la GDH, nous foncions vers celui-ci tout en ne découvrant pas nos arrières. Deux subs restant en arrière au Nord.
Chose heureuse que celle-ci car à peine quelques torpilles lâchées, la flottille du Gorkiy arrivait à la rescousse par le Nord !!! Croiseur léger Chapayev, destroyer lourd Leningrad, destroyers Gnevnyi...
La GDH se replia juste à temps vers l'Ouest à la nouvelle de cette arrivée. Sage décision et excellente réactivité car sinon elle se serait retrouvée prise au piège.
Le Gorkiy en profita pour rejoindre son groupe et fila vers Tallinn.
Nos subs suivirent l'ennemi au plus près et rendaient compte à la GDH de la position des navires. La GDH restaient toujours à seulement deux nautiques en arrière de manière à pouvoir bondir et attaquer à tout moment d'éventuels navires ennemis.
Au large de Tallinn, tout était calme. En apparence...
La GDH arrivait au large du port, à l'Ouest, et prit ses quartier. Après une reconnaissance aérienne de celle-ci sur le port de Tallinn, nous avions confirmation de la présence d'une flottille dans le port.
La XIII décida de franchir le cordon de champs de mines disposés en travers du Golfe de Finlande à hauteur du port de Tallinn pour verrouiller la sortie Est de Tallinn et empêcher toute fuite vers Leningrad.
Nous étions persuadés que le Kronshtadt avait poursuivi sa route au vu de sa dernière position et de son cap. Il nous fallait savoir. Mais où était le Gorkiy ?
Surprise ! Les nombreux champs de mines Alliés signalés sur nos cartes étaient inexistants ! Nous étions furieux d'avoir perdu tant de temps et de précautions pour rien. L'ennemi avait maintenant deux jours d'avance !
Le 03 octobre au soir, le Gorkiy est repéré !!! Au Nord-Est de Tallinn seul et sans escorte !!!
Aussitôt nos subs se placent : un sous sa quille, deux autres de part et d'autre du croiseur lourd. L'attaque sur le navire aurait lieu au petit matin.
Au petit matin, suite à un problème radio de l'un des subs, décision est prise de retarder l'attaque à 18h30 en espérant que le Gorkiy ne bouge pas.
La GDH est également prête à intervenir pour couvrir la retraite des Subs car nul doute que l'escorte du Gorkiy se montrerait dès l'attaque lancée.
Tallinn, 04 octobre, 18h30 : 2 des 3 subs italiens lâchent leurs torpilles sur le Gorkiy. Il s'agit des capitaines Aquilani et Tito. Le troisième ayant eu un ennui mécanique au moment fatidique.
6 torpilles plus tard, le croiseur lourd du capitaine Alexandre Kazan gise par le fond. Il est à peu près 18h37. Très lourde perte pour la flottille de l'Arctique... Formidable victoire pour la XIIIª Squadriglia Torpediniere ! Flottille de chauds Italiens dans une mer de glace russe...
La réaction ne s'est pas faite attendre. Quelques minutes plus tard, un navire sortait du port pour tenter de trouver ceux qui avaient couler leur chef de flottille.
Le troisième sous-marin italien lâcha à son tour une torpille sur le nouvel arrivant mais rata sa cible...
Heureusement, la GDH, en soutien, était là et s'occupa dudit navire.
Les sous-marins purent se retirer sans danger.
D'après les dernières infos de nos services de renseignements, la Siviernii Flot est actuellement à Leningrad en attente de transfert vers Murmansk et une partie de la flotte de l'Arctique est au port de Tallinn.
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Pacifique : Isamu Kobayashi, Ancien Commandant de la Daisan Kantai Asakaze. Ancien Officier d'Etat-Major.
Atlantique : Ottavio Renatore, Commandant de la XIIIª Squadriglia Torpediniere. Ancien Officier d'État-Major.
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