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Ricardo Felix GalvaoCoup de vent- Autre pseudo : Aucun
Nation au Front Atlantique : Brésil
Nation au Front Pacifique : Aucune
Nombre de messages : 302
Date d'inscription : 17/04/2011
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Nationalité: Brésilien
Le soleil ne perce pas les vagues...
Jeu 05 Mai 2011, 16:38
Prologue : Entrainement
- Première sortie en mer de l'équipage au large de Rio de Janeiro. La brise est fraîche.
Le Midship respire une dernière goulée d'air marin avant d'autoriser la descente dans les abysses. -
Chapitre 1 : Exercices pratiques
- Un croiseur léger classe Bahia pris depuis le BZ Recife. Dernière salutation avant d'ordonner la plongée.
Probablement Avril 1943 -
Ricardo n'a jamais aimé le commerce. Il a pourtant été exportateur pour le compte de son père, un riche exploitant de la région de Porto Vehlo.
Exporter, ne veut pas dire voyager. Et cela Ricardo l'a malheureusement bien compris.
En outre, Ricardo n'aime pas la guerre, il ne l'a jamais aimé. Il n'a pourtant pas connu les temps difficiles en Algarve. Il ne sait rien du temps de Salazar au Portugal. Il ne sait même pas ce qu'est une démocratie.
Oh bien sûr, il a son idée.
Si son père est un socialiste convaincu, le zèle dont à fait preuve son tuteur et ses lectures approfondies de Bakounine, de Marx et d'Owen, ne l'ont pas vraiment convaincu.
Ricardo est lassé.
A seulement 22 ans, rien ne l'intéresse vraiment. Puis un jour, la guerre éclata.
Parfait !
On peut être intellectuel (ou avoir l'impression de l'être) et avoir des idées morbides.
Quoi de plus orignal qu'un submersible pour les satisfaire.
6 mois après la déclaration de guerre et après une formation aussi lacunaire que laconique. l'Enseigne de Vaisseau Felix Galvao prend le commandement du T-07, submersible d'application et d'entrainement pour une formation en mer de 3 mois.
Bien assez pour quitter terre à tout jamais.
Exporter, ne veut pas dire voyager. Et cela Ricardo l'a malheureusement bien compris.
En outre, Ricardo n'aime pas la guerre, il ne l'a jamais aimé. Il n'a pourtant pas connu les temps difficiles en Algarve. Il ne sait rien du temps de Salazar au Portugal. Il ne sait même pas ce qu'est une démocratie.
Oh bien sûr, il a son idée.
Si son père est un socialiste convaincu, le zèle dont à fait preuve son tuteur et ses lectures approfondies de Bakounine, de Marx et d'Owen, ne l'ont pas vraiment convaincu.
Ricardo est lassé.
A seulement 22 ans, rien ne l'intéresse vraiment. Puis un jour, la guerre éclata.
Parfait !
On peut être intellectuel (ou avoir l'impression de l'être) et avoir des idées morbides.
Quoi de plus orignal qu'un submersible pour les satisfaire.
6 mois après la déclaration de guerre et après une formation aussi lacunaire que laconique. l'Enseigne de Vaisseau Felix Galvao prend le commandement du T-07, submersible d'application et d'entrainement pour une formation en mer de 3 mois.
Bien assez pour quitter terre à tout jamais.
- Première sortie en mer de l'équipage au large de Rio de Janeiro. La brise est fraîche.
Le Midship respire une dernière goulée d'air marin avant d'autoriser la descente dans les abysses. -
Chapitre 1 : Exercices pratiques
3 semaines de navigation,
Plonger, faire surface, veiller au kiosque, toujours ces mêmes activités répétées inlassablement de Rio de Janeiro à Natal.
Parfois, quelques tirs à la torpille d'exercice ponctuaient le tout, mais rien de transcendant.
Malgré la lenteur du voyage, Ricardo trouva là une dernière occasion de former ses hommes avant d'arriver aux "Rochers".
L'ile était un symbole pour tout les sous mariniers de la FNB.
Planté au cœur de l'Atlantique, il n'y avait rien sinon l'idée d'une dernière escale avant la haute mer et ses fragrances de solitudes absolues.
Même pas de quoi prendre du bon temps. Simplement du vent, de la pluie et une radio sur pilotis.
Le sous-marins ne traina pas longtemps dans le coin.
Un rapport plus loin et quelques vivres embarqués plus tard, le BZ Recife naviguait à vive allure plein ouest vers grand large.
Après un dernier contact avec l'amirauté via le Croiseur Bahia de l'Amiral Silva, les premiers ordres de combat tombèrent.
"Patrouille en xx°xxS xx°xxO, autorisation d'engager tout navire hostile."
Raclement de gorge, mains moites, l'équipage était à l'affut dans le CO. Le commandant donna l'ordre de plonger.
Le Bz Recife rentrait en guerre.
Plonger, faire surface, veiller au kiosque, toujours ces mêmes activités répétées inlassablement de Rio de Janeiro à Natal.
Parfois, quelques tirs à la torpille d'exercice ponctuaient le tout, mais rien de transcendant.
Malgré la lenteur du voyage, Ricardo trouva là une dernière occasion de former ses hommes avant d'arriver aux "Rochers".
L'ile était un symbole pour tout les sous mariniers de la FNB.
Planté au cœur de l'Atlantique, il n'y avait rien sinon l'idée d'une dernière escale avant la haute mer et ses fragrances de solitudes absolues.
Même pas de quoi prendre du bon temps. Simplement du vent, de la pluie et une radio sur pilotis.
Le sous-marins ne traina pas longtemps dans le coin.
Un rapport plus loin et quelques vivres embarqués plus tard, le BZ Recife naviguait à vive allure plein ouest vers grand large.
Après un dernier contact avec l'amirauté via le Croiseur Bahia de l'Amiral Silva, les premiers ordres de combat tombèrent.
"Patrouille en xx°xxS xx°xxO, autorisation d'engager tout navire hostile."
Raclement de gorge, mains moites, l'équipage était à l'affut dans le CO. Le commandant donna l'ordre de plonger.
Le Bz Recife rentrait en guerre.
- Un croiseur léger classe Bahia pris depuis le BZ Recife. Dernière salutation avant d'ordonner la plongée.
Probablement Avril 1943 -
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