[San] Cour martiale

LMF a écrit:"A mort, à mort", crie la foule. Las, Dieu abaisse son pouce et le processus de mise à mort commence.

MERCo a écrit:Lorenzo Catanzaro,

Si la liberté d’expression constitue un droit fondamental pour tous, celle-ci n’est pas sans limite. Parmi ces limites l’on retrouve celle de tenir des propos discriminants envers une communauté. A cet effet nous vous rappelons qu’en vous inscrivant sur le présent forum vous avez accepté de vous soumettre à la charte Forumactif (fournisseur de service forum) qui indique, entre autres :

« - les messages agressifs ou diffamatoires, les insultes et critiques personnelles, les grossièretés et vulgarités, et plus généralement tout message contrevenant aux lois françaises en vigueur sont interdits »


L’équipe d’Administration ayant pris connaissance de vos propos indécents, et les condamnant fermement, nous avons en marge de l’AG décidé que cela ne resterait pas sans conséquences, d’autant moins que votre épais dossier chez nous n’est pas exempt d’autres interventions du même acabit. Par conséquent, faute d’avoir en mémoire que les écrits ont parfois des conséquences, on finit par les subir !

La sanction qui vous sera appliquée consiste en une remise à zéro (Ràz) de vos points de prestige ainsi que de vos points d’XP.

En espérant vivement que cela soit la dernière fois où nous ayons à perdre du temps avec votre comportement.

La terre labourée du champ dégelait lentement sous les premiers rayons du soleil du mois de mars. Les premiers bourgeons pointaient déjà sur les arbustes fruitiers et les vieux hortensias le long du mur de pierres calcaires de la vielle bâtisse. Dans le verger un paysan chaulait les troncs d’un mélange blanchâtre qui protégerait les arbres contre les champignons et les larves des parasites nichant sous l'écorce. Autour de lui, volant de branche en branche, un merle noir faisait la cour à sa concubine.

A voir ce tableau idyllique, digne d’un peintre naturaliste du début du XIXe siècle, l’on en oublierait presque que la guerre est partout, souvent même là où l’on s’y attend le moins.

Printemps 1943, quelque part en France
 
Un camion de la Wehrmacht s’engage sur un sentier sablonneux et s’enfonce dans une forêt de feuillus auxquels le début de saison redonne quelques couleurs fraîches. Arrivé dans la carrière de sable, le véhicule s’arrête et trois jeunes gens les mains attachées dans le dos sont jetés à terre puis traînés sur quelques mètres. Depuis le marche-pied, un officier SS à peine plus âgé qu’eux sort son Luger de son étui et d’une balle dans la nuque fait valdinguer les corps jusqu’au fond de la fosse.
Une cigarette plus tard, le camion repart comme si de rien n’était.

Été 1944, ciel de Cochinchine

Le petit avion de transport nippon manœuvre comme il peut, avec l’énergie du désespoir car il sait bien que l’escadrille de Lockheed P-38 Lightning qui le colle dans ses six heures ne fera qu’une bouché de son frêle fuselage.
Malgré son piqué suicidaire, tentant dans un dernier espoir aussi fou que vain de s’aider de la haute canopée encadrant le delta du Mékong, l’avion de l’US Navy n’aura besoin que d’une rafale pour détruire la gouverne et faire fumer l’appareil de l’empire du soleil levant.

Le lendemain, une unité de commando du Corps Léger d’Intervention, infiltrée dans la zone avec la bienveillance et l’aide de la population locale, découvre sur le site de l’épave encore fumante une malle en fer blanc contenant des papiers et uniformes japonais, italien mais aussi britannique, américain et brésilien…

Hiver 1941, Belgique

Forêt des Ardennes, une nuit de pleine lune rousse. Un feu de fortune éclaire péniblement un espace réduit, entre les conifères couverts de neige, sous les crépitements du bois qui brûle. Tout autour, des ombres, tantôt plongées dans l’obscurité, tantôt rougeoyantes dans la lumière des flammes, boivent des mixtures plus ou moins artisanales. Le rite de ces hommes en uniformes noir ne serait pas complet sans ces incantations et ces témoignages de foi au Führer.

Soudain, non loin, un craquement de bois se fait entendre dans le manteau noir du bois. Puis, surgissant de nulle part, une poignée de maquisards sort de l’ombre et à peine en place, fait feu. Les balles sifflent sur les hommes situés près du feu et transpercent les chairs. Sitôt le calme revenu, la troupe armée fait brûler les corps et tout le bric-à-brac amené là par ces démons…

La fin des vacances et le retour de nos chères têtes blondes sur les bancs de l'école est en vue. La petite école maternelle de Bledwick-on-the-Lyme, au cœur de la campagne anglaise verdoyante, sort doucement de sa léthargie estivale. Bientôt les rires et les chants des enfants empliront à nouveau la cour de récréation et vers les cinq heures de l'après-midi les rues de ce petit hameau verront passer une horde de galopins en culottes courtes rejoindre leurs « home sweet home ».

Mais cette année, toutes les familles ne sont pas encore revenues pour la rentrée. Et certaines ne reviendront jamais. Non pas à cause des malheurs de la guerre, mais bien parce que même en été le Service de Répression des Fraudes ne dort jamais…

Radio IG a écrit:Bonjour,

Le Service de Répression Des Fraudes vous annonce que vous avez été déclaré en situation de fraudes avec le compte Saikon Kurosaki.
En effet vous avez porté votre compte japonais sur le front Atlantique et ce, en contradiction totale avec les règles édictées à ce sujet et malgré les indications, clairement visibles sur la carte du jeu, qui délimitent visuellement les fronts et la zone mixte In Game.

Règles dont nous vous joignons un extrait:

«  Das Boot comprend deux théâtres d’opérations : l’Atlantique et le Pacifique. Afin de conserver un minimum d’historicité, un équilibre dans les forces en présence ainsi qu'une jouabilité satisfaisante, il est interdit aux navires/joueurs d’un front de passer sur l’autre (sauf autorisation aussi spéciale qu’exceptionnelle).
…
Note: Le non-respect de ces lignes de front est sujet à sanction. … »
Source : Glossaire des règles

Aussi, l’Administration a décidé ce qui suit pour le compte Saikon Kurosaki :
1. Le retour du joueur à son port d'attache (dans ce cas : [XXXXX] );
2. -50% de ses points de prestige dans la carrière  submersible (carrière mise en cause);
3. -50% de ses tonnages coulés (toutes nations confondues);
4. -25% des XP;


Si vous souhaitez plus d'informations ou émettre un avis personnel, vous pouvez le faire (sous 48h) en contactant MERCo sur le forum via message privé.

En vous souhaitant,

MERCo a écrit:Bonjour à toutes et tous,

Ayant lu les différents écrits des uns et des autres, en partie administrateurs ainsi que publique, l’équipe estime:

1. Que le joueur François de la Vergnasse aurait pu / dû faire part de cela par MP aux administrateurs pour éviter les possibles débordements;
--> conscient de cela, ledit joueur s'en est excusé publiquement dès le lendemain.
2. Que c'est bien l'association entre le nom TotenKopf et la croix gammée en filigrane, sur la bannière affichée sur la page RP du joueur Karl Von Straft, qui est au cœur du problème ici;
---> ceci exclu de facto les autres références possibles évoquées.
3. Que les "arguments", les menaces et les propos agressifs du joueur Karl Von Straft sont totalement inappropriés (et erronés pour certains);
--> simple exemple : en mai 2017 le nom dudit navire a été changé, il est donc erroné de dire que nous nous "réveillons" qu'aujourd'hui.
4. Que le déballage du joueur Karl Von Straft sur la radio (et qui nous est remonté) n'a pour seul but que de jeter de l'huile sur le feu et de créer un clivage alors que c'est bien lui qui est, ici, en faute;
--> nous rappelons aux apprentis agitateurs que la radio, le discord, le tchat comme le forum sont des plateformes du jeu et sont donc soumis aux mêmes règles de savoir-vivre.
5. Que le déballage du joueur Karl Von Straft d'échanges privés (qu’ils émanent de joueurs ou d'administrateurs)  en partie publique du forum est "au mieux" un manque total de respect des autres, au pire une tentative de jeter l’opprobre sur d'autres afin de noyer le poisson de ce qui lui est reproché;
--> ce genre de manque de respect des autres membres de la communauté, j'y reviens plus bas, n'est pas une première pour ce joueur.

S'il avait simplement retiré sa bannière sans faire de vagues, on aurait pu - avec la mansuétude qui nous caractérise - en rester à un énième avertissement.

Son comportement des derniers jours ne peut cependant pas être passé sous silence et être ainsi toléré sans plus. La réaction normale et équitable en pareil circonstances serait un BAN de 3 jours, forum et jeu.
Malheureusement pour lui, le joueur Karl Von Straft n’en est pas à son coup d’essai et n’a déjà que trop joué avec le feu. Tellement qu’il a déjà eu droit à un BAN (forum et jeu) de 3 jours pour comportement indélicat en date du 24 mars 2016*.

En conclusion de quoi, la seule réponse adéquate à apporter est de passer à la facture supérieure, à savoir le BAN de 7 jours forum et jeu.

Faute d’avoir en mémoire que les écrits ont parfois des conséquences, on finit par les subir !!!

En vous souhaitant,



* Cour martiale du 24 mars 2016 pour comportement indélicat de la part de Karl Von Straft
https://dasboot.forumactif.com/t14102-san-cour-martiale#418328

Base Sous Marine de Brest – 27 février 1943

Le 9 février, le sous-préfet Pierre Trouillé à fait paraître un avis d'évacuation obligatoire des « non-indispensables ». Depuis les écoles ont étés fermées et l’on a procédé à l'évacuation d'environ 10 000 personnes.

Comme souvent depuis maintenant trois ans le port de Brest est bombardé par le Bomber Command britannique. Aujourd’hui l’attaque fera tout de même 44 victimes, civiles pour la plupart.

Profitant de la pagaille qui règne pendant les bombardements, deux officiers de la police secrète d’État se sont infiltrés dans la base sous marine. Parcourant les alcôves qui tremblent mais tiennent bon sous les déflagrations, ils aperçoivent finalement leur cible. Sans une parole ou un bruit, ils l’attrapent par l’épaule et l’embarquent aussi soudainement qu’ils sont arrivés.

Menotté et cagoulé, il est jeté dans une voiture qui se met à rouler à vive allure le long de la route de la Corniche puis passe Recouvrance. On perd sa trace non loin du quartier Kerjean, là où commence la route pour Rennes…

...travelos..., ...des guignols de ce type..., ...ce petit salopard..., ...cet abruti..., ...une belle bande de raclures..., ...pauvre tocard..., ...un parasite geignard..., ...dépecer ces pds..., ...élites de fiottes..., ...une pédale en service..., ...une pute de lâche...,… Ces FDP…,…

10 milles nautiques à l’Ouest de l’île de Molène – 4h37

Vas-y Fanch, relève l’chalut y a un truc qui fait masse…
Gast ar c'hast! [NDLR : Nom de dieu]…

En relevant son chalut, le Beg Ar Mor vient de déverser sur son pont une drôle de prise. Du genre qui ne navigue pas habituellement dans ces eaux.

Guénolé, rejette-moi ça à la baille, vite fait, c’truc-la va nous attirer le mauvais œil, moi j’vous l’dis…

Les deux bretons, un peu superstitieux de nature, poussent avec difficulté la chose à la mer, puis le chalutier vire de bord et quitte la zone sans demander son reste.

MERCo a écrit:Bonjour,

1. La partie forum ou vous posté se nomme « [RP] Port Neutre » et est une section RP, pas une section ou l’on pose des questions et ou l’on déverse son ressenti. C’est au moins la troisième fois que je vous le fait remarquer.

2. Fake News... encore une fois de votre part.
Le port de La Valette est un port de taille moyen donc vous avez la possibilité d’armer le navire de base de chaque carrière dans ce port. Vous avez donc le choix de prendre l’avion vers un port de votre nation ou de vous rendre, par voie maritime, vers un port majeur de votre camp qui se comportera comme un port mineur de votre nation ou vous pourrez donc armer une gamme plus large de navires.

3. « Nul à chier » rejoins bien le style votre message radio de hier qui est remonté via le filet anti-insulte de notre interface et ou vous qualifier le jeu de, je cite : « Merde enrobé ».

Attendu que fin mars nous avions déjà du prendre des mesures pour des propos irrespectueux envers les joueurs et les administrateurs ;
Attendu que visiblement vous n’avez pas bien saisi les avertissements susmentionnés ;

Vous irez vous calmez loin de chez nous pendant 7 jours.

En vous souhaitant,

Paris 13e – fin août 1944

Les rumeurs les plus folles parcouraient depuis plusieurs jours la ville. Les américains avaient étés vu au Mans et même soi-disant à Mantes-la Jolie, la Libération était proche. C’était le temps où les plus timorés devenaient d’extrêmes patriotes, le temps des FFS ou Forces Françaises de Septembre... C’était aussi le temps où tous ceux qui avaient perdu des proches, des frères et des sœurs d’armes dans la lutte contre l’Occupant allaient pouvoir honorer, librement, leurs mémoires.

Rue Bobillot, un vieux camion de livraison de charbon sur lequel avait été peint à la hâte en lettres blanches « FFI » et quelques grands « V à Croix de Lorraine » déboulait à toute allure. Il s’arrêta devant la piscine de la Butte aux Cailles. Quelques hommes arborant le brassard FFI en sortirent sans ménagement cinq hommes et une femme, manifestement brutalisés, pour les conduire à l‘intérieur.
Annexe temporaire avant d’être conduit à l’Institut Dentaire de Paris où la plupart seront, après plusieurs jours de « vérifications », fusillés sur les bords de Seine.

Affaire #80 bis (repetita)


Sheldon Pennoyer Collection - Princeton University

Banlieue de Londres - automne 1943.

Le directeur Menzies soupira en fermant le dossier en carton brun posé devant lui sur le bureau à peine éclairé d’une vieille lampe en bakélite noir.

« Quel gâchis »

Le SIS n’avait vraiment pas besoin de ça en ce moment. La Royal Navy non plus d’ailleurs. Mais il en allait de la sécurité de nos concitoyens, se rassura-t-il en regardant une dernière fois la couverture brune.
Le contenu était sans appel. Lentement il prit l’un des tampons encreurs dans le premier tiroir de droite. Vérifia le texte, par habitude, pressa celui-ci sur le coussinet d’encre rouge et fit tombé le timbre sur le dossier « A TRAITER ».

Quelques jours plus tard, le dossier, comme tant d’autres… comme trop d’autres… fit le voyage vers les archives du SIS.

Avenant au dossier #80 bis.
Pour plus de clarté, il semble utile de préciser que l’abus de sitting a été effectué par le compte Dalton Buchanan lorsque celui-ci assurait un sitting avec un compte tiers (non mentionné ci-dessus car non visé par l’enquête). Le propriétaire dudit compte tiers n’étant pas fautif (absent, il en avait laissé la gestion à Dalton Buchanan) et ayant depuis arrêté le jeu, il ne nous apparaît pas souhaitable d’en mentionner le nom.

Corse – 1941

Une averse aussi soudaine que brève terminait de rafraichir quelque peu l’air du maquis autour du petit village perdu de Giustiniani au fond de la vallée du Speloncato. Un murmure venu du chemin escarpé menant au village grossissait jusqu’à devenir une tumultueuse conversation… en Corse on ne parle pas fort, on s’exprime clairement.

Une poignée de partisans armés de quelques Sten sortirent de la végétation dense, poussant devant eux trois gaillards, les poings liés par un épais cordage de chanvre et visiblement exténués par la longue marche. Après une heure de repos à l’ombre d’un vieux mur de pierre blanche, la bande repartit en s’enfonçant dans le maquis. On ne revit jamais les prisonniers, ni même leurs corps.

Empire du Soleil Levant - 1944

Un vieux sampan usé descendait paisiblement le Yang Tsé Kiang. Laissant sur bâbord et tribord de petites îles flottantes habitées d’orchidées et d’animaux plus exotiques les uns que les autres. De temps en temps, un village-ponton se détachait de la végétation. L’on y voyait les enfants jouer et quelques pêcheurs paisibles. Au loin, un menuisier tapait de son maillet pour réparer une charrue à bœufs en bord de rizière.

Qui pourrait croire en traversant cette image d’Épinal, véhiculée par la diaspora coloniale française, que non loin de là l’armée impériale rasait et détruisait tout sur son chemin. Dix kilomètres plus en aval, un peloton de la Kempeïtaï, la police politique et secrète, venait de mettre la main sur une poignée de rebelles. Les pauvres allaient passer un sale quart d’heure.

Angleterre – Printemps 1943

Malgré les affres de la guerre, la vie continue pour la population, mais aussi, le temps de quelques permissions, pour les aviateurs britanniques. Ce samedi-là, sous un soleil radieux, un match de rugby amical oppose deux équipes, dont une de la Royal Air Force, sur le terrain de Twickenham. La plupart des aviateurs sont revenus dans la nuit de leurs missions en France et il leur est agréable de se détendre un peu après ces longues heures passées au dessus de la Normandie.

Soudain une alerte aérienne vient interrompre le match. Quelques bombes tombent loin du terrain, sans doute des bombes perdues larguées trop loin dans cette paisible banlieue Ouest de Londres. Tout le monde reprend sa place sur et autour du terrain, et le match se poursuit dans un flegme tout britannique.
Tout le monde ? Pas vraiment. Personne n’a remarqué que quatre personnes du public ne sont pas revenues. Ni d’ailleurs les MP qui se tenaient à l’écart depuis le début, non loin de la voiture noire près de l’église. Peu après, cette même voiture, suivie d’un camion bâché, quitte la ville en direction de l’Est.

Hambourg – hiver 1942
Des paquets de pluie tombaient sur le port, seulement entrecoupés de fortes rafales de vent qui emmenaient tout sur leur passage. Les amarres de quelques bâches avaient cédé sous la violence des coups de vent et claquaient d’un son sec et menaçant. La pluie avait redoublé d’intensité et fouettait les visages de trois ombres installées sous un auvent de fortune, dans l’encoignure d’un hangar. Les tôles de fer grinçaient sous les assauts répétés des bourrasques.
Le ciel noir de cette nuit froide s’éclairait de temps en temps de zébrures électriques suivies d’un grondement tonitruant. Elle est pas tombée loin, celle-là…

Puis le ciel s’éclaircit aux petites heures de l’aube. Sous le auvent, la pluie ruisselante finissait d’emporter avec elle une marre de sang. Juste derrière, une tôle criblée de balles se remettait en place après un dernier coup de vent. Dans les docks, deux casquettes et un chapeau flottaient sur l’eau redevenue calme.

MERCo a écrit:Bonjour et bienvenue Ethan Carter. Nous espérons que Das Boot saura te plaire et t’apporteras le divertissement que tu es (peut-être) venu chercher ici.

Ne prend pas ombrage de l’accueil « particulier » qu’a fait le joueur (?) Klausman. Ce genre de personnage est, heureusement, une minorité dans la communauté Das Boot.



@Klausman :

Klausman a écrit:Bonne chance alors avec la triche de la triangulation de faille que les admins  ferment les yeux!

1. Ce n’est pas très sympa de venir troller la présentation d’un nouveau joueur ;

2. LMF et moi-même avons depuis longtemps répété que la triangulation, ne vous en déplaise, n’était ni une faille ni de la triche. Perpétuer ces sornettes ne peut donc qu’avoir une seule intention, semer la zizanie ;

3. Si cela vous est à ce point insupportable, nous nous en voudrions de vous obliger à subir cela plus longtemps. La porte est donc grande ouverte si vous le souhaitez ;

4. En dates des 22 mars 2020 et 30 avril 2020 vous avez été épinglé pour divers cas de manque de respect envers les joueurs ainsi qu’a l’encontre des administrateurs. C’est vrai qu’on dit aussi « jamais deux sans trois »,  eh bien d’accord vous venez de décrocher votre troisième Ban – de 30 jours celui-ci. Bonne méditation ;

En radio, canal 1 puissance 20MW

Titre du radio: bande de nazes
Les admins, bandes de fils de putes, allez vous faire foutre!
Accepter la triangulation, de ne plus accepter le coté sabordage, de faire du social!!!! Bande de cons allez crever!!!
Oups le reste je m'en fous espèces de con!Vous avez tuer le jeux!
Désolés pour les capitaines du jeux!

Auteurs: Arkadi Ksénia & Tom Anderson

Titre du message: Re: Amirauté
Hé! Marco va sucer ta mère , espèce de sale bâtards!!

Auteur: Arkadi Ksénia

Source: www.jerseyheritage.org

Îles Anglo-Normandes – été 1943

Hauptmann Bode sortait avec son adjoint de « Silvertide », maison réquisitionnée par l’armée allemande au début de l’occupation et ou s’était installée la Geheime Feldpolizei active sur ces îles. Après un bref voyage en voiture – une de celles récupérées au Corps Expéditionnaire Britannique à Dunkerque et transférée ici – les deux hommes arrivèrent au cimetière de Westmount, au nord-ouest de St Helier.

Dans le carré dit des étrangers, les Allemands avaient creusé 3 tombes dans la rangée derrière les 5 tombes polonaises et les 9 tombes espagnoles. Ils enterraient ce matin, sous bonne garde, trois corps jugés pour trahison. Un peloton fourni par la Luftwaffe locale ayant rendu les honneurs, la foule se dispersa alors qu’une fine brise souffla du large.

Constanza, février 1942

Le microfilm voyagea des jours entiers, roulé dans une cigarette à moitié fumée d’un paquet de Reemtsma allemandes. Puis, à la gare maritime, un représentant en linge de maison me glisse dans la doublure d’une nappe brodée. Quelques jours de train et plusieurs contrôles plus tard me voilà embarqué sur un sentier muletier à destination de la Suisse et plus précisément du consulat américain de Berne. J’arrive après de longues semaines à Madrid par la valise diplomatique puis Gibraltar pour, enfin, finir sur un bureau du 70 Grosvenor Street, quartier général de l’OSS à Londres.
Que de péripéties et de chemins détournés pour en arriver à ce triste résultat…