La revanche des alliés

Partie I, La défense de Malte, le courage des FANA.

Malte est une petite île britannique située en méditerranée au sud de la sicile.
Elle constitue un point stratégique car qui contrôle l’île contrôle l’accès à la méditerranée orientale. Isolés, mal équipés, les valeureux soldats britanniques, aussi bien aviateurs que marins, tentent tant bien que mal de se défendre face aux forces de l'Axe bien supérieurs en nombre.
Chaque jour, des vagues d’avions venues d’Italie bombarde l’île. La DCA britannique, étant très insuffisante, ne parvient pas à abattre les bombardiers.



Mais en cette fin d’année 1942, il y a un danger bien plus important qui guette la petite île, et ce danger se nomme Xa Mas. La Xa Mas est une flottille italienne composé essentiellement de vedettes rapides, très efficaces face aux navires lents comme les croiseurs.
Suite à l’annonce de l’opération Torch, certains navires de la V, Escort Fleet of Malta sont réquisitionnés pour participer au pilonnage des côtes africaines. La seule flottille de défense de l’île se trouve donc grandement amoindri et n’est plus en mesure d’assurer la protection de l’île. Les italiens furent très rapidement mis au courant de cette faiblesse et décidèrent d’en profiter, ils mirent en place un blocus sur Malte, empêchant tout navire de sortir du port. Bien heureusement, les pilotes de la RAF réussirent à empêcher les italiens de s’approcher trop prêt de La Valette mais ne purent les repousser, les italiens prirent donc position tout autour de l’île, bien décidé à couper son approvisionnement afin d’obliger les britanniques à se rendre.



Fort heureusement pour ces derniers, un groupe de FANA naviguait non loin de là et avait pour but de participer à l’opération Torch, ils devaient donc briser le blocus italien pour se rendre en méditerranée occidentale. Graçe à une belle action groupée, les capitaines français réussirent à couler plusieurs navires italiens contre des pertes minimes de leur côté. Les navires italiens restant décidèrent de battre en retraite, la passe entre Tunis et Palerme était à nouveau nettoyée et Malte était libre.
La petite île était passée tout prêt de la défaite et les britanniques pouvaient remercier les FANA de leur avoir porté secours. Les anglais avaient donc une dette envers les FANA et ils se promirent de toujours venir leur porter secours si ils en avaient besoin.