La Perm d'un Commodore

(Hrp : Je posterai la suite plus tard, temps de connexion limité oblige)

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Port de Gibraltar (England)
23 Novembre 7.24
Météo : Temps Clair 18°C
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Un Officier britannique assez tatillon devant la coupé du Croiseur H.M.S Emerald,

Lieutnant Commander Arawn Llorens...
Je sais,... vous me donnerez la liste du personnel prêt à repartir, annulez les permissions ! c'est un scandale de paralyser un navire aussi longtemps, je sais pas ce qui me retiens
Je n'ai pas reçu votre nom pour la prise de commandement...
Ce n'est pas mon problème ! les radios sont défectueuses, votre opérateur n'a qu'a être un peu plus dégourdis ! ils ont intérêt à être en forme ou je ne sais pas ce qui me retiendra de les faire dégager fissa !

Et puis de toute façon vous n'avez à connaitre de moi que mon Grade Commandant suffira !

Bien Commandant...
Nous partirons à 4 Heures zéro zéro, je veux tout le monde à bord il n'y a aura aucun retard autorisé !

Au large, enfin quelquepart en Mediterrannee.
Quelques semaines apres l'appareillage du H.M.S Emerald.
Deux marins britanniques jouant aux cartes dans le Bareq (Bar Equipage).

-Il est rasant ce nouveau capitaine, tu as vu le nouvel ordre de circonstance ?
-Non ? Je suis en machine 72 Heures que j'y suis je profite enfin de mon temps de repos c'est qu'il en faut des gars pour empecher que tout nous pete au nez. C'est pas lui qui comprendra ca !
-Mouais ben figures toi que c'est fini, il ferme les lieux de repos Carre compris, dans trois jours, meme les grades ont proteste
-Ah oui ? et alors ils ont obtenu quelquechose ?
-Bien sur, Trois convocations qu tribunal militaire pour insubordination.
-Le CSD n'acceptera pas ca !?
-Non, c'est pour ca qu'il est arrete et convoque...
-Il est grand temps que ca change, s'en est de trop !

...

(La suite plus tard... Je sais pas quand, je viens de m'acheter un PC Portable ici a Singap. je vais donc pouvoir preparer quelques RP que je posterai ici en escale si la ville a le Wi-fi )

Au milieu de la Méditerrannée, Dans les alentours du mois de Mars , Un croiseur silencieux (autant que peut etre un croiseur silencieux.) navigue tout feux éteint vers ce qu'il croit etre l'ile de Malte :

James... le capitaine dort, il faut envoyer un message radio a nos allies çà fait 3 mois qu'ils ont perdu toutes communications avec nous si çà continue on va etre considéré comme déserteur

Je veux bien Henry, mais le Captain il a détruit la radio lorsqu'on a tenté de l'arreter et de liberer le Commandant en Second Llorens.

Ah Llorens un chic type, il a tellement fait pour nous aider qu'il est toujours enfermé dans sa cellule, bientot il y aura plus de prisonniers que de marins dedans, pour la radio, ne t'en fais pas çà fait deux semaines que je vole des pièces un peu partout et je pense pouvoir la faire fonctionner

Mais c'est super ce que tu dis, vite faut envoyer le message au plus vite avant que l'on se fasse attraper...

Les deux compères allume le dispositif et entame alors une serie de phrases pour contacter la Task Force alliée alentours...
Ici H.M crfft Emercrfft euld crfft crrrrfffft.... vite branche ce cable crrffft maintenant crfft appel immediatement les forces alliées... Henry ! on est pas sur une fréquence cryptée comme çà... on s'en fout ! je préfère encore voir les allemands arriver que de vivre un jour de plus avec ce cinglé qui nous tuera tous... Nous sommes au milieu de la Sardaigne et de Tunis si vous nous entendez répondez

Le navire se rapprochait dangereusement des cotes Allemandes de la Tunis, le jeune Capitaine lui s'avançait sereinement convaincu de voir Alexandrie sur l'horizon

Quand soudain, le reve fit place au cauchemard ou tout du moins à la réalité

Une dizaine de Junker 88A et 3 Dornier 17 fendirent le ciel. Le Capitaine aperçu alors ce qu'il n'avait encore jamais vu, un Wolfpack, trois périscopes et une trainée de plusieurs torpilles.

L'incapable capitaine qui avait alors incarcéré ces meilleurs élèments se retrouvait alors pris au piège.

Les torpilles percutèrent le ventre d'acier et une voie d'eau se créa.

Les portes étanches mal-entretenues ne fonctionnèrent pas comme elles auraient du le faire.

l'eau s'engouffra dans les machines et une gite se forma sur le coté meurtri

Dans la cellule du Lieutnant Commander Llorens l'eau s'insinuait lentement, alors que le pont principal s'enfonçait déjà dans les profondeurs de Neptune, Llorens lui n'avait que 10 centimètres. Le navire mit à peine 7 minutes pour disparaitre définitivement de la surface, les sonars présent purent entendre des bruits sourd de la coque du navire pendant trois heures.
de l'équipage seul 16 marins purent évacuer le navire, perdu au milieu de nul part entre sous-marins allemands et destroyers Italiens.

Qu'adviendrait-il de ces pauvres bougres... ?